ϟ La fiche de recensement

NOM – Calloway. Nom de famille à consonance irlandaise. PRENOMS – Alexis Rose DATE DE NAISSANCE – 29.09.1950 AGE – 29 ans VILLE D'ORIGINE – New-York (quartier de Manhattan et SoHo plus précisément). Place des artistes et des pensées bohèmes. SANG – Né-moldu ANCIENNE MAISON A POUDLARD – Pas Poudlard. Mais Ilvermorny et Serpent-Cornu. ORIENTATION – Neutre – La demoiselle n’a jamais su choisir son camp de toute manière.

D’un tempérament aussi coloré que ses cheveux peuvent l’être, Alexis est une petite sorcière artiste débordante d’une énergie et d’une bonne humeur communicative. A la fois douce et empathe, elle tendra toujours la main vers des illustres inconnus, qui lui feront alors confiance. Avec son sourire et sa petite voix flûtée, elle casse les codes de la société. N’hésitant nullement à hausser le ton pour ses idéaux et démontrer par A+B, qu’elle a –toujours- raison. Petite par la taille, mais grande par l’audace, la petite Calloway ne se prive pas d’asseoir ses convictions. Qu’elles plaisent ou non.

Idéaliste et atypique, elle brille par son art qu’est la peinture, retranchée durant des heures dans son Atelier. Dans une pénombre propre à la création, ainsi qu’un état perpétuel de Mélancolie qui l’étreint quand elle frôle sa toile d’avec son pinceau maculé de gris. Alexis aime le gris, parce qu’il est rempli de nuances, toutes aussi improbables que peuvent l’être les âmes humaines. Ces mêmes âmes, qu’elle peut peindre avec l’aide de son Don. Ne le considérant pas comme une Malédiction, mais comme une offrande des Dieux.

Derrière ce joli minois toujours en perpétuelle maitrise, se cache une part bien plus sombre. A l’intérieur de ce cœur qui aime le monde, il y a cette fêlure. Orchestrée par un amour puissant, qu’elle n’a jamais oublié. Un Peintre, aussi ténébreux, qu’elle peut être lumière. Et qui, aussi vite qu’il l’a aimée à sa façon, a disparu comme un vulgaire coup de pinceau.

VOTRE PATRONUS – Une Raie Mobula
VOTRE EPOUVANTARD – Ne plus savoir distinguer les couleurs du monde, qui l’entoure.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Elle aime tout tester, même les goûts les plus improbables. Ayant d’ailleurs le souvenir cuisant d’un mélange piment et poudre de piment. Sa langue s’en souvient encore. A ne pas reproduire, donc.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Tergeo. D’une praticité extrême pour nettoyer des pinceaux.
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Potion de restitution.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Obscurus Books.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – James Steward.
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Un Kelpy.
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – L’odeur du café noir fraîchement moulu mélangé à une odeur persistante de brou de noix et de térébenthine.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? – Alexis possède un Don : elle peut peindre votre Passé, votre Présent ou encore votre Futur. Il est bien sûr établi, qu’elle ne le contrôle pas vraiment, ce dernier allant et venant au gré de ses envies. Bien sûr, elle n’en fait pas commerce. On ne demande jamais de l’argent pour pareille providence établie par les Dieux.

Explications : Deux possibilités s'ouvrent à toi à présent. Tu es libre de choisir SOIT de remplir l'interview du seul et l'unique Machiavel Gondole SOIT de rédiger un texte libre (une lettre, un journal intime, un monologue dans ta baignoire etc.) où tu y fais figurer quelques informations capitales parmi lesquelles : ton métier ; quelques informations sur ton enfance et ta scolarité à Poudlard ; ton orientation politique ainsi que ta situation amoureuse. Libre à toi d'être ou non exhaustif.

MACHIAVEL: Bienv'nue au Ministère, allez, bouge, avance toi un peu. Voilà. File-moi ta baguette que je l'enregistre. J'suis sûr qu'tu fais un métier... Incroyable. Allez raconte-moi un peu ta vie.
La petite sorcière brune ne savait pas pourquoi elle avait été convoquée. Avait-elle fini un peu trop saoule lors d’un anniversaire bien trop arrosé de son nouveau cercle d’amis ? Et finir seins nus en plein Londres, parce qu’elle avait accepté un gage ? Et qu’elle aimait particulièrement dire oui. Parce que c’était drôle, de voir les britanniques s’offusquer devant pareille démonstration de liberté. Presque déçue, Alexis comprit que c’était pour un tout autre motif qu’elle avait été assignée à comparaître devant un dénommé Machiavel. Pour lui présenter sa baguette. Haussant les épaules, elle le fit tout en se glissant sur le bureau à la suite de sa baguette, couchée sur le dit bureau, sa petite tête brune posée dans ses paumes, elle observait l’homme. Lui expliquer son métier et lui raconter un peu sa vie ? Un petit rire flûté, une petite moue de réflexion. Let’s go, comme on dit.
Je suis Peintre. Dans le sens le plus strict du terme. Sauf que j’ai un petit truc en plus. Chez elle, tout était petit et ça la faisait sourire. Je peux vous peindre votre Passé, votre Présent ou votre Futur. Mais ça, je ne le contrôle pas.

MACHIAVEL: HAHA ! T'sais c'qu'on dit des baguettes ? Elles sont à l'image de leur sorcier, eh ouais, j'invente rien, c'est sorti de la bouche du vieux Ollivander lui-même ! Alors, ta vie amoureuse ? Ça a l'air d'être un sacré désert...  
La question de l’Amour … On en revenait toujours aux origines. La petite Calloway, le comprenait parfaitement. C’était ce sentiment puissant qui faisait tourner les rouages du monde, depuis des millénaires. Et qui en perturbait plus d’un ou plus d’une, mais pas elle. Elle, elle avait connu le grand amour. Ça, elle en était sûre et certaine. J’ai été aimée et j’ai aimé en retour. Quoi de plus magnifique ? Malgré, qu’il était parti, aussi intangible qu’une nuance de blanc sur un tableau. Et, qu’il ne reviendrait probablement jamais. Lenny ou l’Amour. Ou un peu des deux. Qui sait ?

MACHIAVEL: Ah bah, l'récit de ta vie amoureuse a l'air d'être aussi court que ta baguet- hum hum... C'est presque fini, arrête de râler. Alors à Poudlard, t'étais où ? T'as une bonne tête de Poufsouffle. Enfin j'juge pas moi tu sais.  
Votre école, je ne la connais pas, Monsieur Gondole. Moi, j’étais à Ilvermorny. Vous voyez où c’est ? Vous connaissez le Mont Greylock ? Là, où est notre Maison. Et, vous savez que nous avons des statues qui s’animent pour nous choisir ? Pour ma part, ce fut celle du Serpent-Cornu qui manifesta son jugement, en faisant s’illuminer le cristal sur son front. Quand il s’agissait de son école de sorcellerie, Alexis était intarissable sur le sujet. Un véritable moulin à paroles, qui parlait avec des grands gestes, contrastant à merveille avec la petite carrure toute fluette étendue sur l’étouffant bureau protocolaire.

MACHIAVEL: Par les chaudrons de Merlin ! T'dois avoir de sacrées ambitions, non ? Raconte un peu, t'veux faire quoi de plus ? Moi, quand j'étais gosse, j'rêvais d'être joueur de Quidditch, j'ai l'physique mais pas l'mental, ça crève les yeux d'Œdipe, non ?
De sacrées ambitions ? Elle avait déjà exposé dans les galeries d’art, les plus prestigieuses de New-York. Côtoyant les plus grands de ce monde, lors de galas où sa créativité n’était pourtant qu’accessoire. Alexis avait peint les plus hautes fortunes de Sang-Pur, qui se bousculaient pour l’avoir dans leurs salons extravagants. Alors, quand il s’agissait d’ambitions, elle en connaissait un rayon. J’ai exposé parmi les plus grands de ce monde à New-York. Il me reste Londres et ses environs. Une petite pause, tout en réfléchissant, les iris gris pétillant subitement. Dites, vous connaissez un certain Malone ?

MACHIAVEL: Alalalala... Regarde c'vieux Minchum qui passe. Y s'prend pas pour n'importe qui... Enfin... Magie blanche, magie noire, de toi à moi, de moi à toi, tu préfères quoi ?
La petite brunette ne savait pas qui était ce Minchum, que ce Machiavel Gondole lui présentait avec toute la bonhomie possible et imaginable. Tout ce qu’elle pouvait en déduire, c’était qu’elle pouvait le peindre, s’il le souhaitait. Déjà partie dans son association de couleurs,-dans sa tête-, elle se représentait chaque coup de pinceaux, chaque geste léché. Oubliant, sciemment ou non, la question posée.

MACHIAVEL: Allez, ouste, c'est bon, elle est enregistré ta baguette. Au plaisir de n'plus t'revoir !

Avez-vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  JOKER. Où avez-vous connu le forum ?  Jadis, sur ce qu’on appelle le net. Avez-vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui + Samedi/serpencendre

Vous avez la possibilité de réserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :
AUTRE :
— Exemple de post de façon RP de votre choix.

***

Il est spécifié que le principal concerné n’a jamais reçu cette lettre et qu’il ne la lira probablement jamais. Car Alexis Rose Calloway, ne la lui a jamais envoyée.

Cher Lenny,
Comment te portes-tu depuis tout ce temps ? Comment vis-tu ?
Es-tu toujours à New-York à arpenter le monde avec ton sens créatif et artistique ? Ou as-tu disparu pour te construire et te réaliser ? Car, ce talent propre à ta personne, c’est ce qui m’a toujours plu et impressionnée. Parfois, il me revient ces instants de nostalgie, propres à ce que nous faisions tous les deux et qui nous liait intrinsèquement.

Tu te souviens, quand on restait des heures silencieuses à peindre ? A ne pas se parler, tant l’adrénaline créatrice et inventive nous submergeait tous les deux. Et qu’à la fin, quand nous avions succombé à cette décharge conséquente de sensations, nous nous retrouvions. Comme aux premières lueurs du monde, comme aux premières lueurs de l’aube. Je dois te l’avouer : ça me manque. Ces instants de fusion, qui n’appartenaient qu’à nous et que je n’ai plus jamais su retrouver chez aucun autre. On était liés par la Passion, par celle qui nous fait exister en cet univers.

Je t’en ai voulu Lenny, d’être parti.
D’avoir été aussi peu cérémonieux dans ton départ. Cependant, je peux te remercier avec force et amour : je n’ai jamais été autant prolifique qu’après ton éloignement. J’ai été couronnée de succès par nos pairs de nombreuses fois. Et ce, grâce à toi. Je ne te féliciterais jamais assez pour m’avoir causée autant de peine et d’atermoiements. Mais, c’est comme ça. Ce sera toujours comme ça. Au fond de moi, je t’en voudrais toujours. Mais, d’un autre côté : je te pardonne. C’est à la fois paradoxal et destructeur. Un peu comme notre « relation ». Or, saches que je ne la renierais jamais Lenny.

Jamais.

J’espère que de là où tu te trouves, tout va pour le mieux.
Que je te souhaite la réussite, dans tout ce que tu peux entreprendre désormais. Même si je sais, que ce sera concluant, car il y a ton talent. Et, ta force de caractère.

Je t’aime Ronan Lenny Malone.
Pour toujours.

Rosa