Si John avait été une dramaqueen, il se serait jeté au sol et aurait fait des roulades de désespoir en versant peut-être même quelques larmes. Audrey, celle qui se disait être sa meilleure amie, l’abandonnait seul dans ce nid d’amour dégoutant pour aller jeter un œil au registre. S’ils n’avaient pas été en mission, il aurait pensé qu’elle faisait exprès de le laisser seul avec la gobeline afin de ravir son humour douteux…quoique l’aurore la soupçonnait de trouver la situation particulièrement cocasse. Ses suppositions furent confirmées lorsqu’elle leur intima de rester sage pendant qu’elle s’absentait. En guise de réponse, il lui lança un regard noir, se promettant de lui faire savoir le fond de sa pensée dès qu’ils sortiraient de ce bordel malpropre. Lorsque son amie franchit la porte, John se demanda sérieusement s’il pouvait stupéfixier la créature le temps qu’Audrey revienne… elle n’en saurait rien, et la femme-gobeline n’en souffrirait pas…inconsciemment sa main s’approcha de la poche où était rangé sa baguette.

« Merlin soit loué, votre petite cocotte est partie ! Je n’aime pas du tout ses yeux… ils ressemblent beaucoup au sien…» déclara la femmelette sur un ton profondément inquiet.  « Je ne lui fait pas du tout confiance à celle-là… vous ne devriez pas non plus…à la manière qu’elle vous regarde, elle vous trompe j’en suis certaine…inconsciente du spécimen qu’elle a…» continua-t-elle en reprenant de la plume d’hippogriffe. « Bergit » dit-il d’un ton sec, mais plus doux, comprenant que la créature craignait quelqu’un qui pourrait être celui qu’ils recherchaient. « Nous n’avons pas beaucoup de temps avant qu’elle revienne…» continua-t-il en imitant le ton de la confidence. « Oui, oui, venez, approchez-vous ici et je vous dirai tout…» murmura-t-elle en tapotant le lit à ses côtés. Incertain, l’aurore Dawlish vint prendre place à l’endroit indiqué, sachant qu’une victime effrayée pouvait avoir peur de s’exprimer ouvertement à voix haute.  

1-2-3 : « Oh, vous savez, elle est tellement effrayante » lui chochocha-t-elle à l’oreille, son haleine de gobelin dansant sous les narines de John, « l’ignoble Christmas Pudding a été si déplaisante avec elle… mais moi, j’ai tout fait pour essayer qu’elle m’apprécie…mais je commence à craindre que…AAAAH » cria-t-elle en se jetant dans les bras de John avec tant de force que celui-ci bascula sur le lit, se retrouvant allongé sous la gobeline. Ce qui avait effrayée la créature n’était nulle autre qu’Audrey, qui venait de revenir dans la pièce et qui était témoin d’un spectacle saugrenu : le grognon aurore John Dawlish allongé sur un lit poupre, sous une femme-gobeline vêtu d’une robe en mousseline jaune canari

4-5-6 : La femme-gobeline, tremblante, s’approcha de l’aurore comme si elle souhaitait se confier à lui. Rongé par la culpabilité d’avoir levé le ton envers une victime terrifiée qu’il trouvait désagréable, John lui tendit son oreille. C’est alors que l’aurore expérimenté fut pris de cours. La femme-gobeline se jeta sur lui avec une telle force qu’il bascula sur le dos. Habilement, celle-ci passa ses jambes par-dessus lui de sorte qu’elle écrasait ses bras, l’empêchant de se défendre. Sans attendre, elle agrippa son coup de ses mains griffées et serra de toutes ses forces. Les yeux de l’homme étaient exorbités, il ne s’attendait pas du tout à autant de force physique de la part d’une femme et encore moins d’une gobeline. John était loin d’être misogyne, mais il était objectivement plus fort et musclé qu’une femme, cependant, en ce moment, il était pris au piège et n’arrivait ni à se déprendre, ni à atteindre sa baguette, ni à respirer…« quel dommage, un si beau garçon, j’aurais été beaucoup plus agréable avec toi si tu ne t’étais pas mis à mettre ton joli nez partout…ta cocotte est la prochaine ».

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'le dé ' : 6

La vue de John étranglé par la gobeline lui arracha un cri qu'elle ne réprima pas. L'auror balança son calepin en l'air et se précipita sur la femmelette à la manière moldu. Arrivant par derrière, elle passa son bras autour de son cou, l'enserrant jusqu'à ce qu'elle lâche prise. Elles basculèrent toutes les deux sur le sol dans une lutte acharnée, libérant son collègue toujours allongé sur le lit. Mais quelle force dans un si petit corps, l'anglaise se fit griffer, frapper et maintenir au sol, se débattant de tout son corps, sans parvenir à maîtriser la créature. La jeune femme réussit finalement à attraper un rideau et tira à l'aveuglette dessus. Le voile épais écarlate tomba sur les deux bagarreuses, les recouvrant, s'enroulant dedans. Bergit réussit habilement à se retirer de l'épais tissu et entama sa fuite :

1,2,3 : Audrey toujours drapée, chercha à tâtons sa baguette qu'elle finit par saisir à pleine main. Visant dans le vide, elle formula un « incarcerem » qui enveloppa la gobeline en pleine ascension vers le couloir. YES !! Stoppée net elle tomba en avant en vociférant : « Vous allez me le payer bande de scrouts !! »


4,5,6 : Audrey toujours drapée, chercha à tâtons sa baguette qu'elle finit par saisir à pleine main. Visant dans le vide, elle formula un « incarcerem »  qui se faufila jusqu'à son coéquipier, le saucissonnant de tout son long !! Mais quelle fiasco !! Cette enquête était un véritable fiasco !!

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'le dé ' : 4

John était incapable de respirer, l’emprise de la femme-gobeline était tellement forte que l’air n’arrivait pas à traverser son œsophage pour aller alimenter ses poumons, et ultimement oxygéner son cerveau. L’aurore n’en n’était pas à son premier combat corps à corps, bien au contraire, il avait joué du coude avec bon nombre d’adversaires, grandir dans le ghetto de Birmingham n’était pas de tout repos. Cependant, jamais son adversaire n’avait eu autant de force physique. L’élément de surprise de l’attaque y était aussi pour quelque chose. Le manque d’oxygène lui brouilla la vision et il prit quelques secondes avant de comprendre pourquoi il n’était pas mort : Audrey avait réussi à désarçonner la gobeline, lui permettant de retrouver le souffle. Étourdit, il resta trop longtemps allongé sur le lit, tentant de reprendre ses esprits et de regagner la sensation dans les membres. Tout lui revint finalement d’un coup, l’enquête, l’attaque, la situation d’urgence dans laquelle ils étaient, Audrey! Il se releva d’un bon sur ses pieds – et du cligner des yeux à multiples reprises pour chasser les étoiles qui dansaient devant eux – juste à temps pour voir leur suspect entamer sa course. Il s’élança à sa poursuite en glissant la main dans sa poche pour y sortir sa baguette, lorsqu’il fut frappé par le sortilège de sa collègue et cloué au sol, en saucisson. Excédé, il poussa un hurlement de rage : leur intervention était définitivement la pire de leur carrière! « T’es sérieuse ?! » ragea-t-il plus pour exprimer son déplaisir de les voir échouer leur mission lamentablement que pour rejeter le blâme sur son amie qu’il savait douée. « On vient de marquer l’histoire des aurores, c’est d’un ridicule …! » lança-t-il désabusé, mais avec une subtile pointe de plaisanterie, espérant que sa collègue ne lui en veulent pas de lui avoir crié après.

1-2-3:: John se concentra et murmura « Finite ». Il n’avait pas exactement la baguette dans sa main, mais il avait la main dans sa poche, le dos de celle-ci durement écrasée sur la dite baguette. D’ailleurs, ce n’était pas la baguette qui faisait le sorcier, elle n’était qu’un efficace canaliser des pouvoirs de celui-ci et John, était suffisamment doué et puissant qu’il réussit à mettre fin au maléfice qui l’avait percuté. Il se releva et s’approcha de son amie pour l’aide à se dépêtrer du drap. « Les gobelins ça ne transplane pas, elle peut pas être allée bien loin cet vanilachose. » déclara-t-il avec hargne. « C’est l’heure de procéder à son arrestation, ça suffit le blabla.» ajouta-t-il, une lueur inquiétante passa dans son regard. John éprouvait parfois un plaisir dérangeant à assumer l'autorité que lui permettait ses fonctions.

4-5-6:: John se concentra et murmura « Finite ». Il n’avait pas exactement la baguette dans sa main, mais il avait la main dans sa poche, le dos de celle-ci durement écrasée sur la dite baguette. Bien que ce n’était pas la baguette qui faisait le sorcier – elle n’était qu’un efficace canaliser des pouvoirs de celui-ci – l’incantation formulé par John ne fit pas effet contre le puissant maléfice de sa collègue. Alors qu’il allait retenter le coup, un énorme bruit lui fit perdre son focus : Un troll – dont le sommet du crâne touchait au plafond et dont les bras étaient plus large que le tronc de l’aurore – fit son entrer en gromelant : « méchants faire bobos à Peachyyy, MÉCHANTS FAIRE BOBOS À PEACHYY, MÉCHAAAAAAAAAANTS FAIIIIIIIIIIIIIIRE…». Eh merdre, un troll en fury se dirigeait vers les deux pauvres aurores couchés au sol tel des wannabe. Pas de bol.

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'le dé ' : 3

Mais dans quelle bouse de sombral étaient-ils !! Se dépêtrant tant bien que mal du large tissu, l'auror accusa le coup de la remarque désabusée de son collègue. - Désolée ! Grimaça-t-elle. John avait raison, ils étaient pitoyables. Quelle image montraient-ils d'eux si ce n'était deux lamentables aurors, incapables de questionner et d'arrêter une femme-gobeline. - On peut pas mettre ça dans notre rapport … Commenta-t-elle alors que John venait l'aider. C'était tellement honteux qu'ils se contenteraient d'omettre certains détails pour ne pas être relégués au rang de trieur d'archives... La lionne écouta son ami au sujet de l'arrestation et acquiesça d'un signe de tête. D'un pas décidé, l'ancienne poursuiveuse partit à la recherche de la demi-femme en parcourant un premier couloir. Les deux portes à droite donnaient sur des pièces qu'ils fouillèrent sommairement, vides de toute créatures humanoïdes. D'un sort informulé, les individus présents dans l’établissement furent indiqués aux deux aurors qui se précipitèrent dans une pièce tout au fond du couloir. Ils pénétrèrent dans une chambre privée ou deux créatures qui s'adonnaient au plaisir de la chair se stoppèrent net en se couvrant le corps. Sans se préoccuper du couple adultère, Audrey indiqua à son coéquipier d'un signe de tête, le rideau derrière lequel semblait se trouver Peach Vanilla.

PAIR : L'auror s'approcha doucement, et d'un bond rapide s'élança sur la créature qui fut saucissonnée dans le drap : « Vous êtes en état d'arrestation pour outrage et tentative d'assassinat sur personne représentant l'autorité et entrave à enquête, vous pouvez garder le silence.... » Prononça-t-elle de façon habituelle en enserrant son emprise autour de la cible qui hurlait : « NONNNNNNN !! Je ne suis qu'une victime, je n'ai rien fait, laissez moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii vivreeeeee, s'ils vous plait....... Bergson va me tuerrrr !!!  ». Bergit se mit à pleureur et déverser tout son chagrin .. Jouait-elle encore à un jeu ou bien était-elle sincère dans toute cette affaire ? Et qui était ce Bergson ?

IMPAIR : L'auror s'approcha doucement, et d'un bond rapide s'élança sur la créature qui fut saucissonnée dans le drap : « Vous êtes en état d'arrestation pour outrage et tentative d'assassinat sur personne représentant l'autorité et entrave à enquête, vous pouvez garder le silence.... » Prononça-t-elle de façon habituelle en enserrant son emprise autour de la cible qui hurlait : « Bouse d'éruptif !! Suceuse de troll !! Va crever en enfer, toi et ton suçacide d'orge !! Bergson va venir s'occuper de vous ! ». Bergit se mit à rire et déverser toute sa folie .. Jouait-elle encore à un jeu ou bien était-elle sincère dans toute cette affaire ? Et qui était ce Bergson ?

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'le dé ' : 3

John jeta à Audrey un de ses regards sombres et autoritaires et déclara d’un ton sans réplique : « on ne fera pas de rapport. » L’aurore savait pertinemment qu’un rapport était exigé par la procédure, mais sincèrement, qu’y avait-il vraiment à écrire sur leur mission? Trop. Beaucoup trop d’impertinence et pas assez de résultat. Sans conclusion, pas la peine de coucher sur papier un compte-rendu de leur soirée. L’homme croisa mentalement les bras comme un gamin bien décidé à bouder dans son coin. Pas question qu’on sauvegarde leurs frasques. Lorsqu’Audrey mis finalement le grappin sur la femme-gobeline et lui dicta ses droits, le visage de John s’étira d’un large sourire satisfait, mais sans joie. « Ça suffit. » déclara-t-il en donnant un coup de baguette en direction de leur suspect afin de lui envoyer un excellent silencio dont le résultat fut une délectable mélodie à ses oreilles. Avant de recevoir quelconque réprimande de sa meilleure amie, l’aurore lui lança un regard qui voulait dire «elle m’a touché les fesses et m’a étranglé, notre serment me passe 10 chaudrons en haut de la tête».

1-3-5 : « On quitte. » lâcha-t-il en esquissant un mouvement vers la porte, « nos déboires à la Red House ont assez duré et notre très chère Bergit, ci-présente, a bien mérité une jolie nuit de repos au cachot. Nous l’interrogerons en lieu clos.» Leur présence avait été suffisamment chaotique pour justifier leur départ, Bergson ou pas. Cette dite personne était peut-être celle qu’il recherchait, bien plus que Bergit, mais rien de bon ne semblait se passer ici et il lui semblait qu’ils auraient plus de chance à lui soutirer des informations dans un lieu sûr. « Sois tu nous suis sans chichi, soit je te fais pendre par le pied et léviter jusqu’au Ministère » menaça-t-il la femme-gobeline en lui lançant un regard noir. Peut-être poussait-il un peu trop loin la menace, mais il en avait vraiment marre de cette arrestation théâtrale : on lui avait fait cadeau d’une baguette, il allait l’utiliser. Après avoir soutenu son regard avec haine pendant de longue seconde, Bergit sembla acquiescer et fit mine de les suivre.

2-4-6 : « On quitte. » lâcha-t-il en esquissant un mouvement vers la porte, « nos déboires à la Red House ont assez duré et notre très chère Bergit, ci-présente, a bien mérité une jolie nuit de repos au cachot. Nous l’interrogerons en lieu clos.» Leur présence avait été suffisamment chaotique pour justifier leur départ, Bergson ou pas. Cette dite personne était peut-être celle qu’il recherchait, bien plus que Bergit, mais rien de bon ne semblait se passer ici et il lui semblait qu’ils auraient plus de chance à lui soutirer des informations dans un lieu sûr. « Sois tu …» John, exécré s’apprêta à la menacer, mais il n’en n’eut pas le temps. L’énorme porte qui bloque l’entrée de la chambre sortie de ses gonds tellement on la poussa avec puissance. Si tôt, l’aurore sortit agilement sa baguette. Bergson venait de faire son apparition et il n’était clairement pas d’humeur à prendre le thé. Il était énorme, probablement un croisement entre le troll et l’homme – ce qui n’en faisait qu’une créature plus dangereuse, les trolls, forts, grands et puissants étaient généralement sans cervelle…pas lui visiblement – et ses yeux exorbités lui fit deviner qu’il devait avoir respiré une ligne de poudre d’ongle de gobelin. Ils étaient mal barrés. Cette soirée allait-elle s’arrêter un jour?

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'le dé ' : 3

Pas de rapport. Très bien ! D'ordinaire, Audrey était à cheval sur les règles, ne mettait jamais en doute la légitimité d'un supérieur, tout comme elle respectait les ordres au pied de la lettre. Mais dernièrement, un mensonge dans le dernier rapport de cet été, une archive embrasée complètement tût, l'incitation à l'utilisation aux sorts impardonnables, plus rien n'allait au département des aurors, et pour la jeune femme. Jetant un regard entendu à son ami, ils se précipitèrent sur la suspecte. Tant pis pour le rapport, tant pis pour le silencio sur la harpie, elle l'avait bien mérité après tout, pensa la brunette, soulagée de voir la fin du carnage. John suggéra leur sortie du bâtiment, chose à laquelle l'ancienne lionne acquiesça d'un signe de tête. - Bergit va nous suivre sans se débattre, n'est-ce pas ? Lança-t-elle à l'égard de la gobeline qui commença à les suivre en maugréant et gesticulant. Les regards noirs plein de défi qu’elle leur lança n'avait plus rien des œillades amoureuses offertes au début de leur rencontre. Ils avaient enfin réussi à lui rabattre le caquet. Redoutant des conséquences à leurs actes légèrement illégaux, la jeune femme espéra que la créature ne piperait mot de cette ridicule arrestation. Mais entre une fille de joie gobeline et deux aurors... qui croirait-on ? Légèrement en aparté, tandis que le groupe sortait, Audrey formula : - Je crois bien que ce n'est que le début d'une bien trop longue histoire. …

John fut soulagé de l’assentiment d’Audrey : il n’avait pas besoin de revivre cette grosse blague une deuxième fois en la couchant sur parchemin. Il guida – ou força – leur suspect à se diriger vers la sortie du bordel, emboîtant le pas de sa collègue. La femme-gobeline se débâta tout de même un peu, en un parfait silence pour le grand plaisir de l’auror. « Une histoire à continuer un autre jour » répondit-il d’une voix trop basse. « À la cellule 5 des cachots » dit-il à l’adresse de sa partenaire avant d’agrippé leur arrêtée par les épaules et de transplaner avec elle à l’entrée du Ministère. Il l’a guida rapidement à la cellule indiquée, loin des regards indiscrets des fonctionnaires présents. Une fois qu’elle fut enfermée, il songea lui retirer le silencio qu’il lui avait infligé, puis il se ravisa en se disant que ses co-détenus lui seraient reconnaissant de l’empêcher de crier comme une banshee. « On se voit demain Birgit, d’ici là je te conseille de réfléchir à l’idée de coopérer à notre enquête…à moins que tu apprécies particulièrement les murs froids et poisseux de cette cellule… bonne nuit » termina-t-il en esquissa un sourire vicieux. D’un pas plus léger, il quitta le Ministère pour retrouver son lit si douillet.

(J'ai pris la liverté de clore, bisous xxx)