ϟ la fiche de recensement

NOM - Nott PRENOMS - Mildred Orpha DATE DE NAISSANCE - 29 Décembre AGE - 21 ans VILLE D'ORIGINE - Leeds SANG - sang pur ANCIENNE MAISON A POUDLARD - Serpentard, il m'a fallut me battre pour ne pas être envoyée à Poufsouffle. ORIENTATION - Je suis l'avis de père, du côté du mal donc.

Mildred est un pétale de rose. Ses joues rosées et jamais poudrées laissent la place au naturel et à la douceur. Dotée d’une grande sensibilité, Mildred est une jeune femme délicate, toujours désireuse de ne pas poser de problème. Souriante, elle aime rendre service et aider son monde, elle n’aime pas être inutile lors d’un projet. Pourtant, elle sait s’écarter et se soumettre lorsqu’il le faut, car telle est sa place dans la société. Mildred est une jeune femme observatrice et discrète, mais dotée d’une grande intelligence et de beaucoup d’éloquence, qu’elle n’a cependant pas l’occasion d’utiliser. Pourtant, comme toute belle rose, elle a des épines. Ses épines sont ses blessures, et ses blessures se sont parfois bien refermées, et parfois non. Celles mal bandées sont les plus douloureuses et il vaut mieux parfois ne pas aborder certains sujets avec la jeune Mildred. Oh, elle ne s’énervera pas, elle ne criera pas. Mais la jeune femme a les larmes faciles et les hoquets violents. Elle n’en est pas moins une héritière déterminée et possédant un grand sens du devoir envers son nom et sa famille. La jeune femme n’est cependant pas une femme particulièrement hypocrite, elle n’apprécie pas le mensonge et n’en dira jamais un d’elle-même. Exigeante sur son apparence, Mildred peut parfois paraître assez superficielle mais cela est dû à une éducation surprotégée et gâtée.
Malheureusement, toutes les plantes sont sujettes aux maladies, et la jolie Mildred a la santé fragile, dont les crises parfois, l’affaiblissent. D’un naturel aventureux, elle n’a généralement jamais pu aller au bout de ses idées : soit sa condition dans la société l’en empêchait, soit c’était son état de santé. Ainsi, elle a très tôt eu un goût d’inassouvie et de nombreux rêves sur son propre futur utopique.

VOTRE PATRONUS - une otarie
VOTRE EPOUVANTARD - La tombe de son père aux côtés de celle de son frère.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Jaune
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Les animaux marins en général
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Réglisse
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Wingardium Leviosa
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Fleury et Bott
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Cliodna

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Mildred souffre depuis toujours d'anémie. Il s'agit d'une maladie qui se démarque par une carence d'hémoglobine. Cela entraîne des pertes de poids, fatigue, somnolence etc...

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?

"Bonjour..." marmonne une jeune femme avant de s'asseoir délicatement en face de la journaliste. "Je ne sais pas si l'on peut dire que je sois un sacré personnage !" s'exclame-t-elle en laissant son joli rire s'échapper de ses lèvres rouges, "je ne travaille pas... Pas encore. Peut-être un jour ?
J'aimerais beaucoup un métier paisible, mais je ne sais pas si ce sera possible !"

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?

"Je n'ai pas particulièrement souffert en amour vous savez. J'ai été élevé par un père aimant. Je ne pense pas qu'il faille en dire plus". La jeune femme croise les mains sur la table pour se donner un peu de contenance.

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !

Je suis contente que vous soyez aussi passionnée ! J'ai grandi à Leeds, j'avais un frère... . Mildred détourne brusquement les yeux pour les poser sur la porte en bois et se met à la fixer longuement. "Je ne pense pas avoir eu une enfance malheureuse. Père a toujours prit soin de moi. Comme lui, je suis entrée à Poudlard, et à Serpentard. Je suis contente d'avoir finit les études, je trouvais le temps long derrière les murs."

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.

Mildred lui offre un sourire gentil en dévoilant ses dents bien blanches. "Nous avons tous beaucoup trop de rêves, n'est-ce pas ? Je me suis pendant longtemps imaginée en attrapeuse de l'équipe de Quidditch d'Angleterre, mais je pense que cela va rester au stade de rêve !" répond-elle simplement en laissant un rire joyeux s'échapper de ses lèvres.

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.

La jeune femme fronce les sourcils en se demandant quoi répondre. "Vous savez, on ne parle pas beaucoup de politique chez moi... Je suppose que je suis de l'avis de tout le monde !" Elle fit une moue un peu désolée. Elle n'avait pas du tout l'habitude de répondre à ce type de questions-là !

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?

Mildred ramène enfin ses yeux bruns sur la journaliste. Bien sûr qu'elle connait ses trois voeux : Je crois que la première chose que je demanderai au génie serait de me ramener mon frère. Ensuite, d'avoir une meilleure santé, parce que ce n'est pas une grande réussite ! Et enfin, je lui demanderai juste à protéger ma famille".

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Un Serpent, un faux-traître, un surdoué mal dans sa peau et une folle communément appelée Motherfucker. Où avez vous connu le forum ?  Internet I suppose ? Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Bawi je l'ai lu jeudi-jobarbille

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

— Pour une raison ou pour une autre (maladie, accident magique ou autre), vous devez passer un court séjour à Ste-Mangouste. Pourquoi ? Que vous arrive-t-il une fois à l'hôpital ? Décrivez votre aventure au cours d'un RP.

C'est avec les joues pâles et les yeux clôt que Mildred Orpha Nott entra en urgence à l'hôpital Sainte Mangouste ce 23 Décembre. Les bras ballants des deux côtés d'un lit, il n'y avait à son chevet qu'un médecin qui récitait des incantations que seuls des sorciers confirmés pouvaient comprendre. Mais malgré tout son acharnement, malgré tous ses froncements de sourcils et ses soupirs, lorsqu'il quitta la pièce, les yeux bruns de la jeune femme n'étaient toujours pas ouverts. Il s'entretint pendant de longues minutes dans le couloir avec les parents de l'héritière Nott, dont la mère semblait éperdument ravagée et le père éperdument en colère. Ses exclamations puissantes faisaient vibrer les vases des chambres aux alentours.
Dans son lit, Mildred ne bougeait pas. Ses cheveux en éventail sur son oreiller rehaussaient la pâleur de ses joues humides tandis que ses longs cils noirs laissaient voir des paupières frémissantes. Les parents de l'enfant Nott ne savaient pas ce qu'il s'était passé. Cette soirée-là, la jeune Mildred avait douze ans, et elle s'était brusquement effondrée pendant le dîner familial, aux côtés de la chaise vide qu'aurait dû occuper son frère malheureusement décédé. Ses parents étaient avertis des risques de voir leur dernière enfant faire des rechutes dans sa triste maladie, mais ils ne pensaient pas que celle-ci serait aussi violente et décisive que celle de cette soirée-là. C'est donc le cœur lourd que les Nott entrèrent dans la chambre de leur fille toujours inconsciente sur son lit. Le médecin avait été très vague. Les sorciers souffrants de tel troubles étaient très rares et il avait subit la colère du patriarche lorsqu'il avait admit ne pas savoir quoi faire. Pire encore, il était passé proche de la morgue en affirmant que : « les moldus étaient plus au fait de ce genre de maladies ».
Les jours passaient et la gamine ne se réveillait toujours pas. Les paroles des infirmières et guérisseuses étaient toujours les mêmes : ils ne savaient absolument pas quoi faire. Ce n'est que lorsqu'une semaine entière se fut écoulée que les paupières lourdes de l'enfant Nott se relevèrent pour laisser apparaître des yeux fatigués mais conscients. Ses parents étaient absents – ils avaient désertés la chambre la veille au soir et n'étaient pas revenu ce jour-là parce qu'après tout, ils ne pouvaient pas passer toutes leurs journées au chevet d'une jeune fille qui avait peu de chance de se réveiller pendant leur présence – et Mildred se sentit abandonnée par les membres de sa famille auxquels elle tenait le plus. Trahie, défaite et déconfite, elle rumina ses sombres pensées en silence, jusqu'à ce qu'elle ne soit réveillée de sa transe par l'exclamation d'une guérisseuse qui ne s'attendait visiblement pas à la voir réveillée et assise qui plus est. Le reste pour elle ne fut qu'un brouillard duquel ses parents finirent par émerger. Guère désinvolte et rancunière, elle ne fit pas part à ses parents de ce qu'elle avait ressentit en se réveillant seule. Elle ne dit rien. Elle ne dit rien et laissa les choses se faire, tel quelle les avait toujours laisser faire. C'était ainsi que marchait la société dans laquelle elle vivait en tant que jeune femme, et c'était ainsi que sa pensée évoluait. Elle n'avait rien à dire, mais tout à penser.

Bienvenue mignonne