La Red House était connue dans le monde sorcier pour offrir aux hommes -et aux femmes- qui le souhaitaient du réconfort par le plaisir de la chair. Mais cette maison était surtout renommée pour la diversité des créatures proposant leur service : simples sorciers, cracmols, demi-géante, vampire, vélane, nain …L'offre dépassait la demande. Certains hommes avaient vraiment des goûts étranges en matière de pratiques, ainsi lorsque les deux aurors, Audrey Worthington et John Dawlish, étaient tombés sur un rapport concernant les meurtres de plusieurs prostituées mi-femme mi-gobelin, leur bon sens les avaient guidés jusqu'ici.

- Bonsoir, on voudrait parler à Bergit la femme gobelin... Commença l'auror avec sérieux...

- Ah vous voulez dire _" Peach Vanilla"_. Répondit le sous-tenancier en astiquant les verres à pied  d'un torchon sec.

- Ah vous voulez dire ___________________. Répondit le sous-tenancier en astiquant les verres à pied  d'un torchon sec.

Allez on commence les hostilité :

PAIR : White banana
IMPAIR : Peach vanilla

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'le dé ' : 1

Aussitôt passa-t-il le pas de la porte, John plissa le nez de dégoût. L’atmosphère était étouffante, poussiéreuse et pas très hygiénique. Si ça ne tenait qu’à lui, il ferait fermer cet ignoble endroit en un coup de baguette. Les amateurs diraient qu’il empêche ainsi à de nobles créatures de gagner leur pain, mais l’aurore savait bien qu’avec le peu de droits qu’ils avaient, les créatures magiques, ils n’étaient très certainement pas en position de consentir à tout ça. Les sorciers, bien souvent, avait le don de le dégoûter.  D’un hochement de tête découragé, il mit de côté sa répugnance et emboîta le pas à sa partenaire qui s’était dirigée tout droit vers le tenancier avec un aplomb bien à elle. Il observa l’échange sans broncher face au ridicule nom de la femmelette-gobeline et s’efforça à se rappeler qu’elle était la victime d’une société corrompue.

1-3-5 : Une créature – un  peu plus grande et élancée qu’un gobelin, mais oh combien autant plissée et munie d’un énorme nez – s’avança vers les deux aurores en sautillants, les pans de sa robe jaune canari en mousseline volant sur son passage, découvrant des jambes ornées de furoncles – probablement une gonorrhée grimpantes galleuse. « Mon biiiichonnnn» s’exclama-t-elle d’une voix aussi douce que des ongles sur un tableau vert tout en déposant fermement sa main sur le pectoraux de John, pour ensuite la faire glisser – d’un geste qui se voulait sensuel – sur les abdominaux du sorcier. Surpris et dégoûté il regarda Audrey avec une expression qui disait 'je te jure je suis jamais venu ici' « Oh ! Et tu as amené ta bichette ! Mais quels coquinets êtes-vous ! » roucoula-t-elle en pinçant une fesse à Audrey. Face aux minois indescriptiblement frigide des deux aurores elle ajouta : « Mmmm je vois que vous avez besoin d’un peu de folies pour raviver la flamme charnelle qui brûla un jour entre vous…». Sans crier garre, elle leur empoigna les poignets – d’une poigne superbement puissante et les attira vers une alcôve où tout était possible …

2-4-6 : Une créature – un  peu plus grande et élancée qu’un gobelin, mais oh combien autant plissée et munie d’un énorme nez – s’avança vers les deux aurores, le dos courbé et le pas trainant, les pans de sa robe jaune canari en mousseline volant sur son passage, découvrant des jambes ornées de furoncles – probablement une gonorrhée grimpantes galleuse. Une fois arrivé à la hauteur des aurores, la créature se racla la gorge avec puissance et d’un reniflement à faire lever le cœur des prisonniers d’Azkaban, la femme-gobelin cracha une énorme huitre directement sur le torse d’Audrey – ratant de peu son visage, Merlin soit loué. Sans crier gare, la créature balança son poing – décoré d’ongles pas très net – dans  les castagnettes de John et s’enfui en courrant vers une alcôve où tout était possible… de tels actes faisaient-ils d’elles un suspect à l’enquête? Mystère et boule de gomme.

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'le dé ' : 5

Lorsque le tenancier prononça le petit surnom que la gobeline portait au sein de l'établissement, la jeune femme manqua d'exploser de rire. Mais un regard en direction de son collègue l’arrêta net, John affichant sa tête des mauvais jours. La suite n'arrangea pas son humeur, puisque déjà la petite dame caressait son corps, puis lui pinça ses fesses à elle. Leur air blasé se firent écho, qu'elle prit pour un manque de folies au sein de leur « couple ». Non mais vraiment ? Leurs insignes d'aurors n'étaient-ils pas suffisamment gros sur leurs uniformes ? La petite bonne-femme-gobeline les attira dans une sorte d'alcôve aux voilages pourpres et dorés dont le centre de la pièce contenait un immense lit ovale. Non mais où étaient-ils tombés ? Difficile de garder son sérieux en pareille circonstance, malgré tout Audrey resta professionnelle. Elle s'éclairict la gorge avant de commencer :

- Miss Bergit … Nous...

- Peach Vanilla .. roucoula-t-elle de plus belle en tournant autour du bel homme en lui palpant les cuisses.

- Comme vous voulez, Peach Vanilla, nous sommes ici pour vous poser quelques questions au sujet de...

1,2,3 : - Des meurtres des prostituées gobelines, n'est-ce pas ? Je ne suis au courant de rien .... L'interrompit-elle en s'allongeant lascivement sur le lit, en s'allumant une cigarette longue.

4,5,6 : - Du trafic de plantes de notre patronne, n'est-ce pas  ? Je ne suis au courant de rien .... L'interrompit-elle en s'approchant des fesses de son coéquipier et lui palpant avec ses mains hideuses ...

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'le dé ' : 4

John était irrité, et le mot était faible. Il se faisait toucher et tâter comme s’il était un vil client de cet endroit sale. Il brûlait d’envie de pétrifier la gobelinette aux mains baladeuses, mais il se retint, sachant qu’elle n’était probablement pas un suspect, mais un témoin important de leur enquête…d’ailleurs, Audrey n’était pas friande des petites attaques pratiques sur les innocents. L’aurore était bien heureux que sa partenaire dirige leur enquête en questionnant la créature, car il était trop concentrer à maintenir son sang-froid et ouvrir la bouche était risqué…Alors qu’il pensait que la femme-gobelin ne pouvait faire pire que lui caresser le haut de la cuisse, celle-ci lui agrippa la fesse, la tâtonnant avec gourmandise. C’en fût assez, John s’énerva et lui agrippa sèchement le poignet. Il le plia dans un angle particulièrement inconfortable – une technique qu’il avait appris dans les rues de Birmingham – et la força à reculer jusqu’à ce qu’elle perdre l’équilibre et s’assied sur le lit. « Bergit.» gronda-t-il d’un voix menaçante, « Ça suffit. Nous ne sommes pas ici pour que vous raviviez notre flamme, j’vous prierais de bien vous tenir. » termina-t-il. Il claqua la langue, agacé, avant de desserrer doucement sa poigne.

4-5-6 Les yeux de Peach Vanilla devinrent aussi ronds que des ballons et sa respiration s’accéléra rapidement, tellement qu’on aurait pu croire qu’elle était sur le point d’hyper ventiler ou de se claquer une crise de panique… on n’aurait rarement été si loin de la réalité. « Oh oui, Peachy a été une vilaine vilaine fille. » couina-t-elle en se trémoussant de plaisir sous la poigne de l’aurore. Dégoûté par la réaction inattendue de la gobeline, John lâcha aussitôt le poignet de celle-ci, en reculant d’un pas. « Non! Continuez…j’aime ça bien fort! » hurla dramatiquement la créature. « Audrey, fais quelque chose ou j’lui lance un sort» déclara l’homme en fixant sa partenaire.


1-2-3 Les yeux de Peach Vanilla devinrent aussi ronds que des ballons et sa respiration s’accéléra rapidement, tellement qu’on aurait pu croire qu’elle était sur le point d’hyper ventiler ou de se claquer une crise de panique…Soudainement la gobeline se mis à hurler et à pleure sous les yeux ébahis des aurores. John, perplexe, lâcha brusquement le poignet de la créature en crise. « Je vous en supplie ne m’envoyer pas à Azkaban, je ne suis qu’une mignonne petite travailleuse de nature, je vous promets que je n’ai rien à voir avec le trafic de plantes de madame la patronne! Tout ce que Smith vous as dit c’est faux! Ce n’est qu’un vil menteur qui a mal vécu mon refus d’accueillir sa baguette dans mon oreille ! Je n’ai jamais, au grand jamais, touché à cette plante … elle me fait beaucoup trop tourner la tête! » la femme-gobelin s’arrêta net, en comprenant qu’elle venait peut-être avouer avoir déjà consommer cette dites plante. Drôlement, il toute cette panique et ces larmes semblaient avoir disparue aussi vite qu’ils étaient arrivés…bien étrange.

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'le dé ' : 4

...Au courant de rien ??? Audrey arqua un sourcil lorsque la gobeline évoqua le trafic de plante qu'elle déclarait ignorer. Sans doute informerait-elle le service concerné au Ministère, car les deux aurors n'étaient pas là pour ça. Alors que l'anglaise allait répondre, John, qui depuis le début tentait de maintenir son self-control, explosa en vol, grondant la créature. Cette dernière couina d'excitation, à la grande surprise de la jeune femme qui calma le jeu en voyant son collègue menaçant :

- Tentez de rester concentrée  .. euh Peachy … Nous venons au sujet d'une série de meurtres de .. comment pouvait-elle formuler cela sans vexer la femmelette ? … personnes comme vous …

- Vous voulez dire des femmes de petite vertu ? Répondit la gobeline en se prélassant sur son lit dans une position quelque peu … gênante.

- Oui c'est cela … Dit-elle en restant vague sur le titre utilisé. Connaissiez-vous une certaine … Audrey jeta un coup d’œil à son calepin qui ne la quittait jamais lors des enquêtes et poursuivit : Pavroc Crouchvick

- ….. mmm … Christmas Pudding .. Elle s'appellait .. Répliqua-t-elle pensive.

- Oui très bien … La connaissiez-vous ? L'avez vous vu la nuit du 29 juin .. Travaillait-elle ce soir là ? vous souvenez vous d'un client particulièrement agité ? Ou de quelque chose de singulier.. ? Bon cela faisait beaucoup de questions d'un seul tenant, mais l’enquête devait avancer...

La créature se positionna sur le ventre, les demi-jambes relevées vers le plafond :


IMPAIR : - C'était une grosse goule lécheuse de troll, si vous voulez mon avis … Dit-elle avec une hargne mal placée .. Etaient-ils tombés sur la coupable ?

PAIR : - C'était ma meilleure amie … On se racontait tout … Dit-elle en commençant à pleurer sur le sort de son amie …

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'le dé ' : 5

John était énervé. Cette femme-gobelin était folle. Il se sentait béni de Merlin d’être avec Audrey, ou plutôt c’était Peach Vanilla qui était béni de Merlin qu’il soit en mission avec sa grande amie qui faisait partie des seules personnes pour qui il maintiendrait son sang-froid.  « Miss. Crouchvick est morte, Bergit. On lui a extirper les yeux de la tête et avec son sang on a écrit quelques mots en son honneur au mur… votre insolence me pousse à penser que vous êtes bien au jus des faits. » déclara l’aurore d’une ton rempli de menaces. Il lança un regard complice à Audrey pour qu’elle comprenne qu’il n’était plus énervé – disons moins énervé – et que l’absence de contact physique lui avait permis de reprendre sur lui. Il était prêt à entamer l’approche interrogative du bon cop/bad cop, où, évidemment au vue de son irritation, il assumerait le rôle de l’aurore accusatoire et autoritaire et où Audrey celui de l’aurore plus raisonnable. « Vous et votre petite vertu allez me dire me dire où vous étiez la nuit du 29 juin, et n’essayez de nous mentir…»

1-2-3 : « Vous devez vraiment l’entretenir mieux, ma jolie » dit la gobeline à Audrey, « cet homme manque vraiment d’activité sexuel pour être farouche de la sorte » ajouta-t-elle en lançant un regard dégouté en direction de John. « Le 29 juin, j’étais, contrairement à vous, entrain de savourer les plaisirs de la chair, ici même, sur ce lit…» déclara-t-elle en caressa le velours mauve qui recouvrait le matelas. « Je n’ai absoluement aucune idée du client avec qui la licheuse de troll était cette nuit-là » avoua la femmelette sans se rendre compte qu’elle venait de leur refiler une information qui n’était pas bonne pour sa défense : Peachy était donc au courant que Pudding travaillait ce soir-là… intéressant qu’elle se rappelle de l’horaire d’une employée qu’elle détestait.

4-5-6 : « Oh lala la la, pas besoin d’être si farouche mon mignon, j’étais malade cette nuit-là. Mon client de 22 heures m’a refilé la serpentine – qu’il a surement attrapé de cette licheuse de trolls malpropre – et j’ai dû rentré au dortoir me reposer » vociféra-t-elle. La femellette présentait une attitude vraiment très hostile à l’égard de son ancienne collègue. Étrange.

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'le dé ' : 3

Bergit traita la défunte avec hargne, éveillant les soupçons des deux aurors. C'est alors que John glissa à sa collègue une œillade entendue et se lança dans leur spécialité : la technique du good cop/bad cop. Audrey hocha discrètement la tête en guise d'accord tout en écoutant les détails sordides de la découverte du cadavre. La réaction de la demi-gobeline l'étonna à nouveau, puisqu'elle revenait inlassablement au même manège : la sexualité de Dawlish. Si elle n'avait pas été en mission pour le Ministère, la brune aurait éclaté de rire et cela aurait fait leur soirée à tous les deux. Au lieu de cela, la miss resta concentrée, plus précisément sur la révélation que la femmelette venait de faire, bien malgré elle.
- Il doit bien y avoir un registre quelque part .. Je vais aller me renseigner auprès de la matrone. Proposa-t-elle en regardant tour à tour John et Peachy.
Audrey ne savait pas si cela était une bonne idée de les laisser tous les deux, mais il fallait vérifier les noms des clients ayant partagé la couche de la victime. - Ne faites pas de bêtises … Plaisanta-t-elle. - Je vais juste dérider un peu votre petit mari !!! Répondit la naine avec envie. Se dirigeant vers l'entrée, l'anglaise jeta un dernier coup d’œil en arrière vers son binôme. Nul doute qu'il saurait se défendre en cas d’assaut démesuré de la petite femme.

PAIR : Arrivée devant la tenancière de la Red House, cette dernière lui tendit le registre ou se trouvaient les noms de tous les clients. L'ancienne gryffondor tourna les pages jusqu'à tomber sur la nuit qui les intéressait. Flint, Wormtail, Nott .. Ah voilà ! Ropholdus Lesgrante … Bien ils avaient un prénom et un nom. Mais était-ce seulement un patronyme véritable et pas un pseudo ? Dans le doute, la jeune femme retourna vers la témoin....

IMPAIR : Arrivée devant la tenancière de la Red House, cette dernière lui tendit le registre ou se trouvaient les noms de tous les clients. L'ancienne gryffondor tourna les pages jusqu'à tomber sur la nuit qui les intéressait. Flint, Wormtail, McNair.. Mais rien à l'heure présumée de la mort .. Dommage, c'est bredouille que la jeune femme retourna vers son collègue et la témoin obsédée.

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'le dé ' : 5