Heureusement que Fluvia n'avait pas demandé à Niclas de lui accorder une danse. Son époux se contentait de siffler son verre, sans égard pour le geste qu'elle avait esquissé. Ravalant sa fierté, Fluvia Travers se tourna vers les jeunes mariés qui évoluaient avec grâce sur la piste de danse. Le mépris de Niclas lui fit rougir les pommettes de colère, mais elle ne dit rien, reprenant une troisième coupe de vin des elfes - combien d'alcool avait-elle bu depuis le début de la soirée, elle ne saurait le dire. Alors qu'elle sirotait sa coupe, Fluvia sentit une présence à ses côtés. Narcissa, qui profitait du passage d'un serveur pour se débarrasser de son verre vide.
▬ Effectivement, répondit Fluvia en composant son masque de femme parfaitement heureuse. On le boit comme de l'élixir de jouvence.

Éludant la question qui lui demandait de ses nouvelles, l'héritière Avery répondit :
▬ J'avais très chaud dans la salle du banquet, ici, ça va mieux, mais je sens à peine la fraîcheur de la nuit.
Elle poursuivit son manège en s'éventant. Ne voulant pas couper cours à la conversation car elle ne voulait pas rester seule avec Niclas, Fluvia se rapprocha de Narcissa :
▬ Tu es radieuse, toi, cette robe te va à mer...

Un cri terrible, à lui glacer le sang, se fit entendre. Fluvia jeta des regards inquiets tantôt à Narcissa, tantôt à Niclas et, sentant qu'il lui faudrait tout son sang froid pour la suite, elle engloutit la fin de sa coupe avant de suivre les autres invités jusqu'au bord de l'eau.
Ne voyant pas très bien, Fluvia ne put que entendre ce qu'il se passait. Un cadavre ! Achilles Rosier !
Dans son émotion, Fluvia serra le bras de Narcissa.

Heureusement pour Elise que Lindsay était avec elle. Autrement ce mariage serait sans doute bien plus pénible. Et pourtant, il fallait bien s’y montrer. C’était ainsi, dans l’ordre des choses presque. Sans compter qu’elle avait l’art de lui redonner un peu de bonne humeur. Comme avec sa remarque sur le choix de certains plats du buffet. Sa réaction face au rôti de boursoufflet plus qu’amusante était assez touchante. Elise n’avait pas d’attirance particulière avec ces petites bestioles mais ce n’était pas le cas de sa fille. Après lui avoir accordé une étreinte un peu moqueuse le sujet avait simplement passé, leur laissant un léger sourire aux lèvres. Puis eux aussi étaient passés alors que les festivités reprenaient de plus belle.

Evan les avait rejoint alors qu’Elise faisait de nouveau une tête à faire peur, la mâchoire serrée et les yeux prêts à fusiller.

-Tout va bien ?

Question légèrement hors de propos non? Il savait très bien pourquoi sa mère se mettait dans cet état et son choix de l’approcher très calmement était sans doute la meilleure décision qu’il pouvait prendre.

-Je nage dans le bonheur accompagnée de fées et de petits lutins, ça ne se voit pas?

Elise était sans doute un peu amère… Caressant sa jambe douloureuse en s’imaginant les supplices qu’elle pourrait faire subir à cet homme qui venait de se marier.

- Fais au moins semblant de t’amuser, comme moi

Il est vrai qu’Evan tout comme sa soeur semblaient à défaut d’être aux anges au moins apprécier le moment. Même si ce n’était pas réellement le cas. D’habitude bonne comédienne, Elise n’avait simplement pas envie cette fois. Pourquoi faire cet effort en son honneur?

-Je te remercie pour le conseil, mais je vais m’abstenir cette fois. Mais je t’en prie, va t’amuser mon chéri, tu le fais déjà si bien.

Il n’y avait aucune réellement animosité dans ses paroles, ou tout du moins pas contre son fils. Elle n’avait simplement pas tellement envie d’être là pour voir Rosier nager dans son bonheur.

Le temps passa un peu avant qu’enfin un peu d’action se fasse. D’abord un cri, puis un mouvement de foule. Un cadavre dans le lac! Et pas n’importe qui! Achilles Rosier, une très bonne connaissance d’Elise. Ils en avaient fait de vilaines choses ensemble au sein des Mangemorts. On ne pouvait pas dire que la belle le portait dans son coeur mais elle ne pourrait pas retirer à cette homme sa réputation. Un fin sourire s’étire sur les lèvres de la brune alors que la scène semble lui apporter une certaine satisfaction.

-Ce brave Achilles, quel dommage…

dragées:

Il était assez distrayant de voir tout ce que cet évènement imprévu causait sur les personnes présentes. Toute cette agitation, les personnes choquées par la vision de ce corps. Elise n’était pas perturbée une seconde, même un peu amusée de voir enfin un peu d’animation dans ce mariage. Le marié eut sans doute le bon réflexe de vouloir cacher le corps. Il faudrait éviter que les autorités ne viennent chercher dans ce genre d’affaires. Mais il semblerait que Seraphina ne soit pas tout à fait de cet avis. Il faut avouer que la claque qu’elle colla magistralement à Evan fit un grand plaisir à Elise qui laissa sa satisfaction s’exprimer par un sourire. Sauf que tout était parti en vrille ensuite. La mère hurlait, la fille aussi, et l’hystérie les gagnait bien vite. Prenant un certain plaisir à le faire Elise se permis donc d’intervenir verbalement, appuyée dignement sur sa canne, spectatrice de cette scène qu’elle trouvait désolante.

-Seraphina je vous en prie, reprenez-vous et contrôlez un peu votre fille. Ce n’est pas en se donnant ainsi en spectacle que quoi que ce soit sera résolu. Chaque chose en son temps et le temps file pour le corps. Le laisser n’est pas non plus une idée brillante. Vous répandrez le sang de qui vous voulez une fois ce problème réglé.

Elle ne supportait pas Evan Rosier, mais elle devait reconnaitre qu’il avait raison sur ce point.

Evan Talbott, un peu en retrait de tout le monde, s'approcha du la foule en tentant de comprendre ce qu'il se passait. Lorsqu'il vit le corps, une légère expression de surprise se peint sur son visage. Ce mariage était décidément de plus en plus problématique. Et voilà que le marié se mettait en tête de faire disparaître le corps. Était-il complètement stupide ? Bien sûr que oui, Talbott le savait déjà, mais cette stupidité ressortait de plus en plus. Soudain, Prosperine Rosier hurla que personne ne toucherait au corps de son frère sous peine de risquer la mort, qu'elle même donnerait bien sûr. Cette jeune fille frêle était tout simplement sous le choc et ne serait même pas capable de lancer un simple sort de désarmement sans même trembler. Tout cela commençait sérieusement à ressembler à un drame grec...
Evan secoua la tête et, après avoir compris que personne ne semblait décidé à faire ce qu'il fallait, s'avança vers le centre de l'attention, devant tout le monde. "Bien, essayons de garder notre calme" dit-il d'une voix clair. Il se tourna ensuite vers Evan Rosier, avant de lui dire "Prospérine à raison, Evan. Personne ne touche au corps, ce serait stupide et inutile. Il faut d'abord qu'on regarde s'il y a des indices dessus.". Evan se tourna ensuite vers la foule et détailla chaque visages tournés vers lui. Qui pouvait bien avoir fait ça ? Qui était assez fou, ou folle d'ailleurs, pour tuer quelqu'un le jour d'un mariage, alors que nombreux membres de la famille de la victime étaient présents et chercheraient donc le coupable ? C'était vraiment dingue. "Je suis désolé d'annoncer ça, surtout pour les mariés, mais une enquête doit être faite, on ne peut pas laisser un meurtrier s'en tirer." annonça-t-il un peu contrarié. "Je vous demande de tous retourner à vos places respectives. Je vais avoir besoin d'autres personnes pour mener des sortes d'interrogatoires, alors montrez-vous si vous désirez m'aider. Les autres, préparez à répondre à nos questions avec le plus de détails et d'honnêteté possible.". Si Evan pensait un jour devoir gérer une telle situation avec autant d'aplomb... Il se tourna ensuite vers Prospérine puis, d'une voix plus douce, lui promit "On va trouver le coupable, d'accord ? Alors calme toi et va t'asseoir". Si ça avait été lui, le macchabée, Evan aurait voulu que quelqu'un s'occupe de rassurer et de calmer sa chère soeur Lindsay...

C’était avec beaucoup de joie et de fierté que Morfin Carrow s’était rendu au mariage de ses « cousins » Evan Rosier et Cassiopea Yaxley. Pour beaucoup de sorciers de son rang, assister un mariage purblood était une obligation sociale et surtout l’occasion de se montrer et d’exister dans les hautes sphères de l’aristocratie sorcière. Pour Morfin, un tel mariage avait toujours été bien plus qu’une occasion d’être vu, c’était l’occasion d’être entendu. À chacun de ces mariages, il se plaisait à rappeler, à qui voulait bien l’entendre, les liens familiaux qui l’unissaient à chacun des jeunes époux en insistant longuement sur ses glorieux ancêtres. L’occasion parfaite de rappeler à toute l’aristocratie sorcière que la famille Carrow est unie à chacune des 28 sacrées et d’ainsi glorifier la pureté de son sang et la renommée ses ancêtres.

Le sang pur  était venu à ce mariage en compagnie de son épouse, Danae, et de leurs deux enfants Alecto et Amycus.  Durant la cérémonie, il souriait en pensant que bientôt, Amycus épouserait la jeune Lys Malefoy. Cela faisait quelques années que le sang des Carrow ne s’était pas mélangé à celui des Malefoy et il était particulièrement fier à l’idée de cette union qu’il devait principalement au fait qu’il soit un descendant des familles Black et Lestrange. Il était impatient de voir ce mariage célébré et sa famille briller.  Il se disait également que peut-être, il trouverait, enfin ce soir, le parfait fiancé pour Alecto.  Tel était son objectif ce soir: vendre sa fille au plus offrant où surtout à celui dont le nom apporterait le plus aux Carrow.  

Il y’avait des centaines et des centaines de convives. Aussi, il se demandait si ses frères Merrick et ce traître de Basilius seraient là. Une chose était certaine:  ni son père, Ollender, ni son oncle, Adriel,  ne seraient présents. Ces deux-là avaient à tout jamais banni les Rosiers de la famille, et ce précisément depuis la naissance d’Evan où plutôt d’Oreste, de son second prénom, comme ils se complaisent à l’appeler. Un second prénom que lui avaient donné les Carrow. Selon une vieille tradition chez les sangs purs, c’était au père de choisir le nom de l’enfant, la mère et sa famille ayant la responsabilité de choisir le second  prénom. C’est ainsi, alors que sa cousine, la belle Cassandra Carrow, fille de son oncle Adriel Carrow, avait perdu la vie à l’âge de 20 ans en donnant naissance à Evan que son oncle et son père avaient décidé de lui donner le second de prénom d’Oreste : le matricide. Alors qu’il regardait le jeune homme échanger ses vœux avec la jeune Yaxley il fut saisi d’un flash-back. Il revoyait la médicomage annoncer que sa cousine était en train de mettre au monde un petit garçon en pleine santé, mais que ses chances de survie étaient faibles. Laomédon Rosier qui, à cette annonce, suppliait la médicomage de tuer l’enfant et de sauver son épouse. La médicomage lui répondant qu’elle avait pris sa décision et souhaitait se sacrifier pour que l’enfant survive. Son oncle, Adriel, rétorquer que ce n’était pas à elle de prendre cette décision et Thanatos Rosier de rappeler à son fils et au père de sa belle fille qu’aucune vie de femme ne prévaut sur celle d’un héritier. Une phrase qui aurait pu couper court à toute conversation, c’était sans compter sur son père, Ollender qui avait rétorqué avec la cruauté qu’on lui connaît « ce n’est pas un héritier, c’est un monstre. » Alors qu’il revivait ce drame familial, il était loin de se douter que quelques heures plus tard, un nouveau drame familial se jouerait dans le jardin des  jeunes mariés.

Après le dîner, alors que tout le monde s’était précipité dehors, Morfin s’était approché de son petit cousin pour le féliciter « Félicitations Evan » lâcha-t-il à haute voix avant d’ajouter tout bas de façon à ce que seul lui puisse entendre « à double titre ».  Cette dernière phrase ne faisait pas référence à son mariage, mais plutôt au fait qu’il était à présent un des leurs : un des soldats du seigneur des ténèbres. Par le passé, en raison du drame familial, il s’était toujours tenu loin d’Evan, mais ce temps-là était révolu, et ce pour son plus grand plaisir. Il pourrait à présent se vanter à nouveau de sa parenté avec les rosiers. Parenté qui se croise à bien des détours de l’arbre. Demandez donc à certains invités. « Mais je te le répète cousin, si par ta faute, il arrive quoi que ce soit à Cassiopea, je viendrai personnellement la venger » ajouta-t-il avant de se diriger vers la mariée pour la féliciter à son tour. « Félicitations Cassiopea. Pollux serait très fier » Le grand-père de la jeune mariée avait toujours été un ami de la famille et le mentor de Morfin qui avait été son conseiller technique lorsqu’il occupait le poste de directeur du département de contrôle et de régulation des créatures magiques. Ce dernier avait tristement rendu l’âme l’été précédent. S’il n’y avait pas Lys, n’aurait-elle pas été la parfaite prétendante pour Amycus. Alors qu’il parlait avec sa « cousine », il aperçut Élise Lerouge et Ava Zabini. Combien de ses maîtresses étaient donc présentes ce soir ? Probablement toutes ! À cette pensée, il partit rejoindre son épouse occupée à faire la conversation avec un homme plutôt âgé. Il ne le connaissait pas, mais s’il était ici, son sang ne pouvait être que pur. Après avoir déposé un baiser sur la joue de son épouse, il tendit sa main vers le vieil homme pour la lui serrer. « Morfin Carrow.! Son époux. J’étais allé féliciter les jeunes mariés. Ce sont tous les deux des cousins. »  Il marqua une légère pause, pour laisser au sang pur français le temps de se présenter, avant de continuer aussi tôt. « Vous n’êtes pas sans savoir que les familles Carrow et Rosier, famille d’origine française, sont intiment liées, et ce depuis des années.  Vous avez sûrement entendu parler en France de Vinda Rosier. Figurez-vous qu’elle était la fille d’Ambroise Rosier et d’Ariana Carrow qui n’est d’autre que la sœur de mon arrière-grand-père Amycus Carrow. » Il laissa échapper un nouveau sourire avant de poursuivre de plus belle « Quant au jeune marié Evan, il est le fils de ma défunte cousine germaine Cassandra. Elle aurait été si fière de cette alliance ». Alors qu’un elfe passait, il en profita pour saisir un verre de vin. Juste quelques minutes de répit pour le vieillard, avant que le père Carrow continue de louer sa parenté avec les mariés.  « En ce qui concerne la mariée,  son arrière-arrière-grand-père Canopus Yaxley avait une sœur, Calliopea Yaxley qui a épousé mon arrière-grand-père maternel Sir Uranos Bullstrode. Ce n’est pas le seul lien qui nous unisse ! Son fils, mon grand-père Amadeus Bullstrode a épousé Sinistra Lestrange la fille de Caractacus Lestrange, lui même le frère de Lyra Lestrange  qui n’est d’autre que la femme de  Procyon Yaxley, soit l’arrière-grand-père de la mariée »

Il aurait sûrement pu continuer à afficher son arbre généalogique pendant des heures si un cri strident n’était pas venu délivrer le malheureux vieillard. Comme tout le monde, ils se dirigèrent tous les trois vers le lac où ils découvrirent le corps inanimé de son autre petit cousin Achilles Rosier qui arborait sur son bras, la marque des ténèbres. Rapidement tout s’enchaîna. Evan, voulant protéger son secret, notre secret, demanda à ce qu’on se débarrasse du corps. La mère du défunt, Seraphina était totalement hystérique et demandait justice. Elle demanda à Evan de venger son cousin.Quelles ne furent pas la surprise et la fierté de Morfin lorsqu’Evan rétorqua qu’elle devrait dans ce cas verser elle même le sang de sa traîtresse de fille !  Un nouveau drame familial se jouait ce soir et ce n’était que le début. Morfin se demandait sincèrement pourquoi sa famille s’était tenue éloignée d’Evan jusqu’à présent. Il avait beau être un meurtrier, il était le parfait héritier. Il avait bien plus de valeur que Cassandra.

Alors qu’Evan ordonnait à Avery et Mulciber de l’aider à se débarrasser du corps, la traîtresse se transforma en furie et semblait encore plus hystérique que sa mère. Élise tenta de raisonner la mère du défunt, avant que son traître de fils décide de se prendre pour un officier de la brigade de police magico-judiciaire.  Morfin s’avança vers Evan. « Si tu veux, je peux effacer la mémoire de tout le monde, et on se débarrasse du corps. » Évidemment, Morfin aurait pu agir sans demander l’avis d’Evan, mais il avait envie de le mettre à l’épreuve, de voir comment il allait gérer la situation et défendre les intérêts des mangemorts.

Une fois la réponse de son jeune cousin donné, il s’avança vers Seréphina pour tenter de la raisonner, mais elle se mit à crier si fort qu’on aurait juré qu’elle se transformait en Harpie. « NE M'APPROCHE PAS ! NE M'APPROCHE PAS CARROW ! JE SUIS SÛRE QUE C'EST TOI LE COUPABLE ! OU TON ONCLE ! OU TON PERE! VOUS VOULIEZ LA MORT D'EVAN DEPUIS SA NAISSANCE ET MAINTENANT VOUS VOULEZ BRISER NOTRE FAMILLE, TOUT CA PARCE QU'IL VOUS A PRIS CASSANDRA.» En disant IL, elle avait pointé du doigt et fusillé du regard le jeune marié. «C’EST L'UN D'ENTRE-VOUS! JE LE SAIS ! CA NE PEUT ÊTRE QUE L'UN D'ENTRE-VOUS. C'EST L'OEUVRE DES CARROW ! J'EN SUIS CERTAINE ! SAUF DE BASILIUS QUI DOIT COMME D'HABITUDE ÊTRE EN TRAIN DE S'ACCOUPLER AVEC DES IMPURES  De tout ce qu’elle venait de dire c’est cette dernière phrase qui mit le Carrow hors de lui. Elle venait de salir sa réputation en dévoilant publiquement que son frère fricotait avec des impures. Il s'en était toujours douté. Seraphina ne parlait pas sans raison Si elle le disait, c'est qu'elle savait ! Il ne savait plus à qui il en voulait. A lui, pour salir son sang. A elle pour salir publiquement la réputation de sa famille. Il aurait pu la tuer sur le champ avant d'aller tuer son frère.   D’un geste de la baguette, il lança un sortilège de bloc- langue pour la faire taire et s’apprêtait à la torturer. Il l'aurait fait croyez-moi. Oh, oui, il l'aurait fait s’il n’avait pas senti la main d’Élise sur son épaule pour le calmer. Elle avait raison. Il ne pouvait la torturer.... pas ici !

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