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Nos émois, au placard w/ Razvan

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Razvan Vacaresco

Razvan Vacaresco


MANGEMORT
L'homme n'est libre que de choisir sa servitude.

MANGEMORTL'homme n'est libre que de choisir sa servitude.
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| AVATARS / CRÉDITS : Pedro Pascal | vesnaproduction | signa par okinnel | icons par undeadtodds et Ethereal
| SANG : Inconnu | Sans doute mêlé.


Caractéristiques du sorcier
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| PATRONUS : Un chacal doré.
| POINTS DE COMPÉTENCE :

Nos émois, au placard w/ Razvan  - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Nos émois, au placard w/ Razvan Nos émois, au placard w/ Razvan  - Page 2 129196351Jeu 12 Nov 2020 - 12:24

Ce qui se cachait dans un baiser secret échangé avec Neolina, c'était cette étrange sensation qu'il n'aurait jamais pensé ressentir en sa présence, ce besoin indescriptible de se coller contre elle alors même qu'ils n'étaient pas ensemble. Ce placard avait mis le feu à un désir peut-être neuf, ou peut-être qui se développait depuis longtemps et que les hormones adolescentes n'aidaient pas à faire disparaître. Le jeune homme ne ressentait pas nécessairement un besoin si urgent avec Mara. Peut-être était-ce aussi parce qu'ils étaient ensemble depuis deux mois, là où il goûtait aux lèvres de son amie d'enfance pour la première fois. Et si les paroles de la jeune femme étaient pleines de sens, faire comme si ces sept minutes n'avaient pas existé, elles faisaient mal. Être dehors ne fit qu'accentuer sa culpabilité, sa honte aussi, peut-être. La main froide de sa petite amie s'enroula autour de la sienne alors qu'il lui jetait un habituel regard blasé. Pas blasé d'elle, non. Blasé de ce jeu, de ces gens qui les épiaient comme s'il s'était passé quelque chose d'important. Oh, wait...
Razvan suivit du regard la silhouette de Neo qui les dépassait pour aller se poster, un peu revêche contre un mur. « Je te le fais pas dire » maugréa-t-il, « je vais avoir un bleu au coude et au menton ». Semi-plaisanterie pour lui signifier qu'il ne lui en voulait pas. Neolina (et lui de la même façon) crevait de chaud et cela se voyait. Mais ce n'était pas nécessairement le temps ni le placard qui étaient en cause. La sensation des lèvres de la jeune femme sur les siennes avait réveillé quelque chose qu'il avait du mal à réfréner : l'envie furieuse de recommencer. Mais Razvan était pragmatique. N'est-ce pas ? Il était un adolescent, sa tante lui avait souvent répété qu'à cet âge, malheureusement, on fait toujours les plus mauvais choix et qu'on le regrette si ça va trop loin. Est-ce qu'il le regrettait...? Oh, peut-être pas encore. Bientôt, sans doute, lorsqu'il réaliserait correctement que non, il n'y aurait pas de deuxième fois. Le temps s'étirait maintenant entre le moment où cela s'était passé et le moment présent, et ça les éloignait encore et encore, tous les deux, de cet étrange passage où le temps semblait s'être suspendu entre eux. Mais heureusement que Neolina était là pour le faire redescendre. Les dernières paroles le blessèrent si fort qu'il fut médusé par ses mots. Aurait-il était ainsi vexé si elle avait dit cela alors qu'il ne s'était rien passé ? Non, peut-être pas. Mais voilà. Le regard noir de l'adolescent devint plus froid : « Bon, on va y aller » dit-il d'une voix un peu plus tendue, « à plus Neo ». Mara, qui était restée silencieuse, fit un signe de la main à la jeune femme alors qu'il l'entraînait un peu plus loin.

C'est lorsque Neolina fut assez loin d'eux pour ne pas entendre leurs voix que la jeune femme tira un peu sur la main de son petit ami pour l'arrêter alors qu'il marchait, le regard perdu dans le vide : « Vous ne savez pas mentir ». La phrase d'elle même l'empêcha de faire un pas supplémentaire alors que son dos se voûtait légèrement sans qu'il ne s'en rende compte et que son regard se plantait dans celui de sa petite-amie d'un air interdit. La main de la jeune femme embrassa sa joue avec violence : « Je t'interdis de m'humilier encore comme ça ». Oh, en général, Razvan n'était pas quelqu'un de violent et il détestait la violence. Mais cette gifle, il l'avait mérité. Mara lâcha sa main comme si elle l'avait brûlé pour continuer de marcher devant lui, les bras croisés. Vexé comme un pou par Neo, mortifié par l'expression furieuse sur le visage de sa petite-amie, le jeune homme se dit que définitivement, il aurait mieux fait de ne pas venir ce soir.


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