« La vie est une farce, apprends à rire » _Marie-Claire Blais. [ With Katherine Murdshaw - CLOS ]

« COURS ! »

_Quelques heures plus tôt…
Mary Elizabeth et son amie Kathy s’étaient données rendez-vous dans la soirée pour retrouver leur vieille habitude de faire quelques petites farces dans le château. Deux aventurières et casse-cous prévoyaient leur coup… Qui allait être leur victime ? Un élève, un professeur, un fantôme… Avec les deux sorcières rien n’était moins sûr ! Et tout le château était au courant que de voir les deux lionnes complotaient ensemble signifiait beaucoup. Peut-être se rendaient-elles compte qu’elles suscitaient tant de remues dans le château rien qu’en étant ensemble, seules Katherine et Mary Elizabeth pouvaient le dire.
Les deux sorcières avaient donc prévu leur coup pour le soir même, il ne viserait personne en particulier mais plutôt un endroit particulier de l’école.

_Dans un sombre couloir du 3ème étage…
Et voilà, le moment était venu ! Dans un couloir sombre et désert, au détour d’un mur, une baguette s’était levée et l’instant d’après on pouvait entendre un léger ‘’Splash’’. Et si l’on regardait attentivement le couloir, on aurait pu remarquer que quelque chose avait changé. En effet, une grande ‘tâche’ était apparue en plein milieu de ce dernier. Une ‘tâche’, mais est-ce réellement une ‘tâche‘ ? Non, évidement ! Cette grande tâche inconnue au milieu du corridor était une petite potion de leur invention qui avait formé une marre de boue. Elles allaient bien rire, sauf si… Mais ne parlons pas de malheur. Elles, comme beaucoup d’autres, avaient besoin de chasser le quotidien en rigolant un bon coup. Ne disait-on pas que rire fait du bien pour la santé ? Alors pourquoi devraient-elles se priver ?
Quelques minutes passèrent sans que la moindre personne ne daigne montrer le bout de son nez quand… Après une longue attente, une personne cria. Le cri résonna dans tout l’étage et on aurait pu même se demander si ce n’était pas plus ! Tant le cri qu’elle lâché cette personne en tombant avait été sorti du plus profond de son être. Les deux jeunes sorcières risquèrent un regard vers le lieu de l’incident et découvrirent l’identité du mystérieux auteur du puissant cri qu’on venait d’entendre. Hélas, pour elle, car leur curiosité commune les avait fait démasquer. Et la victime de leur mauvais coup n’était sûrement pas prête à les laisser filer sans la moindre réprimande. D’un coup d’œil, les deux amies coururent le plus vite possible à travers le château à la recherche d’une cachette.
Dans leur course effrénée, Mary Elizabeth remarqua de vieilles salles inutilisées. Elle décida alors qu’elles iraient se cacher à l’intérieur, en espérant que leur victime ne les trouve pas. Elle ouvra alors la porte d’une des salles, puis attrapa le bras de Kathy et l’entraîna dans la salle.

- Chut… J’espère qu’il ne viendra pas ici ! En tout cas, il faut avouer que c’était bien drôle ! Même si j’aurais aimé voir sa chute ! Dit-elle en chuchotant à Kathy.

Mary-E se retenait vraiment de rire, mais l’envie était trop forte. Elle éclata alors de rire et plus elle voulait se retenir plus elle riait. Elle était prise dans un fou rire et ne pouvait décidément plus se retenir.

Encore dans la salle, les deux jeunes filles ne pouvaient plus se retenir de retenir. Jusqu'au moment où on entendit à l'extérieur l'écho de bruits de pas. Katherine avait cessé de rire et interrogé Mary Elizabeth du regard. La jeune fille essayait tant bien que mal de s'arrêter et au bout d'une trentaine de secondes y parvient enfin. Maintenant, les rires avaient cessé et Kathy avait emmené Mary sur l'estrade pour se cacher sous le bureau du professeur au cas où quelqu'un entrait dans la vieille salle de cours. Recroquevillées derrière le bureau, on ne pouvait pas les voir depuis la porte si quelqu'un l'ouvrait !

Et tout à coup, la porte de la salle s'ouvrit à la volée !
Mary Elizabeth, qui comme son amie avait sursauter. Mais bien que la porte s'était ouverte brusquement, l'inconnu - la victime de leur blague ou autre - n'avait pas franchi le seuil de la porte. Les minutes défilèrent sans que les deux Gryffondor ne puisse faire quelque chose. Les minutes semblaient être des heures ; Mary pensait par ailleurs que le temps s'éternisait. Pourquoi n'agissait-il pas ou encore réagissait-il pas ? Ces questions restaient des mystères entiers...

Les deux amies se demandaient si cette personne était encore là ou pas. Et quand elles tentèrent de regarder à travers le bureau, elles purent voir l'ombre de l'inconnu immobile sur le pas de la porte. Comment faisait-il pour rester si immobile telles les statues...
Enfin, le temps leur paraissait long et elles n'allaient pas passer toute leur vie sous un bureau. D'un coup d'oeil, elles optèrent pour l'idée d'affronter le mystérieux inconnu. Mais quand elles sortirent de leur cachette, l'étranger avait fait demi tour et fermé la porte à leur plus grande surprise. Dans ce monde, il y avait vraiment des personnes bizarres...

- Mais tellement ! Par contre, je me demande bien qui ça pouvait être...

Mary avait un ai suspicieux sur son visage puis avoir réfléchit quelques secondes, elle secoua la tête et répondit à son amie :

- Possible... Possible ! Après tout, on ne peut pas savoir ! N'empêche, j'ai bien rigolé !!

HJ : Désolé pour mon long retard...
Et oui, il a glissé x) N'empêche des sables mouvants, ça aurait été drôle... :twisted:

Après que le mystérieux inconnu soit parti, les deux jeunes purent respirer. Les ennuis étaient derrière elles. Mais lorsqu’elles voulurent sortir de leur cachette qui n’était pas des plus à l’aise… Pleins de toiles d’araignée et un filet de poussière trainant. Lorsqu’elles s’apprêtaient à sortir, l’ombre d’une chose se refléta. En tirant le cou, Mary Elizabeth pu s’apercevoir qu’un fantôme venait de traverser le mur plongé sans nul doute dans une profonde réflexion. L’une comme l’autre espéraient que ce ne soit pas Peeves, l’esprit farceur et malveillant. Il arrivait toujours par surprise et venait vous embêter par tous les moyens possibles – projections de boules de papiers… -. Mary Elizabeth se remémora qu’une fois, elle avait tenté de lui tenir tête, et avait réussir à sans tirer sans grand dommage. Elle avait eu de la chance !
D’un regard complice, Katherine et Mary Elizabeth optèrent pour une sortie des plus silencieuses afin que le spectre ne les remarque pas. Ce dernier ne leur prêta nullement attention toujours dans ses pensées, d’ailleurs, il marmonnait des choses incompréhensibles… Arrivée à la porte, elles se glissèrent dehors. Tenant à ne surtout pas gêner le fantôme, elles avaient juste poussé la porte et s’étaient écartées de la vieille salle. Après s’être éloignées suffisamment, elles firent une pause pour décider de la suite. Katherine fit à sa camarade une remarque plus perspicace. Elle n’avait pas tort. Il fallait trouver un moyen pour que les victimes ne puissent pas les suivre…

« C’est une chouette idée, il faudrait tester … Dit-elle avec un sourire qui en disait long sur ses pensées. De la boue glissante… Des sables mouvants donneurs de furoncles… Machiavélique tout ça ! Mais faut bien s’amuser ! »

L’idée de voir un Serpentard couvert de boue et de furoncles ne déplaisait pas à la Cinquième Année. Au contraire, elle la ravissait. Un brin sadique ? Possible, mais pour la bonne cause. Il fallait venger les étudiants de Poudlard. Mary Elizabeth se sentit pousser des ailes, elle s’imaginait déjà en Super-Héros.

HJ/ Nan, ça ne me gêne pas ! Une deuxième tournée te tente ? x)

Katherine venait d'avoir une magnifique idée ! Quoi de mieux que de perfectionner une bonne blague ? Enfin, ne voulant pas perdre de temps, les deux jeunes complices se rendirent près des toilettes des garçons pour y préparer leur tour de passe-passe ! C'était l'endroit idéal : recule et de plus, les garçons ne se baladaient pas souvent en groupe pour aller aux toilettes. Contrairement aux filles qui s'y rendait en groupe pour ne pas couper le fil de leur discussion. Chacune de leur coté, elles préparaient sa partie de la farce. Mary Elizabeth installait, de son coté, la sorte de "boue" d'une couleur semblable a celle du sol pour qu'on ne puisse pas se douter de quelque chose a l'aide de sa baguette. Et Katherine perfectionnait la mystérieuse matière pour la rendre plus compacte et collante - de telle sorte que cela piéger quiconque s'y aventurerait...
Chacune des deux Gryffondor était concentrée sur sa tache quand soudain, le bruit d'une chasse d'eau tirée les surprit. Elles lancèrent un dernier coup de baguette avant de partir se faufiler sous la tenture. De derrière, Katherine lança un ultime maléfice pour faire en sorte que celui qui toucherait leur boue serait victime de furoncles.

Mary observait le travail qu'elles venaient d'accomplir : sans nul doute, elles avaient des prouesses. La boue était méconnaissable et invisible pour celui qui ne savait pas que quelque chose se tramait !

Mais soudain, les bruits d'une porte que l'on déverrouillait se fit entendre dans le sombre couloir seulement éclairé par la fenêtre. Un avantage pour les demoiselles, elles pouvaient observer la scène sans se faire remarquer ! Les deux faiseuses de troubles redoutaient que ce ne soit un de leur amis...

Cachées derrière la tapisserie, les deux jeunes filles attendaient la mystérieuse personnes. Une fois, la porte claquée, des bruits de pas se firent entendre. Quelques minutes plus tard, ça arriva. Une personne venait de s'enfoncer dans le piège. Un jeune Poufsouffle de Première ou Deuxième Année s'enfonça dans le sol jusqu'aux genoux ! Même si il ne fallait pas rire, Katherine et Mary ne purent se retenir. Elles essayèrent de camoufler leur rires dans leurs capes ou la bouche fermée par leurs mains - en vain. Néanmoins, le petit garçon couvrait leurs rires ! Il était paniqué et sans doute effrayé.
Après s'être légérement calmées, d'un coup d'oeil, elles partirent aider le jeune garçon. Le pauvre enfant...

« Comment est-ce que... comment t'es arrivé là ? »

Mary Elizabeth essayait d'avoir un ton plutôt convaincant, il fallait que le Poufsouffle y croit ! Katherine aida le jeune sorcier à se sortir du sol piégé avec Mary Elizabeth. Lorsqu'elles réussirent à l'extirper de la boue ensorcellée, on entendit un bruit de ventouse. Mary observa alors les pieds de leur victime et remarqua qu'il n'avait plus de chaussures... La jeune Gryffondor ne peut s'empêcher de sourire. Les sous-entendues de Katherine étaient amusants. A l'aide de sa baguette, Mary rendit ses chaussures au Poufsouffle avec comme auparavant avec ce bruit de ventouse l'accompagnant.
Les deux jeunes filles laissèrent le temps au jeune garçon de reprendre ses esprits. Puis il leur demandèrent d'où elles étaient arrivées.

« Oui, comme elle vient de te le dire. Le concierge essayait de nous attraper pour une faute qu'on avait pas commise ! Enfin. Heureusement qu'on était là pour t'aider !! »

Katherine avait été brillante. Sa camarade ne pouvait être que fière et reconnaissante envers elle. Elle venait de lui éviter un quart d'heure de questionnement par le Poufsouffle.

Le jeune petit Poufsouffle buvait le mensonge des deux Gryffondor, comme on boit un jus de Citrouille. Le pauvre enfant… Mary Elizabeth se demandait si elle était aussi convaincante que le garçon en face d’elle ne le montrait. Et même si elle en doutait fort, le Jaune et Bronze y croyait et c’était ce qui importait pour le moment. Et un regard vers Katherine suffit à voir que sa camarade se débrouillait à merveille.
Et pendant le court récit mensonger des deux jeunes filles, le Poufsouffle n’avait pas bougé d’un pouce. Il avait toujours ses chaussures à la main, et des yeux grands ouverts. Katherine lui suggéra d’ailleurs qu’il était peut-être temps de remettre ses chaussures. Une gentille manière de le congédier poliment. Le jeune garçonnet remit ses chaussures à une vitesse éclaire sans même lacer ses chaussures. Puis se redressa pour fixer Mary Elizabeth. Cette dernière trouvait l’attitude du petit plutôt amusante. Mais il commençait à la fixer de façon vraiment étrange. Le comportement du garçon commençait d’ailleurs à agacer Katherine. Celle-ci se tourna et d’un geste mélodramatique leva sa main à son front. Ce geste me fit bien rire, bien qu’elle se retienne de rire.
Mais Mary adressa au Poufsouffle un sourire gêné qui venait de s’avancer d’un pas vers elle, ce qui par réflexe la fit reculer.

« Je ne voudrais pas te vexer mais… tes amis ne doivent pas t’attendre ? Ils vont s’inquiéter de ton absence, fais gaffe. Ou même se moquer de toi ! »

Mary Elizabeth cherchait à ne pas vexer le jeune enfant et à trouver les bons mots pour qu’il s’en aille. Après ses paroles, le Poufsouffle rougit de plus belle et s’enfuit en courant vers sa Salle Commune.
La jeune Gryffondor fut soulagée, même si le jeune garçon semblait gentil, il commençait à lui faire peur… ! Puis elle jeta à un regard vers Katherine qui elle aussi parut contente.

« Oh bon sang ! J’ai cru qu’il ne partirait jamais… »

_HJ : Ne t'ai fais pas, je me suis bien marrée en le lisant x) Et j'ai faillit la faire partir en courant ;P

Le petit Poufsouffle partit, les deux jeunes filles furent soulagées. Sympa mais lourd... Mary Elizabeth ne fut pas tant étonnée que son amie avait eu le même sentiment envers le jeune garçon qui au départ leur " malheureuse victime ".
Après un bref silence, Katherine proposa à son amie de se balader dans le parc. Mary Elizabeth lui répondit par un grand sourire, ce qui voulait signifier < Yeaaah, on allons-y ! >. Une bonne balade dans le Parc du Château ne pouvait leur procurer que du bien et par la même occasion, leur dégourdir les jambes.
Katherine ouvrait la marche, Mary à ses côtés. Elles marchaient tranquillement à travers le château, passèrent par un passage secret où elles croisèrent un Serdaigle qui marchait dans le sens inverse. A la sortie du passage, on pouvait entendre des gémissements. Les deux filles surprises par le bruit se dissimulèrent derrière une armure proche du passage afin de pouvoir observer ce qui se passait. Quand Mary aperçut la scène, ses yeux s'agrandirent et ses poings se serrèrent. 3 contre 1, quelle méchanceté gratuite... Katherine avait elle aussi vu cette horrible scène.

« En effet... Il le faut ! »

Mary Elizabeth ne supportait pas rester derrière l'armure à regarder cette scène ! Elle sortit donc et fonça vers le lieu de l'incident...

Mary Elizabeth était à mi-chemin entre l'armure d'où elle venait de sortir et le lieu de l'altercation... Elle commençait à douter, elle savait qu'elle aurait du réfléchir avant de foncer tête baissée dans le tas ! Mais elle ne pouvait plus reculer, il fallait qu'elle continue.
Maintenant, la marche arrière était impossible. Il ne lui restait plus qu'à agir, mais qu'allait-elle faire ? Les sermonner en leur disant de ne pas embêter plus petit que soit ...? Non, elle allait jouer sur l'improvisation et voir si tout se passait bien. La Gryffondor souffla puis toussota pour faire signe de sa présence. Les trois agresseurs - qui se révélaient être des Serdaigle, pour changer qui décontenança Mary - se retournèrent pour lui faire face et la dévisagèrent. Mary Elizabeth ne put supporter leurs regards suffisants pour ajouter au faite qu'ils s'attaquent à plus jeune ! Ce fut la goutte qui fit déborder le vase.
Le ton montait de plus en plus et ils étaient tout les quatre prêts à dégainer leur baguette... Mary espérait tout de même que leur victime en avait profité pour s'échapper ! Les sorts n'allaient pas tarder à jaillir dans tout les sens. Ils allaient voir ce qu'une "pauvre fillette" allait leur infliger, et surtout leur mettre la raclée de leur vie. La jeune fille était une Gryffondor effrontée et n'avait pas froid aux yeux. Fusillant ses adversaires de regards noirs, Mary Elizabeth sentit la présence de Katherine à ses côtés...

Le combat allait commencer... La victime avait réussi à fuir avant les dégâts, sur le coup, cette personne avait été intelligente car le combat n'allait pas être très beau à voir ! Mary Elizabeth fussillait ses adversaires le plus méchamment qu'elle le pouvait. Et c'est à ce moment que tout bascula...
L'un des Serdaigle, le plus âgé apparemment, lança un "Petrificus Totalus" qui frôla l'oreille de la Cinquième Année. Le Serdaigle allait durement le regretter. Mary Elizabeth était outrée et se mit à rire avant de répliquer. Un combat acharné se disputait entre eux, la Gryffondor ne voulait pas perdre et voulait à tout prix lui faire avaler sa fierté bien encombrante. Les sorts fusaient dans tout le couloir. D'un côté, Katherine et une autre Serdaigle ; dans un autre un Serdaigle blessé et sonné qui observait la scène dans son coin ; et pour finir, Mary Elizabeth en plein combat avec le Serdaigle.

Le combat était acharné. La jeune Jolly s'en sortait plutôt pas mal au final, elle avait réussi à esquiver une bonne partie des sorts que lui lançait son adversaire. Cependant, les deux combattants lancèrent au même moment un "Expelliarmus" qui les envoya tout les deux à une extrémité du couloir. Mary Elizabeth se releva avec un énorme mal de crâne, sa tête avait heurter le sol dans sa chute de même que son bras. D'autre part, son adversaire s'en sortait mieux. Sûrement mal aux fesses, à en juger par son expression. Malgré ça, ils se relevèrent aussi vite et recommencèrent aussitôt à combattre. Mary Elizabeth profita d'un moment d'inattention de son adversaire pour lui lancer un sort.

« Incarcerem. »

Le sort toucha de plein fouet sa cible qui fut ligotée de la tête au pied sans pouvoir bouger. Mary Elizabeth lui lança un regard vainqueur avant d'ajouter.

« Tu apprendra que la prochaine fois qu'il ne faudrait plus t'attaquer à moi et qu'il ne faut pas se fier aux apparences. Espèce de troll sans cervelle. En espérant que tu retiendra la leçon. »

Elle lui offrit un sourire satisfait puis le laissa le temps de se retourna pour voir comment son amie s'en sortait et où en elle, quand celle-ci la prévient qu'elles avaient une blessée. Mary Elizabeth défit les liens de son adversaire qui s'enfuit en laissant ses camarades sur place. La cadette des Jolly se dirigea ensuite vers Katherine pour l'aider.

« Tu n'es pas blessée, j'espère ! »

Mary Elizabeth était confuse d'avoir entrainée son amie dans une telle situation. Elle n'avait vraimetn pas pense raux conséquences de ses actes...

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« La vie est une farce, apprends à rire » _Marie-Claire Blais. [ With Katherine Murdshaw - CLOS ]

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