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'le dé ' : 4

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'le dé ' : 6

Les réactions de certains élèves ne se firent pas attendre, sa nouvelle identité venait d'être révélée au monde, autrement dit elle était officiellement devenue Madame Moran Powell dans les couloirs du château qu'elle avait fréquenté pendant sept longues années. La jeune femme soupira légèrement tandis que les élèves se mettaient au travail. Plusieurs élèves promettaient un résultat excellent, tout comme d'autres avaient débuté un carnage sans précédent, notamment Jyn Dawkins et son livre-cyclope. Merlin soit loué, les deux ainées avaient jugées que les mannequins étaient décidément plus attrayants pour ce cours que les élèves eux-mêmes. Gardenia n'osaient même pas s'imaginer le résultat si les élèves avaient directement débutés les uns sur les autres, mais une chose était sûre : certains auraient eu du mal à sortir avec fierté de la sale de métamorphose.
Passant dans les rangs, elle fit un clin d'oeil à son cousin qui avait rejeté son aide, et qui visiblement avait eu raison de la faire puisque pour le moment il s'agissait du mannequin le plus réussi. « Bravo pour votre amélioration en Métamorphose, M. Pettigrew. » dit-elle, assez impressionnée par la différence de ses résultats avec ceux des années précédentes. Avançant dans les rangs, elle s'arrêta devant le mannequin de Saul et Lily qui l'étonna au vu des bonnes notes habituelles de ceux-ci, elle l'observa quelques instants avant de trouver une nette ressemblance de couleur avec son ancienne coiffure. D'un coup de baguette, ses cheveux se teintèrent de bleus et l'assistante du Professeur McGonagall continua sa route après un sourire complice adressée à la Gryffondor. Néanmoins il s'avéra que ce ne fut qu'ensuite qu'elle remarqua les mannequins terminés de Miss. Dawkins & M. Goujon et de Miss. Wilkes & M. Flint. Elle ouvrit la bouche et la referma immédiatement ne sachant quoi dire face à la catastrophe naturelle qui s'offrait à elle, si l'un était blond aux attributs nasaux d'une pie, l'autre était totalement incongru si bien que la ressemblance entre les dessins de Gabin lorsqu'il avait deux ans et l'oeuvre qui se trouvait fasse à elle était flagrante. « Vous... ferez sûrement mieux la prochaine fois ? » dit-elle aux deux binômes tandis qu'elle arriva devant deux jeunes femmes à la traine : Marlène et une serpentard dont le nom lui était inconnu, les jeunes filles étaient plutôt bien parties, mais assez lentes comparées à d'autres groupes. Elle conseilla donc à la Gryffondor de prononcer la formule avec une voix plus assurée et une prise de baguette plus ferme.

Aide distribuée:

La jeune fille éclata discrètement de rire à l'entente des propos de Marlene sur Moran Powell, elle ne l'avait jamais vraiment cotoyé, mais elle savait que si quelqu'un était un serpentard tolérant, c'était bien l'ex-capitaine des Serpents. « Un troll ? A ce point là ? » fit-elle en imaginant un troll avec une baguette se faisant gronder par le Professeur Slughorn : ce n'était pas très brillant. Mais niveau brillance, l'affiche présentée par l'enseignante remportait tous les lots, c'était certain : Bavid Deckham était l'homme presque parfait, pas son type idéal, mais un pur canon de beauté. « Question rhétorique ma chère ! » dit-elle avant de se mettre à sculpter avec précision les deux orbes du mannequin pour les rendre légèrement plus malicieux que ceux du portrait. Pourquoi créer un homme idéal, si il a les yeux mornes ? Inutile ! Les hommes se doivent d'être charmeur ! Etape une réussie, se fut à Marlene de s'atteler à la coiffure de l'apollon qui fut plus que réussie. « Wahou ! »  fit-elle en parfaite synchronisation avec la Gryffondor. Et bien ça alors ! Elles étaient plutôt bien parties et l'était visiblement pour une longue durée, puisque l'assistante de Métamorphose vient leur apporter une aide qui était la bienvenue, elle espérait qu'elles arriveraient à concurrencer le mannequin Potter-Pettigrew. Laisser gagner Potter. Ca, jamais. La demoiselle se concentra sur le nez finement dessiner du portrait avant de se concentrer sur le mannequin.

1 : À trop penser à Potter, on se brûlait les ailes. Preuve était que le nez sur le mannequin ressemblait à s'y méprendre à celui figurant sur le portrait, mais le détail faisait que malheureusement c'était bel et bien le nez retroussé de James qui figurait sur le visage de leur chef d'oeuvre. ZUT !

Le reste : Un nez finement ouvragé prit place sur le mannequin, parfaitement placé au milieu du visage, laissant une harmonie se crée entre les yeux et l'emplacement dédié à la bouche. Elles touchaient droit au but.

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'le dé ' : 3

Complètement insouciante de leur retard par rapport au reste de la classe, Marlene s’appliquait comme rarement - jamais ? - à détailler la bouche du modèle tout en s’entraînant à articuler des labiales avec la sienne. Sa camarade avait fait apparaître un nez parfaitement conforme aussi ne tenait-elle pas à se ramasser si près des anneaux. Gardenia en profita alors pour lui délivrer un précieux conseil. « Plus de fermeté, d’accord … » répéta-t-elle en s’avançant vers le mannequin muet. James et Peter semblaient avoir réussi l’exercice avec brio et elle ne put s’empêcher de penser que si le dernier de ce duo avait su se montrer suffisamment confiant, il n’y avait certes pas de raison qu’elle échoue. Elle se concentra une dernière fois et brandit sa baguette aussi rapidement que si elle avait affronté Bavid Deckham en duel.

1, 2, 3, 4, 5 : Des lèvres fines et joliment retroussées complètent avec brio le portrait et remontent même ses pommettes. La réussite est complète. « On se l’échange toutes les semaines ? Je veux dire … si la récompense c’est de le garder ! » profite-t-elle de sa grande taille pour poser un coude nonchalant sur l’épaule de sa poupée. « Je suis sûre qu'avec quelques sortilèges on peut même lui apprendre à parler et ... » commence-t-elle avant de reculer vivement choquée par ses propres mots. « Merlin, je deviens les hommes que je condamne ! Vilain Bavid ! »

6 : Des lèvres fines et joliment retroussés complètent avec brio le joli portrait … mais le mannequin continue sourire et n’a aucune dent. Il a l’air parfaitement crétin à sourire avec ses gencives roses. « Merlin non ! - dramatise-t-elle - J’ai tué Bavid ! On peut ... on peut peut-être tenté de rattraper en lui faisant pousser une barbe ! Non ? ». L'acharnement médicomagique, vous savez !

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'le dé ' : 2

La Serdaigle aimait bien la métamorphose, c'était une matière complexe et pleine de subtilitées qui suscitait positivement le roulement de ses neurones. D'autant plus qu'elle était enseignée par une femme accomplie et admirable, bien qu'un peu coincé au goût de Wilda. Heureuse d'avoir réussie son sortilège, la sorcière retourna son attention sur la manœuvre de sa a cooéquipiere, en espérant qu'elle réussirait à son tour le sien, ce qu'elle fit avec brio. "Yeah!" C'est que Wilda était légèrement compétitive et elle avait bien envie de gagner ce privilège, surtout de dépasser encore une fois Potter, qu'elle savait bien doué en Méta. " Ouais qu'on appelle Fleamont Potter et ses potions capillaires à la rescousse !! " Rigola t-elle en réponse à Aubérie. " D'ailleurs, t'as une recette pour ton truc à la chamomille? Je savais pas que c'était une plante qui avait des propriétés particulières pour les pointes fourchues" continua-t-elle un peu plus sérieusement en pensant au changement de saison qui arriverait bien vite et au fait qu'elle n'avait vraiment pas envie d'acheter des tuyaux de Rosalyn Weasley. " Bon aller, on lui refait le nez! " s'exclama-t-elle avant d'enchaîner avec le sortilège :

Compétence: 5/6

2: Loupé
Le reste : Excellent travail ma Wilda ! Ce nez digne des meilleures modifications des guérisseurs plastiques ! Peut-être devrait-elle repenser ses options s'il adviendrait qu'elle ne réussisse pas à percer au Quidditch. Le nez du manquait ressemblait maintenant à celui de Bavid, bien droit et pas trop gros, des narines définies au couteaux ...bref un nez à faire tomber les sorciers et les sorcières de leur balai!

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'le dé ' : 1

Bartemius avait une opinion assez neutre quant à sa voisine. Il n'avait jamais vraiment parlé avec elle. Pourquoi l'aurait-il fait ? Ainsi, leur salutation fut froide mais cordiale. Le jeune garçon écouta attentivement les explications du professeur McGonagall en regardant la photographie de Bavid Deckham. Il trouvait au joueur de quidditch une beauté assez conventionnelle mais assez banale. Il ne se détachait pas de la masse. Quelque part, il pouvait comprendre pourquoi certaines filles tombaient sous ce charme-là bien qu'on aurait pu trouver mieux.
Pendant les vacances, il avait consciencieusement fait ses devoirs. Il ne tarda donc pas à se remémorer de la formule. Cependant, Lys prit les devants et réalisa le sort à la perfection pour réaliser les yeux sur le mannequin.
« J'ai lu que les yeux étaient l'élément le plus difficile à réaliser. » commenta-t-il.
Rien d'étonnant à cela : les yeux étaient le reflet de l'âme. Ainsi, il était extrêmement compliqué de retransmettre toutes les nuances d'un regard. Il saisit sa baguette : c'était à son tour. Fort et distinctement, il récita la formule.

1 - 2 - 3: Des cheveux blonds poussèrent de la tête du mannequin. Et poussèrent. Et poussèrent. Et poussèrent ! Quand est-ce que cela allait s'arrêter ? La croissance se stoppa quand les mèches blondes eurent atteint le sol. Bartemius grommela.
4 - 5 - 6: Rapidement, des cheveux blonds poussèrent jusqu'à s'arrêter au niveau du menton. Le résultat était très proche de l'original !

Le membre 'Bartemius Croupton Jr.' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'le dé ' : 3

Le regard momentanément morne à l'idée de se retrouver en cours de métamorphose d'Alexandre se leva vers Dorcas Meadowes.
« Euh oui, j't'en prie »
La jeune fille s'assit alors à côté de lui et le professeur McGonagall entama le cours. Le Serpentard écarquilla les yeux en entendant parler des devoirs qu'il y avait à réaliser pendant les vacances. Ah ? Il n'était pas au courant. Discrètement, il sortit son livre de métamorphose pour jeter rapidement un coup d'œil aux pages qu'avaient évoquées la vieille femme pour les lire en diagonal avant de vite le refermer quand cette dernière montra la photographie de ce qu'était pour le jeune homme un illustre inconnu. Apparemment, c'était Bavid Deckham. Au temps pour lui.
A la fin de la consigne, il regarda Dorcas. « Je peux faire les yeux, si tu veux. »
Il se tourna vers le mannequin. Puis, il récita la formule (avec un petit d'hésitation) en effectuant un geste de baguette.

1 - 2 - 3 - 4 : Une catastrophe ! Un gros œil globuleux apparut au centre du front du mannequin ! On aurait dit un cyclope ! Mais bon, au moins, il était bleu. « Ce cours va être chiant. » commenta Alexandre, dépité.

5 - 6 : D'une façon très surprenante, deux yeux apparurent bien placés sur le mannequin. Et de la bonne couleur ! Mais si on regardait de plus près, on constatait tout de même que l'œil droit était sensiblement plus clair que le gauche. « J'imagine que j'ai bien fait mes devoirs ces vacances. »

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'le dé ' : 6

Aubérie faisait tourner sa baguette dans le vide, à demi concentrée sur le cours, plus à l'aise désormais en la présence de Wilda.

"La camomille éclaircie les cheveux, explique t-elle. C'est un truc de moldu. Ma mère est prête à tous les subterfuges pour entretenir  sa chevelure blonde."

Elle baisse la tête sur son manuel, espérant que la suite de la transformation se déroule aussi bien.

"Les moldus enduisent leur cheveux d'huiles d'amande, d'avocat et de je sais plus quoi pour nourrir leur cheveux. Parfois les choses les plus simples sont les meilleures", explique t-elle un peu dans le vague.

Aubérie accorde peut d'attention aux soins capillaires, ayant la chance de posséder une chevelure capable de résister à toutes ses frasques de tête brûlée. Elle s'arme d'un grand sourire quand Wilda attribue au mannequin un nez digne de Bavid Deckam.

"Bien joué. Il a l'air presque humain".

Aubérie se concentre de nouveau. Les deux tentatives de Wilda son réussies, elle ne veut pas la décevoir - ni se décevoir. Elle inspire profondément, un peu tendue avant de commencer. D'ordinaire, elle n'est pas trop mauvaise en métamorphose, mais la présence de l'élève de Serdaigle l'impressionne un petit peu...

1 - 2 - 3 Plus stréssée qu'elle ne l'aurait cru, Aubérie doit s'y reprendre plusieurs fois pour parvenir à se focaliser sur l'exercice. Le pauvre mannequin semble estropié sans sa bouche. Comme si on avait jeté un sort à Beckam pour qu'il se taise à jamais. Inspiration, expiration... admettons que ce soit vrai pour les soins capillaires, serait-ce possible qu'il se maquille aussi ? Aubérie secoue la tête pour chasser les pensées parasites. Elle prononce le sort... oui mais tout de même, être joueur de Quiddicht en possédant un teint parfait ? Le sort est lancé, la bouche de Deckam se forme. Elle se forme plutôt bien. Elle est terminée et puis, tout son contour est comme dessiné au crayon, s'entourant d'une couleur rouge foncée. La catastrophe est à son comble quand les lèvres se colorent en rouge. Plutôt cerise le rouge. "Désolée, j'étais un peu stressée", avoue t-elle à Wilda, honteuse.

4 - 5 - 6 Plus stressée qu'elle ne l'aurait cru, Aubérie se concentre pour maîtriser ses émotions et reprendre le contrôle de son esprit. Le sort de jeté, la bouche se dessine, petit à petit. En fait, elle mets vraiment beaucoup de temps à se dessiner. Aubérie entortille nerveusement une mèche de cheveux. C'est normal que ce soit si long ? Finalement, la bouche de Deckam s'avère parfaitement dessinée. Quelle soulagement !