ϟ la fiche de recensement

NOM - Lonsdale. PRENOMS - Marlon Thomas. DATE DE NAISSANCE - Né un Cinq Décembre Dix-Neuf Cent Quarante-et-Un (5 Décembre  1941) AGE - Trente-Cinq Ans. VILLE D'ORIGINE - Saint-Helier, Jersey, franco-britannique. SANG - Sang-mêlé, un soupçon d'impureté moldu à la cime d'un arbre généalogique enraciné dans le terreau d'une mixité fièrement arborée. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - ancien Serdaigle, à la scolarité irréprochable marquée de quatre cents coups nocturnes dans la parc du château britannique. ORIENTATION - Neutre, le parti de la neutralité qu'embrassent le plus souvent les princes irrésolus, qu'effraient les dangers présents, le plus souvent aussi les conduit à leur ruine.

• Solitaire • Impulsif • Entêté • Instable • Manipulateur
• Intelligent • Persévérant • Fiable • Loyal • Optimiste

• 'Et dehors c'est le chaos.' : Seul, livré à toi-même, ce sentiment; qui t’inondait et te submergeait, a laissé bien des séquelles sur l'enfant que tu étais autrefois. Le temps de ta scolarité tu ne fus qu'une pâle copie de ce bambin aimant, attendrissant et souriant, épanoui dans une famille moyenne sorcière qui auparavant s’égosillait enlacé chaudement aux creux de bras protecteurs. Le sort avait néanmoins décider de hisser devant toi l'obstacle le plus insurmontable pour un garçon à peine construit. Ainsi il brisait cet éphémère havre de paix et te noyais dans la sombre réalité, te plongeant dans le grand bain de l'adolescence. Dans ce noueux lugubre, il t'arrivais toutefois d’entrapercevoir une lueur bienfaitrice, un halo dans la nuit tempétueuse. Effrayé par l'idée du bonheur tu t’ensablais un peu plus profondément dans la solitude. Introverti, réservé, effacé, tu balayais dans la violence toute relation sentimentale, persécutant le plus faible et raillant le plus enhardis. Froid, détaché de tout, tu passais le plus clair de ton temps seul, le séant vissé sur l'assise d'une chaise de la bibliothèque du château. Et de tes nuits perturbées de terreurs nocturnes, tu t'évadais de ton lit, surpris à déambuler dans le parc. De longues balades solitaires marquées de méfaits et incivilités.  • 'C'était trop beau pour être vrai.' : Ta cinquième année te bouleversa, et la névrose qui t'habitais s’apaisa. Ton salut salvateur venait enfin. Méfiant dans les premiers temps, incertains de vouloir de te baigner dans l'inconnu. Impatient par la suite, tu t'adonnais aux douceurs de tes désirs sentimentaux les plus profonds. Si bien qu'elle était devenu ton tout. Te rebâtir dans les décombres du deuil. Stabiliser ce long chantier de reconstruction sentimental te semblait enfin possible. A ses côtés tu reprenais goût aux simplicités de la vie. Elle t'apprenait pas à pas à revivre. Elle avait réussit à chasser les fantômes qui te hantaient. Et grâce à ces quelques années, c'est en homme changé et reconstruit que tu t'apprêtait à quitter les bancs de l'école. Mais votre histoire n'aurait jamais pu finir dans le calme et la tendresse. Tu aurais pu laisser ce château de carte instable s'effondrer par la brise d'une rupture violente, mais contre toute attente tu as su maintenir la tête hors de l'eau. Attaché à ces souvenirs, tu continues d'avancé, explorant de nouveaux horizons. • 'Garde le sourire plus rien n'est grave!' : Là où tout le monde te prédisaient un avenir assuré au bureau des aurors, tu pris une décision courageuse et rassurante. Tu écartas ce chemin que l'on t'avais tracé et pris une pente moins sinueuse, moins dangereuse. Toujours en proie aux démons qui te poursuivent, par peur de laisser éclater une personnalité enfouie, tu t'es dirigé vers la simplicité d'un emploi moins exposé. Sage décision, ou simple peur de devoir faire face aux fantômes du passé, tu sembles tout du moins t'épanouir dans ce travail au sein du ministère. Saches seulement que ce spectre finira par te rattraper. Les blessures et cicatrices, témoins de ton enfance fastidieuses, referont tôt ou tard surface, seras-tu seulement prêt à les affronter ? Ou seras-tu de ceux qui perdent pieds et se laisse couler ? Seul l'avenir te le diras, mais garde bien en tête que ton passé dicte la personne que tu seras.    

VOTRE PATRONUS - Un corbeau, volatile de mauvaise augure, témoin du chaos, maître du charnier, il n'est que le miroir du désordre qui habite le sorcier.  
VOTRE EPOUVANTARD - Un mur, infranchissable, incontournable, un obstacle immuable que rien ne parviendrait à percer, mais qui se change en un château de cartes une fois frappé par un Riddikulus.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Aucun, peu enclin aux surprises de mauvais goût, il ne s'est jamais risqué aux saveurs de ces confiseries farceuses.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Le sortilège de Têtenbulle, rien de plus adéquat pour cet amateur de plongée qui aime se perdre dans les abysses aqueuses bien à l'abri des embruns fastidieux du monde magique.   
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Une potion d'Aiguise-Méninge, idéal pour éclaircir son esprit lorsqu'il lui arrive de divaguer et perdre pied.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Ollivander's, incontournable pour tout jeune sorcier, temple britannique pour porteur de baguette, qui n'aurait pas des étoiles dans les yeux en franchissant la porte de cette échoppe ?
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Nicolas Flamel, cette vieille branche finira bien par enterrer encore quelques générations avant de se volatiliser en un tas de cendre.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – L'hippogriffe, majestueuse créature aussi fascinante que dangereuse, imposante elle appelle au respect, cette qualité qui tend à se perdre ces derniers temps.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – Un arôme de cerisier couplé aux essences de l'herbe fraîchement coupée imprégné sur le cuir d'une reliure d'une encyclopédie datée.

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?

Répondre aux questions d'un murlap myope et écervelé, ne faisait guère parti des priorité de Marlon. Il fut encore moins emballé à l'idée de parler de soit quand le dit rongeur ne se trouvait être que Rita Skeeter en chair et en poil. Sa première requête ne se fut pas sans une répartie de mandragore en rûte. Il n'avait guère pu donner les grandes lignes, que l'excroissance qui lui servait de plume se mit aussitôt à l'oeuvre, griffonnait un 'on ne sait quoi' sur un parchemin fraîchement déroulé. «C'est bien cela, la reprit-il d'un souffle dépité et empreint de mépris. La brigade pour laquelle je travaille balaie la vermine qui pullule au sein de notre communauté.» s'empressa-t-il d'ajouter tout en laissant sa baguette magique glisser entre ses doigts.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?

Adossé le long d'un pilier marbré, le sorcier marqua à nouveau son mécontentement dans un soupir tendancieux. Se devait-il vraiment d'ajouter quoi que se soit, alors que la plume à papote de Miss Veracrasse se chargeait déjà de formuler ses dires sans que ses lèvres ne viennent à s'ouvrir ? Cette conversation nauséabond prenait un tournant auquel l'employé du ministère ne s'était guère préparé.  «Vous avez l'air d'être bien au fait de la vie sentimentale de vos 'proies'.»  Son ton se fit plus menaçant et froid. Le parchemin se déroba assez pour que l'écriture bâclée et retouchée du stylet ensorcelé ne laisse paraître en lettres capitales un 'CŒUR A PRENDRE - SENTIMENTALEMENT INSTABLE'. Les joues du tireur d'élite s'enflammèrent sitôt l'inscription inversée déchiffrée. «Je ne suis pas instable sur le plan des senti...»  Avant qu'il n'ait pu ajouté quoi que ce soit de plus, la harpie magique vint à lui caresser les lèvres coupant ainsi court à toute discussion.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !

Par la barbe de Merlin, quel sortilège l'avait poussé à accepter un tel festival d'ouverture de portes à grands coups de Bombarda Maxima. De nature effacée et réservée, Lonsdale ne comptait pas lui facilité la vie. Ainsi, il ne se résoudrait pas à lui dévoiler les revers qu'il avait essuyé tout au long de son existence. «Mes parents sont décédés avant que je n'ai eu la chance de faire ma première rentrée à Pouldard. finit-il par conter la gorge nouée. J'ai donc été élevé par un charmant couple de géants dans un grotte du...» Les crissements de la plume se firent de plus en plus rapide et assourdissant si bien que les dires du britannique se firent moins audibles. L'encre noire de ce feuillet tombé au sol dévoilèrent un nouveau tissu de frivolités qui arrachèrent un sourire au sorcier. « Parent absent, adoptant violent et effacé dans l'éducation d'un enfant en perdition...hmm bref mais concis je dois bien vous l'accorder.» Cette interview tournait en une farce dans laquelle l'ancien Serdaigle commençait à se plaire à jouer le premier rôle.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.

Des projets, des rêves, des perspectives d'avenir, tout sorcier normalement constitué s'en berçait à grands coups de promotions, d'amours éphémères et autres inepties honorables, mais irréalisables. Marlon quand à lui faisait parti de ces gens qui profitaient des instants lorsqu'ils se présentaient à lui. Vivre au jour le jour, sans se soucier de ce que les lendemains pouvaient bien lui réserver. «Oh ! Disons qu'un poste de premier ministre me siérait à merveille. ironisa-t-il. Idéaliste que je suis, cette futilité ne sera qu'affaire de quelques années de bons et loyaux services auprès de la société magique !» Face à cette assurance déconcertante, les deux goules en manque de ragots se dévisagèrent longuement, avant que l'aigrette ne se remette à gratter quelques mots. Non content de sa prestation, le jeune homme toisa les professionnelles du journalisme les bras croisés sur le torse, la baguette fermement tenue entre des mains nerveusement amusées.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.

Touché, coulé, comme dirait le plus éclairé des moldus. Cette demande le mit plus mal à l'aise qu'il ne l'était déjà. S'attendait-elle réellement à ce qu'il s'ouvre à elle tel un exemplaire poussiéreux de sortilèges et formules pour les nuls ? Freinant tout spasme musculaire amené à trahir ses véritables convictions; son agacement face à une société trop bureaucratique et ennuyeuse, apeurée par le moindre 'on dit', suspicieuse envers ces réfractaires au conformisme. «Je suis la ligne directrice dictée par le ministère de la magie, ni plus ni moins. s'évertua-t-il à souffler sans se convaincre lui-même de ce mensonge. Néanmoins le Billywig shakespirien s'exécuta et paraphrasa les propos du Serdaigle. La Croup de journaliste en attendait toutefois plus, elle comptait bien lui tirer les veracrasses du nez. Dans un moulinet frénétique digne d'un maître d'orchestre elle l'invitait à étayer ce retour bien trop formel. «Etes-vous aussi sourde qu'un chaudron ?! les nerfs éprouvés par cette interview bien trop fastidieuse à son goût, ses cordes vocales venaient de trahir son impatience. Son écho avait pourtant réussit à clouer le bec de l'hippogriffe mal léché.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?

Cette farce n'en finirait-elle donc jamais ? Le tireur d'élite allait émettre de sérieux doutes quant au professionnalisme de cette harpie. D'où arrivait-elle à sortir de telles fantaisies ? Un génie, trois vœux, et pourquoi pas une attaque de détraqueurs au ministère tant qu'à faire ! Il avait perdu assez de temps, et bien qu'il ait livré une performance médiocre et soit amusé par cette mascarade il avait d'autres vivets dorés à attraper.  «Non pas que votre présence m'importune, mais je crois qu'un Sharak déambule dans l'édifice! lâcha le britannique coupant court à toute autre bouffonnerie. Et avant qu'elle n'eut le temps de le retenir, l'employé du ministère s'éclipsa fissa dans le dédale de couloirs. 'Rabat joie narcissique et dérangé sur le plan psychologique ! furent les derniers mots cinglant inscrit sur le parchemin.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Non Où avez vous connu le forum ?  J'ai déjà eu un personnage sur le forum, mais j'ai oublié de faire acte de présence, du coup je viens me rattraper. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : oui et oui [jeudi-jobarbille]

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

Sujet ACTION :
— Pour une raison ou pour une autre (maladie, accident magique ou autre), vous devez passer un court séjour à Ste-Mangouste. Pourquoi ? Que vous arrive-t-il une fois à l'hôpital ? Décrivez votre aventure au cours d'un RP.

My mind is lost away

“Took the get well soon cards and stuffed animals, poured the old butter beer down the sink. Dad always told me don’t you cry when you’re down but mum there’s a tear every time that I blink.”

C

hassés pour un temps, balayés un instant, congédiés dans le déni, tes démons en vieux amis avaient resurgi. Écrasant les paisibles songes d'une nuit, effaçant ces années de répit. Ils étaient en ennemis venus, au coin d'un sommeil bercé par le chahut, quémander leur dû. Et quel ne fut ce fracas dans la chaleur de tes draps. Dans l'humidité de la sueur salée, comme le serait la marée, c'est une âme tourmentée qui s'était éveillée. Cette fragile quiétude s'était métamorphosée en une peur grandissante, une angoisse naissante. L'amertume de ces sombres moments surgissant dans l'engourdissement apaisant d'un épisode de relâchement. Apeuré, exténué, les poings serrés, le visage figé, crispé d'anxiété, alerte tu ne pouvait que constaté, ton monde bâti sur la précarité dans la crainte s'effriter. Transit par le froid, glacé par l'émoi, tu te laissais sombrer.

Q

uatre heures. Deux cents quarante longues minutes et ton regard absent toujours perdu sur les lignes ondulées des linges aux couleurs de ta maison. Et tandis que le halo d'un jour nouveau illuminaient timidement le dortoir, les têtes blondes de tes camarades fraîchement sorties de leur léthargie se tournèrent avec inquiétude vers ce corps pétrifié, catatonique. Les murmures de Serdaigle faisaient à présent écho aux râles d'agonie qui te chuchotaient au creux de l'oreille. Le parfum des sucreries se muèrent en odeur chaude de brûlée. Ton cas empirait et personne ne songeait à te venir en aide. Un mot, une tape amicale et chaleureuse, du réconfort, tu ne demandais rien de plus. Si bien que le vacarme du battement de la porte t'arracha un gémissement fiévreux.  Une silhouette brumeuse, vaporeuse et argentée plana jusqu'à toi. Accroché à cette image apaisante, tu ne sentis ton être quitter la moiteur de ta literie.

E

n un craquement sourd, les lourds murs de Poudlard s'étaient évaporés. L'agitation qui t'entourait, l'effervescence de tes aînés s'affairant et cette impression de légèreté qui t’entraînais au travers de dédales de couloirs nourrissait ton angoisse. Toutefois, tes membres te refusaient tout mouvement. Merlin seul savait à quel point l'envie de t'enfuir te dévorais. Courir sans s'arrêter. Crier à gorge déployée. Te défouler sur ce qui te passerais sous les mains. Pourtant tu ne pouvais que rester sur cette litière, prisonnier dans cette enveloppe inerte. 'Parlez-moi ! Dites-moi quelque chose! Aidez-moi à  sortir de ce cauchemar.'  Tes appels au secours muets restèrent longuement sans réponse. Sous tes prunelles noircies, le défilé des blouses nacrées se faisait inlassablement. Cette valse de manteaux blancs te berçait, chaperonnant ton âme d'enfant affolé dans une sieste animée.

D

issimuler tes émotions, ne rien laisser paraître, fermer les portes de ton esprit et cloisonner ces vagues ténébreuses, ces souvenirs meurtris. Tu aurais tellement voulu garder la grille de ton jardin secret à tout jamais close. Pris au dépourvu à l'instant le plus mal venu, affaiblis, fatigué, vidé de toute énergie tu n'étais que le témoin privilégié de cette intrusion spirituelle. Ainsi enfonçant un à un les obstacles abstraits que tu tentais d'ériger, le legilimens s'abreuvait de tes souvenirs, énumérant les mauvais tirages des astres dont tu avais été le premier affecté. Perte prématurée d'êtres chers, sentiment d'abandon, instabilité émotionnelle,  le tableau qu'il peignait de ton cas laissait présagé un long séjour hospitalier. Une poignée de minutes lui avait suffit pour tirer tout ce qui leur serait utile. Et le carnaval reprit. Médicomage après médicomage, spécialiste après spécialiste, ton cerveau désaxé ne savait que retenir. Un visage, un nom, une voix, si bien qu'ils finirent par se ressembler parlant un jargon énigmatique, une langue incompréhensible, étrangère.

L

a fin de l'année scolaire était passée tout comme l'été. La veille de la rentrée approchait et tu n'avais que peu profiter. Aucun voyage à raconter. Aucune aventure à chanter. Aucune épopée à narrer. Ton Psychomage pour seul amour saisonnier. Un elfe amoché pour meilleur ami de chambrée. Les murs chromatisé pour seul exil et un ourson camisolé pour seul couché.  Tu n'avais rien à exposer, mais pourtant ton esprit semblait à nouveau apaisé. Léger, détendu et rassuré, tu t'apprêtais à retrouver un univers plus familier.

️ nightgaunt

OK. Toi je t'aime déjà
)(re)Bienvenue a la maison !
(et par pure curiosité, qui fûs-tu avant d'être Marlon ?)

Bienvenue parmi nous joli garçon instable

Welcome on boat buddy ! C'est vrai ça, t'étais qui ?