ϟ la fiche de recensement

NOM - Walsh PRENOMS - Dexter Troy Miles DATE DE NAISSANCE - 18 mai 1938 AGE - 41 ans VILLE D'ORIGINE - Manchester SANG - Sang mêlé ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Gryffondor - courage, détermination, force. ORIENTATION - Côté du bien

Dex,

Tu m’as dit en partant qu’un jour, je t’oublierai. C’est peut-être vrai, du moins, un jour sûrement, j’arrêterai de t’aimer. Mais pas encore. Tu vois, j’en suis à t’écrire une lettre que je ne t’enverrai même pas, juste comme ça, pour évacuer les restes de toi qui s’invitent encore dans ma tête.

Il y a des gens qui disent que l’amour, c’est facile. Que ça doit être une évidence, et que s’il faut faire des efforts, alors c’est que ce n’est pas la bonne personne. Ces gens-là sont des imbéciles. Tu n’étais peut-être pas le bon, car le bon ne serait pas parti, mais toi et moi, on s’est aimés. Et Merlin sait qu’il en a fallu des efforts pour arriver à se supporter. Toi et ta maniaquerie, mes vêtements que tu mettais en vrac sur ma place dans le lit, même quand j’étais déjà dedans, pour que je les range. Cette façon ridicule que tu as de mettre toutes les anses des mugs du même côté dans le placard. Les mots qui m’échappaient parfois, que tu ne pouvais t’empêcher de corriger, tellement poli, trop parfois. J’aurais souvent préféré que tu t’énerves, que tu me hurles dessus, plutôt que cette exaspération et cette colère froide quand on s’engueulait, Oui, j’ai écrit engueulé, Dex, mais quelle importance… Tu ne le liras même pas. Quand tu me heurtais avec ta franchise parce que la vérité est toujours bonne à dire, parait-il… J’aurais peut-être parfois préféré que tu me mentes.

Comme ce jour-là, quand tu es venu me dire que tu m’aimais encore, mais que c’était fini. J’aurais préféré que tu mentes, oui, que tu me dises que tu ne ressentais plus rien. Comment peut-on aimer quelqu’un et être si déterminé à le quitter ? Parfois, je m’en veux de ne pas t’avoir retenu, mais ça n’aurait servi à rien. Tu es tellement borné, c’est à la fois une de tes plus belles qualités, et un foutu défaut. Parce que dans ta vie, tu t’es battu pour tout, tout oui. Pour réussir, devenir celui que tu es, pour combattre tes démons, tes addictions, et tous les jours tu te bats, à m’en faire crever de trouille autrefois quand tu ne revenais pas. Mais ce jour-là, quand tu es revenu, parce que tu es toujours revenu, quelque chose avait changé. Et tu ne t’es pas battu pour moi. Tu ne veux pas me perdre, c’est ce que tu as dit, et le pire en fait, c’est que c’est ce que tu as fait, accepter de me perdre pour me protéger, quel chevalier servant !

Pardon, je suis énervée. J’ai toujours été si fière, tellement fière de ce que tu faisais, souvent plus que toi d’ailleurs. Tu disais toujours que c’était ta mission, ce pourquoi tu étais fait, et qu’il n’y avait aucune vanité à avoir à ce sujet là. Mais tu es l’un des plus brillants Aurors au sein d’un guerre sans merci, Dexter. Te rends-tu seulement compte de l’image que tu renvoies, de l’exemple que tu es ? L’énergie que tu déploies pour sauver les autres, le monde aussi, cette putain d’abnégation qui a ruiné combien de nos soirées, hein ? Ce que j’ai pu t’admirer. C’était peut-être un peu déséquilibré d’ailleurs, mais te regarder et me dire que mon homme était la personne la plus bienveillante et courageuse que je connaisse, c’était bon pour notre amour, peut-être moins pour mon égo. Parce qu’avec toi, personne n’a jamais le droit à l’erreur, Dex. Personne. Même les petits délinquants, tu les enverrais passer une heure à Azkaban pour leur faire passer le goût de recommencer. C’est beau l’intégrité, la justice, ces belles valeurs là que tu prônes au point que tu en presque devenu un symbole vivant, mais tu sais quoi Dexter ? On est pas tous comme toi. Les gens font des erreurs, même toi. Mais comme même ça tu ne l’acceptes pas, comment tu pourrais le faire avec les autres ? Tu es peut-être un homme du côté de la loi, mais tu n’es pas un juge. Pourtant, combien de fois j’ai senti la déception dans ton regard ? C’est dur tu sais, parce que t’étais tout là-haut, sur le piédestal sur lequel je t’avais installé, et tu me jugeais, silencieusement, parfois tout haut quand il aurait fallu se taire. C’était pour mon bien, soit-disant. Mon bien, oui…

Je sais bien que ta façon d’aimer à toi, elle n’a rien à voir avec celle des autres. Pas un petit-déjeuner au lit, ça non, ça aurait mis des miettes dans les draps ! Combien de je t’aime en quatre ans ? Mais au moins, je me souviens de tous, ou presque. Tu préfères le montrer que le dire, et il faut comprendre au début, c'est pas facile. Que regarder derrière moi quand je faisais mes calculs d’apothicaire, ça n’était pas pour m’énerver, mais pour éviter que j’ai des problèmes. Que si tu te levais tellement tôt le matin, au point que je me réveillais tout le temps toute seule, c’était pour que j’ai de l’eau chaude quand ça serait mon tour de passer sous la douche. Que venir me chercher à la sortie d’un bar avec mes copines, ça n’était pas pour me fliquer, mais parce que tu savais avant tout le monde qu’un grand malade rôdait dans Londres. J’ai mis le temps à comprendre. Au début, j’ai voulu te quitter tellement de fois. Et puis j’ai compris que c’était ta façon à toi de prendre soin de moi, sans vouloir t’attirer les honneurs ou quoi que ce soit, parce que tu le faisais de bon coeur. Tu le faisais pour moi, et peu importaient les conséquences pour toi. Pour les autres, du moins ceux qui comptent, tu ferais tellement n’importe quoi que parfois, j’étais même jalouse des autres autres.

Mais je sais maintenant, aussi, que tu ne peux pas être l’homme d’une seule personne. Je n’aurais jamais pu te garder que pour moi. Tu es l’homme de tout un peuple, et je sais que tu te battras pour eux jusqu’à mourir. Et donc, tu te battras toujours aussi un peu pour moi.

Tu vas me manquer, enfoiré.

Paolina.

PS : oui je sais, je suis vulgaire, mais ce n’est pas un manque de respect. Pour toi, ça a toujours été comme des mots d’amour, vache un peu, mais d’amour. Promis.

VOTRE PATRONUS - Un border collie (forme animagus également)
VOTRE EPOUVANTARD - La mort d’un de ses proches
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Café
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Incarcerem
VOTRE POTION PRÉFÉRÉE – Veritaserum (autrefois, potion revigorante, mais n’y touche plus depuis près de 20 ans)
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Wiseacres, Équipements pour Sorciers
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Godric Gryffondor
VOTRE CRÉATURE MAGIQUE PRÉFÉRÉE – Le Phoenix
L'ODEUR DE L'AMORTENTIA – L’herbe au petit matin, l’encre et le café italien.

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Prêt à faire régner la loi.

MACHIAVEL: Bienv'nue au Ministère, allez, bouge, avance toi un peu. Voilà. File moi ta baguette que je l'enregistre. J'suis sûr qu'tu fais un métier... Incroyable. Allez raconte moi un peu ta vie.
Incroyable, oui. C’était qu’il avait mérité sa place, Dexter, parmi les hauts rangs du Ministère, et qu’il s’agissait moins d’une fierté que d'un véritable accomplissement. Tendant d’un geste sa baguette à l’homme dont il n’appréciait que peu la familiarité, il se tenait parfaitement droit malgré les longues minutes d’attente pour parvenir jusqu’à l’homme chargé de faire respecter le protocole. La loi, c’était la loi, et s’il lui fallait se départir quelques instants de sa précieuse baguette dont il ne se séparait jamais, pas même pour dormir, alors soit. « Dexter Walsh, Auror et sous-chef du bureau des Aurors. » précisa-t-il pour que son interlocuteur puisse remplir les formalités d’usage. Ne pas le voir noter l’information le laissa toutefois bien perplexe.

MACHIAVEL: HAHA ! T'sais c'qu'on dit des baguettes ? Elles sont à l'image de leur sorcier, eh ouais, j'invente rien, c'est sorti de la bouche du vieux Ollivander lui-même ! Alors, ta vie amoureuse ? Ça a l'air d'être un sacré désert...  
Dexter se tendit aussitôt qu’il eut entendu cette expression de curiosité bien mal placée. Bon sang, cet homme faisait la conversation, et ne cherchait en rien à remplir un dossier. C’était l’attitude la moins professionnelle qui soit et comme bien trop souvent, l’Auror leva les yeux au ciel - enfin, techniquement, au plafond - et serra les dents pour éviter qu’une répartie trop cinglante ne vienne heurter la sensibilité de l’homme qui tenait tout de même entre ses mains son outil de travail. « Cette information ne me parait pas nécessaire pour la suite de notre entrevue, Monsieur. » S’enfermant dans une attitude très protocolaire, Dexter conserva une once de politesse que l’homme, pourtant, ne méritait pas.

MACHIAVEL: Ah bah, l'récit de ta vie amoureuse a l'air d'être aussi court que ta baguet- hum hum... C'est presque fini, arrête de râler. Alors à Poudlard, t'étais où ? T'as une bonne tête de Poufsouffle. Enfin j'juge pas moi tu sais.  
Cette façon qu’il avait de le tutoyer commençait sérieusement à l’agacer. C’était que sa légendaire patience avait dès le matin était bien érodée par son jeune frère - encore - puis par quelques étourderies de la part de ses collègues qui semblait-il s’étaient passés le mot pour le rendre fou. « J’étais dans la maison de ceux réputés pour être sanguins. Une chance que je ne réponde pas tout à fait aux clichés, pas vrai ? » Machiavel allait devoir se creuser un peu le chaudron pour comprendre de quoi il parlait, car il était tout à fait hors de question pour Dexter de s’abaisser à lui répondre. Par Godric, l’administration sorcière, ça n’était plus ce que c’était…

MACHIAVEL: Par les chaudrons de Merlin ! T'dois avoir de sacrées ambitions, non ? Raconte un peu, t'veux faire quoi de plus ? Moi, quand j'étais gosse, j'rêvais d'être joueur de Quidditch, j'ai l'physique mais pas l'mental, ça crève les yeux d'Oedipe, non ?
Cette homme ne savait-il pas prononcer les voyelles ? Et ne voyait-il pas non plus à quel point il l’importunait par cette conversation futile et déplacée ? Les ambitions de Dexter étaient claires de par son rang, mieux, sa vocation, et il ne ressentait absolument pas le besoin de les préciser pour satisfaire la bouche avide de ragots de cet homme. « Il me semble que j’en fais déjà beaucoup. » répondit-il sèchement, ses bras désormais croisés dans la posture la plus fermée qui soit. C’était que le sujet était sensible pour lui, fatigué qu’il était de lire dans la Gazette que le Ministère était trop lent, trop laxiste, trop en dehors des réalités… Qu’ils viennent, ses journalistes à la manque, qu’ils viennent sur le terrain voir un peu ce que c’était, la réalité de la traque des Mages Noirs. Critiquer, c’était bien là la spécialité de ceux qui ne faisaient rien.

MACHIAVEL: Alalalala... Regarde c'vieux Minchum qui passe. Y s'prend pas pour n'importe qui... Enfin... Magie blanche, magie noire, de toi à moi, de moi à toi, tu préfères quoi ?
C’en était trop. Oui, trop. Le sang-froid de Dexter ne fit qu’un tour et sembla bouillir, tout à coup. Ses poings tapèrent sur le comptoir derrière lequel se trouvait le misérable qui osait ainsi critiquer ouvertement celui qui l’employait, celui qui faisait tout de même tout ce dont il était capable pour essayer de maintenir un ersatz d’ordre dans ce pays ravagé par une guerre invisible. « Ca suffit ! » La question qu’il avait osé lui poser était un affront encore plus grand, si c’était possible. « Vous avez peut-être oublié quelle était votre fonction ici, ou qui payait votre salaire à la fin du mois. Si vous souhaitez tenir des propos aussi abjects, rien ne vous empêche de le faire autour d’une pinte dans un troquet, après vos heures de travail. En tout cas, il ne me semble pas qu’on vous paye pour bavarder, et encore moins pour insinuer que la magie noire est une option. » Ses yeux d’un gris clair avaient viré à l’anthracite tandis que d’autorité, il reprit sa baguette des mains de l’outrageux employé. « Vous êtes une honte pour ce Ministère et croyez-moi, bientôt, vous regretterez le confort de votre ridicule guéridon qui vous fait vous sentir tout-puissant. » Derrière lui, la file qui attendait dans des murmures incessants s’était tout à coup tue, attentive à la scène, comme tous bons badauds.

MACHIAVEL: Allez, ouste, c'est bon, elle est enregistré ta baguette. Au plaisir de n'plus t'revoir !
« Ca n’arrivera pas, je vous le confirme. » lâcha l'Auror d’un ton sec histoire d’avoir le dernier mot alors qu'il se détournait d’un mouvement vif qui donna un élan théâtral à sa longue cape noire à l’intérieur de velours bordeaux. Dexter avait prévu de rentrer chez lui, mais remonta quatre à quatre les marches des escaliers qui menaient à son bureau. Ah c’était comme ça ? Pas d’excuse, rien ? De toute façon, ça n’aurait rien changé : dans tous les cas, rapport il y aurait eu. Et rapport il y aurait.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? Athos Greyson, Neolina Siankov, Pr Gemini Deshpande, Lachlan McCulloch, Billie Reed, Zéphyr Bloom et Hermes Nott, pour faire dans l’exhaustivité. Où avez vous connu le forum ? Un bon Auror ne révèle pas ses sources. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Comment pourrait-il en être autrement + mardi-manticore

« Cecil ! » Sa voix claqua dans l’air comme l’aurait fait une gifle. Une fois n’était pas coutume, c’était le premier mot qu’il prononçait de la journée et par Godric, il n’avait même pas encore terminé son café. Sauf que bien sûr, son frère n’était toujours pas levé, ça non ! L’inverse aurait été un miracle que le monde n’était pas encore prêt à entrevoir. Sauf qu’au rythme des coups qui résonnaient contre la porte, Dexter savait bien que la personne derrière n’était pas là pour lui. Il le sentait, aussi certainement que lorsque sous sa forme animale, il parvenait à débusquer la présence d’une autre bête. Sa cohabitation lui avait appris ce genre de choses, reconnaître l’intention derrière une main qui frappait. Et cette main là venait réclamer quelque chose. « Cecil, c’est pour… » Il haussa le ton aussi vite qu’il se tut, résigné face à cette énième bataille matinale pour réveiller son frère. Soupir, le premier d’une longue série aujourd’hui, indéniablement. Des batailles, il en livrait déjà bien assez comme ça, après tout. Et s’il pouvait éviter de commençer la journée comme ça, alors…

D’un bond agile, Dexter se leva pour enfiler un t-shirt blanc à peine sec. La faute à celui qui avait encore laissé traîner les affaires dans la machine sans les étendre la veille. La sensation du tissu humide sur sa peau qui l’était encore un peu lui déplut mais soit : il n’allait tout de même pas ouvrir torse nu. « Ah, Morgan, entre. Ça faisait longtemps. » Son interlocuteur, une tête de moins que lui, le salua d’un sourire gentil que Dexter lui rendit avec une politesse sincère. C’était que Morgan et lui étaient presque des amis, à force. « Tu excuseras la belle au bois dormant. » L’huissier eut un rire car oui, c’était bel et bien un huissier qui toquait ainsi à leur porte à une heure si matinale. Du moins, matinale pour l’un des habitants de cet appartement. « Café noir, sans sucre ? » demanda-t-il plus par habitude que par réel besoin de l’information. C’était qu’à force, il commençait à connaître ses goûts. Le petit homme acquiesça. Morgan Prince n’avait jamais été un grand bavard, et son sourire plein de bonhommie parlait souvent pour lui.

Passant devant la porte de son frère pour aller à la cuisine, Dexter s’apprêtait à frapper deux grands coups secs pour le faire sursauter dans son sommeil, tant pis pour les licornes et autres rêveries de son esprit. Mais le poing levé, il hésita un court instant avant de se résigner. Encore. À quoi bon après tout tirer Cecil du lit, si ce n’était pour rire un peu de son air ébahi sous ses cheveux en épis ? Son frère n’aurait aucune réponse à apporter à Morgan, alors à quoi bon ? Dexter savait reconnaître une cause perdue quand il en voyait une, et son colocataire de frère était désespérément à classer dans cette catégorie. Alors qu’il versait du café dans une tasse réservée à leurs invités, l’esprit pourtant bien éveillé de l’aîné des lieux cogitait à toute vitesse pour savoir à côté de quoi diable il était bien passé. Pourtant, il avait tout vérifié dimanche dernier, tout repassé au peigne fin et les comptes étaient à jour. Mais si Morgan se déplaçait, la faute était sans doute plus ancienne. Par Merlin, Cecil… « Voilà pour toi. Alors, qu’est-ce que c’est cette fois ? » Rien ne servait de tourner autour du chaudron car après tout, l’huissier Prince était venu faire son travail, et le café n’était qu’un agréable supplément pour faire un peu passer la pilule. Ses petites mains potelées poussèrent une pile de rappels d’impayés sur la table, entre le sucrier qui resterait inutilisé et une petite fleur - une seule - dans un vase, qui sortait d’on ne savait trop où. Soupir. Le deuxième. « Je vais le tuer… » lâcha Dexter, la mâchoire contractée alors que ses doigts faisaient défiler les enveloppes encore cachetées qui dataient de plus de six mois. « Allons allons... » se dérida Morgan en dégustant sa première gorgée. « Ce n’est qu’un petit oubli. » Petit ? Dexter leva les yeux du courrier pour observer le gentil homme replet qui souriait. « Un petit oubli qui va sans doute achever de payer ta résidence, quoi… tertiaire ? » L’homme se mit à glousser alors que l’Auror se laissait à peine aller à sourire. « Allons, allons… » - quelle expression agaçante - « C’est à peine si je pourrais terminer les travaux de ma véranda cette fois. » Décidément, l’humour des huissiers était quelque chose de bien particulier.