ϟ la fiche de recensement

NOM - pomfresh PRENOMS - poppy (réservé pour albus dumbledore et minerva mcgonagall - c'est jkr qui le dit so sorry), se fait appeler pompom même si avec un surnom pareil la crédibilité dans la vie c'est pas la folie-folie DATE DE NAISSANCE - 28 avril 1950 AGE - 26 ans, subit au quotidien son visage d'enfant qui lui en fait paraître bien dix de moins VILLE D'ORIGINE - great grimsby, en angleterre SANG - née moldue ANCIENNE MAISON A POUDLARD - serdaigle ORIENTATION - côté du bien, alliée de l'ordre du phénix

AIMABLE ET POLIE, après tout, il ne faudrait pas que des parents d'élèves mécontents viennent se plaindre auprès de dumbledore, en plus la mauvaise pub ça peut briser des carrières, l'angoisse pour pompom, elle aime beaucoup trop son job

CONCILLIANTE ET SEVERE, en dehors de l'infirmerie pas de soucis, elle n'est pas professeure, elle n'est pas concierge, tant que les petites poudlariens ne finissent pas en pleurnichant au deuxième étage elle considère que ce n'est pas son problème... en revanche gare aux blessés, une fois les portes franchies pompom n'a plus aucune pitié et sait parfaitement s'y prendre pour réaliser ses soins

INTRANSIGEANTE, les élèves ne partiront jamais de l'infirmerie avant la fin de leur traitement soyez-en sûrs, pareillement, ils ne resteront pas plus que nécessaires, il faudra rapidement abandonner l'idée de sécher les cours à l'aide d'un petit rhume ou d'un mal de ventre, professeurs compris

MANIAQUE, du rangement, de la propreté, rien de pire pour madame - mademoiselle - pomfresh que de vivre dans la crasse ou le désordre, elle n'est efficace que dans un certain confort matériel et ménager

REACTIVE, justement elle s'assure d'être prête à n'importe quel moment du jour comme de la nuit, travailler dans l'urgence et sous la pression ça ne lui fait pas peur, elle est prête à affronter toutes les situations, de la plus sanglante à la plus étonnante, le tout dans un environnement 100% clean

IMPATIENTE, si pompom pouvait contrôler le temps sans que cela ne soit dangereux, elle est certaine qu'ils pourraient soigner encore plus de patients et de sauver encore plus de vies, en attendant une révolution temporelle, elle continue d'attendre désespérément que les filtres de mandragore soient prêts

DOUCE ET A L'ECOUTE, bien qu'elle ait choisi un métier où il faut savoir être ferme - ce dont elle est parfaitement capable sur ses temps de travail - elle n'en reste pas moins une personne d'une douceur infinie, toujours de bons conseils et bonne oreille, elle ne refuse jamais un élève, un professeur, un membre du personnel de l'école qui a besoin de se défouler, d'un coup de main ou de vider son sac

TOLERANTE, pompom peut tout voir et tout entendre, elle soigne, ne juge pas, elle aide, ne condamne pas, elle sait faire la part des choses entre vie privée, opinion personnelle et boulot, bien qu'elle considère être infirmière 24 heures sur 24, 7 jours sur 7

ENFANTINE MAIS MATURE, combien de fois a-t-elle été confondue avec des écoliers dans les couloirs du château ou à pré-au-lard ? combien de fois a-t-elle du justifier sa majorité alors qu'elle a obtenue cette dernière depuis de nombreuses années ? déjà qu'elle se nomme (poppy) pom pom pom fresh, sa crédibilité sociale et vitale ne fait que s'en prendre un coup supplémentaire

1970, date de sa seconde rentrée à poudlard en tant que membre du personnel cette fois-ci, elle est, depuis le début de la scolarité de remus lupin, responsable de sa sécurité - et de celle des autres élèves - les soirs de pleine lune

VOTRE PATRONUS - un flamant rose
VOTRE EPOUVANTARD - les morts-vivants, l'idée que les défunts ne soient pas vraiment morts pèse trop sur la conscience de l'infirmière
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – dragée parfum lila
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – tergeo, nettoyer la cible : objet ou individu
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – la pimentine, pompom la confectionne elle-même
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – le magasin de chaudron
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – ignatia wildsmith, l'inventrice de la poudre de cheminette
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – jobarbille, un oiseau minuscule ne chantant qu'au moment de sa mort
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – l'odeur du linge propre, de la menthe fraîchement coupée et d'une soupe aux 7 légumes

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - normalement c'est bien uniquement dumby et mcgo qui appellent madame pomfresh par son prénom et les débats sont grands pour savoir lequel employer entre poppy et pompom alors je suis partie du principe que poppy était son vrai prénom et pompom le surnom qu'elle avait trouvé pour que ses collègues, camarades, connaissances, parents, frères, soeurs, cousins, cousines, oncles... puissent s'adresser à elle quand même j'espère que ça pose pas de soucis ? sinon envoyez moi un mp pour que vous puissiez me guider ou qu'on trouve une solution, merciiiii

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?

Pompom faisait l'effort de se présenter à cet interview uniquement parce que le professeur Dumbledore le lui avait demandé. Jamais elle n'aurait pris une telle initiative. Elle préférait que ses agissements soient efficaces dans l'ombre plutôt que mis en lumière par l'odieux personnage qui lui faisait face. Elle n'aimait pas vraiment les journalistes en règle générale mais cette Rita Skeeter semblait tout droit sorti d'un mauvais magazine. – Je suis l'infirmière de Poudlard. Répondit-elle sans décorer son statut plus que nécessaire. Modeste jeune femme qu'elle était. Son savoir-vivre et sa gentille empêchaient qu'elle ne clôture ici la corvée et retourne assurer son poste.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?

Pompom avait en effet connu plusieurs aventures dans son passé mais elle n'avait tout bonnement pas besoin de l'étaler devant cette inconnue. Où même ces informations termineraient-elles ? Quelle gêne si son entourage tombait sur des révélations amoureuses au bout milieu d'un prochain journal. Elle n'avait, pour l'instant, pas plus souffert en amour qu'au travail. Certaines situations délicates étaient beaucoup plus dures à gérer émotionnellement que les quelques relations amoureuses qu'elle avait vécues. – Je préfère que nous n'abordions pas ce sujet. Son ton était ferme et ne laissait aucune alternative.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !

Pompom tiqua au ton ironique employé par la journaliste. Cette dernière manquait cruellement de professionnalisme à ses yeux. Elle ne lui en fit pas part. – Mes années à Poudlard se sont très bien déroulées, je vous remercie pour l'intérêt que vous y portez mais il n'y a malheureusement rien de bien croustillant à en tirer. Sa rencontre avec l'infirmière de l'époque peut-être mais là encore elle n'avait pas envie de se confier sur quelque chose d'aussi personnel avec Rita Skeeter. Elle ne voulait pas non plus aborder son avant-Poudlard. Dans une famille de moldue telle que la sienne, deux enfants sorciers étaient un évènement exceptionnel. Pompom avait la chance d'avoir eu une enfance plus qu'heureuse et n'avait, pour le moment, pas subi les foudres de la vie. Contrairement à sa grande soeur qui, mariée à un moldu violent, subissait régulièrement les sauts d'humeur de ce dernier. Poppy avait du la soigner à de nombreuses reprises, espérant en secret lui donner la force d'échapper à un homme si cruel.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.

Si justement, cela suffisait amplement. La violence - et surtout la lutte contre celle-ci - était une autre des raisons qui poussaient l'infirmière à pratiquer son métier. Elle avait eu trop souvent l'occasion de rencontrer toutes sortes de cas les plus étranges et affreux les uns que les autres. – Je compte rester à Poudlard le plus longtemps possible. Affirma-t-elle à la journaliste convaincue que sa place n'était nulle part ailleurs. Elle jurerait fidélité à Dumbledore et à l'école jusqu'à ce qu'elle en soit chassée. Puis, quand elle aurait eu une longue et heureuse vie, elle pourrait acheter un cottage et passer ses dernières jours dans l'environnement le plus paisible qui soit.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.

– Nous n'aborderons pas ce sujet non plus. Remballa-t-elle une nouvelle fois Rita. Elle n'avait aucune honte quant à ses opinions politiques et les assumait parfaitement mais elle travaillait dans une école et ne pouvait en aucun cas se permettre d'avoir une influence aussi minime soit-elle sur les élèves.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?

Pompom hocha la tête, elle connaissait ce conte. – Du temps, du temps et encore du temps. Ne pourrirait jamais dans la tête de Poppy que le temps était ce qu'il y avait de plus précieux dans une vie et qu'il en manquait trop souvent. On en a terminé ? demanda-t-elle avec un enthousiasme certain qu'elle n'avait aucunement exprimé durant l'entretien.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? :couet: Où avez vous connu le forum ? Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : oui + lundi-lutin de cornouailles

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

AUTRE :
— Exemple de post de façon RP de votre choix.

– Monsieur Picott, voyons ! Cela n'a aucun sens !
Pompom Pomfresh tentait depuis plusieurs minutes déjà de raisonner le concierge de l'école. Elle avait l'habitude de ce genre de situation mais tout de même ! on ne lui avait jamais fait un coup pareil. Voilà déjà plusieurs années qu'elle ne s'asseyait plus à la table des Serdaigles mais bien à celle du personnel de l'école. Avait-il eu une perte de mémoire ? Devait-elle l'ausculter ? Ce que certains pouvaient prendre comme un compliment - faire 10 ans de moins, quelle chance ! - faisait doucement bouillir le sang de l'infirmière. Quand cesserait-elle d'avoir à justifier son âge ?
– Je ne suis plus une élève, vous devriez le savoir !
Certes elle avait été amené à côtoyer cet étrange personnage en étant élève mais ils abordaient désormais le même côté !
– Comment ça, vous m'emmenez voir le Professeur McGonagall ? Elle haussa les sourcils et cligna plusieurs fois des yeux, hallucinée de ce qu'elle venait d'entendre. Ecoutez, très bien allons-y, j'ai hâte de voir sa réaction !
Il aurait l'air beaucoup plus andouille qu'elle.
– Bien sûr que j'étais hors de mon lit, j'étais en route pour le rejoindre !
La soirée avait été calme à l'infirmerie : deux doigts cassés pour un élève de serpentard durant un entraînement de Quidditch et une indigestion alimentaire de la part d'une première année qui avait eu les yeux beaucoup plus gros que le ventre. Rien de bien nouveau pour Mademoiselle Pomfresh qui avait résolue les cas en quelques manipulations. Aucun des enfants n'avaient eu à dormir sur place et l'infirmière avait donc pu envisager de passer la nuit dans son lit, pour une fois. Dans le cas où sa présence était nécessaire au deuxième étage, elle assurait une veille nocturne sur ses petites poudlariens malades.
A peine avait-elle fermé les portes de l'infirmerie et avancé de trois pas dans le couloir que le concierge lui était tombé dessus, certain de piéger un gamin mal-intentionné. Poppy avait eu beau se débattre et tenter de se justifier, Apollon Picott n'avait rien voulu entendre.
Qu'elle ne fut pas la surprise du professeur de métamorphoses quand ce dernier entra dans son bureau agrippant fermement le bras de Pompom. Celle-ci roula des yeux, désespérée d'une telle situation et, pire encore, d'avoir perdu autant de temps pour des âneries pareilles.
– Ce n'est pas grave, monsieur Picott, s'entendit-elle pourtant dire, je vous prierai simplement d'éviter ce genre d'incidents à l'avenir.
Qu'il ne se plaigne pas si elle oubliait quelques anti-douleurs lors de sa prochaine visite !

Bienvenue à Poudlard très chère madame Pomfresh !