ϟ la fiche de recensement

NOM - (LESTRANGE) l'eau qui ruisselle entre les lettres, la grâce et le pouvoir qui s'accrochent au patronyme déchu. Lestrange, synonyme d'une famille oubliée, d'une malédiction que l'on agrafe aux dos fatigués et fuyants. PRENOMS - C'est à l'appel de (MINERVE) qu'elle répond. Oiseau libre et sauvage, digne représentation d'une enfant insoumise. DATE DE NAISSANCE - (06/09), sa naissance vint marquer l'automne au sein de la dynastie amoindrie. AGE - (VINGT-TROIS) années que la gamine crie, la jeunesse encore accrochée à des traits délicats, une maturité qui se développe un peu plus chaque jour. VILLE D'ORIGINE - (LONDRES) c'est dans la capitale de sa nation que l'oiseau vit le jour. SANG - (SANG-PUR), c'est ainsi qu'on le qualifie. Fierté sans nom, un échelon un peu plus proche de la perfection petit à petit. L'argent qui ne rêve que d'être diamant. Rien n'est jamais assez bien pour Minerve, si ce n'est ce qui trône en haut de l'échelle. Un rêve qui lui trône dans sa tête, sans être capable de s'évaporer. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - (SERPENTARD) à qui l'on a su accorder tous ses désirs, à qui l'on a su apporter une protection digne de ce nom. ORIENTATION - (MAL) côté du mal aux yeux de tous, côté du bien à ses yeux.

Minerve, elle porte l’onyx dans ses yeux, le rubis sur ses lèvres, et le diamant dans son cœur. Elle virevolte dans les couloirs dorés avec l’éclat des pierres précieuses et la grâce modeste de l’âme affable. Elle est douce, Minerve, douce comme un pétale de rose, douce comme la soie bleue drapant ses pieds pâles. Amie amusante, taquine, employée dévouée, elle aime avec son tout, sans jamais haïr, parce qu’elle n’a pas de place pour la haine dans son cœur, Minerve. Plutôt que de haïr, elle ne sait que comprendre. Fillette perdue dans un monde trop grand pour ses yeux, la curiosité inlassable de l’enfant avait toujours fait du savoir son aventure la plus délicieuse. Savoir, c’était comprendre, et comprendre, c’était voir le monde, non pas comme une simple peinture, mais dans toutes ses nuances de gris les plus sombres. Spectatrice de l’univers, Minerve Lestrange se fait artiste, explorant l’aquarelle du monde dans ses moindres ébauches. Aussi sans trop le percevoir, elle se parsemait de tâches pourpres, du sang de la souffrance du monde. Elle s’était toujours pensée fleur immaculée, Minerve, et pourtant ce n’était que pour fuir l’évidence de sa perversion, de l’obscurité dont des images trop sombres avaient tâché son âme candide. Maîtresse des secrets, reine des murmures, elle était devenue comédienne de talent, parfois manipulatrice de survie, se raccrochant désespérément à la bonté de sa cause pour oublier la noirceur de ses moyens. Elle n’est pas crédule, Minerve, elle a vu et entendu les ténèbres du monde, cachée dans l’ombre des portes secrètes, mais elle a espoir. Espoir que, quelque part dans l’ébauche du monde, il y ait un peu de blanc, juste un peu, et qu’un jour, n’importe quand, la clarté envahisse son sinistre tableau. Peut-être utopiste, Minerve, mais surtout affamée de l’espoir éclatant qui la fait vivre chaque jour, parce qu’elle est dépendante, Minerve, dépendante de lumière, droguée à l’espoir, seul éclat assez lumineux pour la détourner des affres du monde. Sans l’espoir, elle n’aurait plus d’autre choix que de contempler les tâches de sang qui parsèment ses pétales autrefois blancs.

VOTRE PATRONUS - Le patronus de Minerve prend la forme du monstre qui l'habite et la dévore petit à petit ; un ours, laid et sanguinaire. La jeune femme aime à se dire que c'est une métaphore ; que cela veut dire qu'elle est tout à fait capable de se protéger elle-même. La vérité c'est que la créature prend petit à petit le pas sur elle et elle le sait très bien.
VOTRE EPOUVANTARD - Son épouvard prend forme de l'homme qu'elle aimer, le visage défigurer et le corps figer.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – La couleur préférer de Minerve et le noire, une couleur sombre aux yeux de tous, une couleur lumineuse aux yeux de la douce.
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Les aigles, il lui donne l’impression d'être rien à côté d'eux.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – La confiture surement.
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Endoloris!
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Aucune, elles sont toutes autant belle les unes que les autres.
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Bellatrix Lestrange!

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Non!

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?
Qu'elle est bête, ai-je le faciès d'une femme qui travaille, et qui s'use pour gagner ne serrait qu'une petite somme d'argent. Je n'ai que faire des gens qui travaille, je préfère m'amuser aux côtés du peu d'amies qui me reste. Je préfère tuer des vies que d'en sauver. Mon travail est donc d'être une mangemort. Si j'aurais un job, je serrait une artiste, car j'en suis déjà une. Il suffit de regarder pour le remarquer. Je dessine sur des tableaux, j'écris sur de simple feuille blanche de papier, j'utilise ma voix pour chanter, je joue des instruments. Je ne travaille pas comme une grande partie de la population, je vie de ma passion et de la fortune de ma famille.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?
Connasse. J'ai était amoureuse d'un homme, qui m'a quitter du jour au lendemain, mort, il ne bouger plus il était seller. Surement par un Auror, je le déteste depuis ce jour.
Ils m'ont enlever l'homme que j'aimer qui me fessait chaque jour sourire. Depuis ce jour,
je n'ai pas retrouver l'amour, peut-être est-ce mieux ainsi. Je ne suis pas une grande sentimentale, je ne suis pas fan de toutes ses traditions quand on est en couple. Je préfère être libre qu'être enchaîner au bras d'un homme.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !
A Poudlard j'était plutôt une bonne élève. J'était une tête forte de de ma maison, Serpentard. Je ne me mélanger pas aux autres maisons, il était tous débile à mes yeux. Mon enfance ses plutôt bien passer mais parents m'ont toujours à pris à être méchante, à ne pas me laisser impressionner par un vulgaire membre de Gryffondor, ils m'ont toujours gâter et couverte de cadeau.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.
Aucun projet, aucun rêve, tous déjà réaliser, tous déjà délaisser. Ma vie est une réussite par rapport à la vie raté d'une personne dite normale. J'ai su réussir depuis mon plus jeune âge, j'ai abandonner toutes idées de rêve ou de projet, je fait ce que je dois faire sans me donner d'objectif, peut-être la raison de ma vie parfaite.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.
Aucun avis politique, ce sujet est réserver au plus cultiver d'entre nous, je me contente de suivre l'avis de mes parents, des membres de ma famille. La magie noire et plus divertissante que la magie blanche, j'ai remarquer cela à l'âge de 12 ans, j'ai déjà pratiquer quelques soirs de magie blanche, mais je la trouve pitoyable, beaucoup trop limite. Je suis plus une adepte de la magie noire qui ne me donne aucune limite, je suis libre d'utiliser ma baguette comme je le souhaite sans avoir de limite.

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?
En premier voeux, retrouver l'homme que j'aime, le ressusciter et lui redonner ça beauté qu'il avait avant de mourir. En deuxième voeux, faire disparaître cet école qu'est Poudlard, elle est devenue tellement écœurante. En troisième voeux, faire disparaître ses aurors qui gâche ma vie.

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Aucun Où avez vous connu le forum ?  Annuaire Forumactif Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Oui, samedi serpencendre

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Un bourdonnement incessant résonnait de ses oreilles jusqu'à l'intérieur de son crâne. Tout s'était déroulé vite, beaucoup trop vite. Minerve était allongée sur le sol, un objet beaucoup trop lourd pesant sur ses épaules, la maintenant comprimée sur la terre -complètement incapable de faire le moindre mouvement. Sa vision avait été troublée au moment même où le son de l'explosion avait retenti, un rideau de poussière et de débris s'étant abattu sur sa personne et sur toutes celles qui jonchaient la place principale. Des cris retentissaient de parts et d'autres, l'on pouvait décerner les émotions de chacun dans leurs voix distinctives ; peur, choc, désespoir, horreur et parfois même tous se mélangeaient en un cri de terreur difforme, effroyable. La Lestrange toussa, tentant vainement d'éliminer la poussière qui s'était accumulée dans sa gorge, ses poumons, l'empêchant de respirer. Ses pupilles se posèrent sur un corps qui se trouvait juste à côté d'elle ; les yeux étaient encore ouverts, l'on aurait pu jurer qu'il n'était que pétrifié, sous le choc, mais ce n'était pas le cas. Minerve vint gémir, essayant infructueusement de déplacer l'encombrante pierre qui s'était écroulée sur le bas de son dos et la moitié de ses jambes. Elle ne pu retenir un sanglot et des larmes vinrent nettoyer ses joues sales. « Aidez-moi, je vous en supplie ! » elle avait crié, Minerve, mais pas assez pour surpasser la terreur qui s'était éprise de la foule. Du sang vint couler le long de sa tempe droite, le liquide chaud s'écoulant sur son visage ne fit que renforcer la sensation suffocante qui s'était déjà éprise d'elle. Sa respiration vint s'accélérer et son coeur se mis à battre de plus en plus fort dans sa poitrine ; jusqu'à venir violemment, douloureusement, s'écraser contre sa cage thoracique. Nouvelles respirations saccadées, nouvelle accélération pénible de son organe vital. Ses mains abîmées, coupées de parts et d'autres s'agrippèrent aux premières choses qui se présentaient devant elle, lorsque ses doigts s'enroulèrent autour d'un nid de poule, elle vint l'agripper de toutes ses forces ; essayant de se tirer en dehors de l'emprise de la roche ; en vain. Nouveaux sanglots. Minerve ne pouvait pas mourir, pas maintenant, pas comme ça : c'était inconcevable, une fuite trop peu digne et si facilement oubliée. Yerim. Son nom traversa son esprit ; il était vivant, puisqu'elle l'était aussi. Une vague de soulagement vint rapidement la libérer du poids qui s'écrasait sur elle, mais c'était loin d'être suffisant, beaucoup trop. Minerva agrippa ses doigts autour de la cheville d'un inconnu, enfonçant ses ongles dans sa chaire, s'agrippant à n'importe qu'elle forme de vie pour sauver la sienne « Vous devez m'aider. Allez chercher de l'aide je suis incapable de bouger ! » mais ça avait été inutile, l'inconnu était aussi déconcerté que tout le monde pouvait l'être et il prit la fuite, se détachant violemment de l'emprise de la gamine, qui restait allongée au sol, impossible d'effectuer le moindre mouvement. Ce fut comme si les cris s'étaient évaporés, Minerve pouvait distinguer des lèvres bouger mais ce fut comme si aucun son ne s'en dégageait, comme si malgré la panique ; personne n'était capable d'hurler sa peine. Pendant le temps de quelques minutes, tout semblait calme, paisible, doux. Ses yeux mélangeaient désormais larmes et poussières, saccadant sa vision, l'empêchant de clairement distinguer des silhouettes. « Minerve ! » le simple écho d'une douce voix à ses oreilles, la gamine était complètement incapable de discerner la provenance de la voix ni même ce qui avait été prononcé. « Hé ! Minerve ! » cette fois, ça avait été plus clair, moins effacé dans le brouhaha collectif. Elle tourna la tête et du cligner plusieurs fois des yeux pour clairement distinguer qui se trouvait en face d'elle. Maven. « Maven ? » un soupire de soulagement vint considérablement décompresser ses poumons tandis qu'un rictus se dessina sur ses lèvres rougies par l'hémoglobine, des larmes vinrent de nouveau nettoyer son épiderme. « Maven, je t'en supplie aide-moi. » mais il n'avait pas attendu qu'elle prononce ses mots pour agripper la roche qui pesait sur son corps. Elle le vit saisir quelqu'un, un inconnu, par le col pour l'aider à la dégager de l'emprise et, ne serait-ce que quelques secondes après cela, Minerve fut de nouveau capable d'humer normalement. Malgré la douleur qui semblait s'être éprise de tout son corps, elle fut capable de ramper pour se dégager. Le son du rocher s'abattant sur la terre sèche et abîmée lui parut être divin, comme le plus beau des soulagements. Il vint saisir ses bras, sa poigne s'enroulant entour d'elle. Minerve vint enrouler ses bras autour de son cou, s'agrippant comme elle pouvait à son corps, son ancre. « Merci, merci-  » merci, merci... elle aurait été incapable de distinguer le nombre de fois où elle le remercia, mais cela ne lui paru jamais suffisant. Maven l'emmena loin, elle n'aurait su dire où exactement, mais ça l'importait peu ; elle se sentait en sécurité avec lui, comme immunisée de tout. Ses mains à lui, se posèrent sur ses joues à elle, et délicatement, il vint les essuyer, effaçant toute trace disgracieuse « Tu vas bien ? Tu es blessée ? »  Minerve vint agripper son tee-shirt, comme pour s'assurer qu'il ne partirait pas, et qu'il était bien là, surtout. Ses iris se posèrent sur les siennes, nouveau rictus craquant ses lippes.  Non, non, je vais bien. Grâce à toi. » ses bras s'enroulèrent autour de sa nuque alors qu'elle éclata en sanglots. Si elle était encore vivante, ça dépendait de lui, elle lui devait tout.

Bienvenue chez nous ! Et félicitation pour cette si rapide validation

(Pour ce qui est du lien de parenté avec les Lestrange canoniques, faudra voir ça avec Rodo, en effet. Ceci dit, les deux frères ont une soeur bien plus âgée qu'eux, issue d'un premier mariage, si déjà ça peut t'aider à mieux cerner la famille. Mais après, vois ça avec Rodo ce sera bien plus simple ! )

Bienvenue. Je suis Rodo.