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'le dé ' : 5

Sans plus attendre, leur vieux professeur introduit sa classe, d’une voix claironnante qui ne manqua pas de lui donner mal au crâne. Évidemment que Slughorn faisait dans le quétaine, Saint-Valentin, amour, joie et amortencia. La Serdaigle leva les yeux au ciel et coula un regard en direction de Flint. Elle savait exactement ce que son amortencia sentait et n’avait pas du tout besoin de parader devant toute la classe pour se le confirmer. La sorcière était cependant curieuse de l’odeur de pouvait bien avoir la potion de la haine…des effluves étouffantes du rince-crème de Lindsay qui puait la lavandes dans tout le dortoir? Possible. « Merci mec » dit-elle au blondinet qui lui tendit un chocolat. Malgré le fait qu’elle venait d’en engloutir une douzaine au déjeuner, Wilda n’hésita pas une seconde à l’avaler, personne de sensée ne refusait un chocolat.

1, 2 : chocolat à l'amortentia
3, 4 : chocolat à la potion de haine
5, 6 : chocolat sans potion  

Alors qu’elle tentait encore de déloger les restes de chocolat collé à ses dents, Peter quitta brusquement leur paillasse, l’envoyant presque promener au passage. Étrangement, la serdaigle ressenti une pointe de tristesse à ce départ si soudain : comme elle aurait aimé qu’ils aient sentir les potions ensemble. Elle décida donc de prendre les choses en mains, telle la femme qu’elle était, et d’aller chercher ce qu’elle voulait. Ainsi, elle se lever promptement et rattrapa son compagnon : « Peter, attend-moi! », l’implora-t-elle. Elle arriva juste à temps pour l’entendre associer l’odeur de la potion de l’amour à celle de Mary Macdonald. « T’es sûr que ça sent comme Mary? » demanda-t-elle sans pouvoir s’en empêcher. « Je pense qu’on a le même parfum, elle et moi... » ajouta-t-elle en désespoir de cause. Wilda craignait à présent avoir réalisé trop tard que Peter était devenu en jeune homme très séduisant. Ses cheveux blonds rappelaient l’éclat de pépites d’or et ses yeux était aussi beaux que la mer des caraïbes, pas qu’elle y soit déjà été. Merde, pourquoi avait-elle perdu son temps à se morfondre à propos d’Evan Talbott, alors qu’il existait un homme comme Peter? Sans décrocher son regard de cet adonis, la sorcière tendit le nez vers le chaudron d’amortencia qui dégageait une subtile odeur de sueur et une forte odeur de…« hummm ça sent les saucisses et le bacon! » fit-elle d’un ton rêveur. La capitaine des bleus décida qu’il serait stupide de s’attarder à la potion de la haine alors que son partenaire était bien plus intéressant. « Tu viens on va préparer nos chaudron? » demanda-t-elle en prenant la main du gryffondor et en papillonnant des cils.

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'le dé ' : 2

La place à côté de la sienne ne resta pas vide très longtemps, alors qu’une Gryffondor qu’elle ne connaissait que de vue s’installa à côté d’elle. Elle lui avait cependant demandé la permission tout en s’asseyant, davantage par politesse qu’autre chose, devina t-elle. Ou alors, il s’agissait d’une façon simple d’engager la conversation… Cependant, la Serpentarde n’eut le temps de répondre que par un hochement du menton, appuyé par un léger sourire, car Slughorn venait d’entrer à son tour dans la salle.
Et Nkiru se redressa subrepticement sur sa chaise lorsque le professeur annonça le thème du jour : l’amour et la haine. Ou plutôt l’obsession et la répulsion. Pour l’heure, la jeune femme ne visualisais pas dans quelle situation la seconde potion pourrait lui être utile. Cependant, la première pourrait toujours lui permettre d’avoir une bonne situation… En réalité, il n’y avait aucune chance qu’une née moldue tel qu’elle fasse un bon mariage avec un sang pur, afin de laver son déshonneur. Mais cette potion pourrait sans doute lui donner un léger coup de pouce…
Sur indication du Professeur, elle s'apprêtait à se lever pour aller humer les parfums des deux chaudrons, curieuse. Mais le ’apparition soudaine d’une boîte de chocolat au milieu de la table contrecarra ses plans. Habituellement, elle n’était pas une grande amatrice de chocolat, mais son absence de petit déjeuner de ce matin la poussa à piocher allégrement dans la boîte. Elle la laissa au milieu de la table, de sorte à ce que sa voisine puisse également y se servir.

1, 2 : chocolat à l'amortentia
3, 4 : chocolat à la potion de haine
5, 6 : chocolat sans potion

Par la suite, elle se rendit jusqu’au chaudron et en huma les effluves du premier. Il s’agissait sans aucune doute d’amortencia : l’odeur de l’herbe fraîchement coupé, mais aussi de la forêt interdite sonnait comme une invitation à l’aventure à laquelle elle pouvait difficilement résister. Quant au second chaudron, elle s’en détourna très rapidement, après avoir immédiatement identifié les relents qui s’en dégageaient : il s’agissant sans aucun doute possible de l’odeur des cierges de l’église dans laquelle elle se rendait enfant avec sa famille.

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'le dé ' : 5

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'le dé ' : 3

Un plan de classe pour les amoureux… Mais alors que Svetlana pensait que ce serait un être masculin à ses cotés, elle fut surprise d’entendre une douce voix et pétillante. « Lily ! » s’exclama la russe avec une légère surprise en la voyant s’installer mais elle lui fit aussitôt un sourire. « Sois ma prétendante le temps d’une leçon de potion », déclama-t-elle avec une fausse joie enjôleuse. Non pas de prétendant. Trop de choses à penser. Mais… quel était ce regard, furtif et légèrement agacé qu’elle lança à la table, derrière elle. Svetlana ne put retenir un petit rictus moqueur, qui se transforma en éclat de rire lorsque Swann entra en scène avec ses gros sabots. C’était lui, tout craché. Il fallait avouer que Flint avait également du répondant, tout aussi théâtral.

Cependant, son sourire se fana lorsque Slughorn leur proposa d’étudier l’amortentia. « Je l’aurai parié. » Malgré tout, la serdaigle sortit sa plume et prit en note le cours du potionniste. Le cours prit une tournure un peu plus intéressante avec la potion de haine.

Puis, la blonde mit ses camarades et se dirigea vers les chaudrons. Elle huma alors … «  c’est comme, le doux parfum du bois brulé » semblable à celui qui craquait dans l’âtre de la cheminée pendant l’hiver. « Je sens aussi une odeur marine, comme celle des vacances à la mer », brise océane. Elle eut un sourire. « Il y a aussi l’odeur de la bierraubeurre, celle des Trois Balais », précisa-t-elle. Rosmerta lui avait tant offert, ce parfum était tellement évocateur pour elle et enfin, un parfum qu’elle ne saurait définir, masculin. Mais cela, elle se garda bien de le dire, cherchant dans ses souvenirs à qui pouvait appartenir ce parfum.

Puis elle se pencha sur l’autre chaudron. « Oh, par Merlin », dit-elle en se dégageant aussitôt. « Ca sent la réglisse, la poussière et… » Svetlana ne put continuer, interrompu par un haut le coeur. C’était infect. Pour se réconforter, elle prit un chocolat.


1, 2 : chocolat à l'amortentia, vous êtes attiré(e) par votre binôme.
3, 4 : chocolat à la potion de haine, vous êtes révulsé(e) par votre binôme.
5, 6 : chocolat sans potion, vous êtes indemne.

En retournant à sa place, Svetlana croisa le regard de Lily et... elle se sentit aussitôt sur un petit nuage. Avec un petit sourire, elle se mit à toucher ses cheveux, faisant semblant de les coiffer. « Je suis contente que tu m'aies choisie comme binôme. » Imperceptiblement, la blonde déplaça pour se rapprocher un peu de la jolie rousse, ne serait-ce que pour humer son doux parfum. « Tu as changé de parfum. Il est très... marin, frais... j'adore. »

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'le dé ' : 2

La main pleine de sucre du scone qu'il avait englouti quelques secondes plus tôt, Ambrosius glissa sa main sous la table et vint s'essuyer discrètement sur son genou tandis que Jyn l'interrogeait sur la RITM.
— Radio Indépendante à Transmission Magique, récita-t-il, mais déjà le Professeur Slughorn débutait son cours. Je te ferai écouter ce soir, ajouta le Poufsouffle à voix basse en se penchant vers sa camarade.
Écoutant d'une oreille pas très attentive les explications du maître es potions, Ambrosius sursauta lorsqu'une boîte de chocolat apparût en plein milieu de leur tablée. Il en prit un qu'il pensait au café tout en se disant que, peut-être, ça le réveillerait.

1, 2 : chocolat à l'amortentia, vous êtes attiré(e) par votre binôme.
3, 4 : chocolat à la potion de haine, vous êtes révulsé(e) par votre binôme.
5, 6 : chocolat sans potion, vous êtes indemne.

— Oui mais là, on n'a rien à boire, répondit Ambrosius en jetant un coup d'oeil autour de lui aux élèves qui, déjà, se levaient. Je pense qu'on ne risque... rien... à...
Il s'était tourné vers Jyn et, la bouche entrouverte, il fut assailli par les battements de son coeur qui tambourinait dans sa poitrine. Elle était si jolie, son visage se colorant des reflets des vapeurs de potions... Et si avisée ! Elle avait surement raison quant au fait qu'ils risquaient une nouvelle fois l'empoisonnement, cependant il ne put faire autrement que de la suivre comme un enfant derrière le joueur de flûte de Hamelin -légende sorcière, a-t-on besoin de préciser.
— C'est vrai que ça pue, répéta idiotement Ambrosius en sentant les effluves des couches sales de son neveu Marcus en provenance du premier chaudron.
Mais déjà il s'intéressait à l'autre chaudron, sur les talons de Jyn.
— Ça sent le sucre ! se dévoila-t-il devant toute la classe, lui qui, dans son état normal, aurait gardé pour lui toutes ces odeurs qui en disaient long sur sa personnalité. Le caramel, le chocolat... le réglisse aussi, et la menthe... Ça sent le magasin de bonbons ! Non, attends, ça sent le linge fraichement lavé, la lessive de Poudlard, les édredons du dortoir. Et ça sent aussi l'odeur du pain chaud !
Lorsque Jyn lui ordonna de retourner à leur table, Ambrosius ne se le fit pas dire deux fois et se précipita sur la chaise à côté d'elle. Il croisa les bras sur le plan de travail de la table et y enfouit sa tête rougissante tandis que, d'un oeil, il observait discrètement son binôme d'un air amoureux. Oh, Jyn...

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'le dé ' : 2

Une classe sur la Saint-valentin, tu trouves ça super intéressant et tes yeux s'agrandissent de stupeur quand tu apprends qu'il existe une potion censé créer un semblant d'amour. Y'a pas de doute tu en apprends tous les jours. Tu te lèves et rejoins ta binôme devant l'un des deux chaudrons.
Tu laisse la fumée de la potion d'amour envahir tes narines.
-"Huuum, comme ça sent bon!" Tu te tournes ta binôme, curieuse de savoir ce qu'elle à senti. "L'amertume de la vodka, l'odeur du feu de bois et de thym et..." Tu t'arrêtes. Tu as senti une odeur que tu connais, une odeur que tu arrives facilement à identifier et tu rosis légèrement. Une odeur russe et virile...

Tu t'éclipses et te tourne vers l'autres chaudron mais avant tu pioches un chocolat dans la boite qui est arrivé prêt de la table.

1, 2 : chocolat à l'amortentia, vous êtes attiré(e) par votre binôme.
3, 4 : chocolat à la potion de haine, vous êtes révulsé(e) par votre binôme.
5, 6 : chocolat sans potion, vous êtes indemne.

Tu te précipites vers ta binôme qui est déjà au-dessus de l'autre chaudron. C'est quelle court vite avec ses majestueuses longues jambes. elle te fais penser une panthère avec sa peau d'ébène et sa grâce féline.
Tu te penches au dessus du second chaudron et grimace, presque prise par un haut le coeur.
-"Pouah !" tu lâches celui là, tu t'en éloigne rapidement. "On dirais de la pourriture et une odeur d'after shave bas de game." Tu frissones ça aussi, ça te fait penser à quelques chose.

Tu retournes à ta table, sur d'y retrouver ta binôme. En arrivant, tu papillones légèrement des yeux en la regardant. "Moi c'est Darya" tu dis joyeusement une main sous ton menton et le regard brillant.

Le membre 'Darya Rozanova' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'le dé ' : 2

Tu lèves les yeux au ciel en entendant la réplique de ta nouvelle binôme ! Mince toi qui était contente d'être seule, tu aurais presque pris n'importe qui d'autres à la place de la Flint. Tu ignores sa remarque ! Tu n'as rien à cacher et ta famille n'a jamais fricoter de près ou de loin avec les Malefoy même pour des simples affaires d'argent. Non, les Talbott sont plus accès sur de grandes familles comme les Carrow.
-"Et toi tu devrais arrêter de te la jouer Flint, la chute sera brutale." Tu lâches d'un ton dédaigneux. "Sans compter qu'il te faudra un jour choisir un camp..." Tu murmures juste pour elle. Tu préfères passé pour la garce et te comporter en sang-pur plutôt que de décevoir ta famille et ton rang.

En te levant pour t'approcher de la potion d'amour, tu attrapes un chocolat dans la boite et l'enfournes dans ta bouches avant de te diriger vers le premier chaudron dont tu inspires les effluves.

1, 2 : chocolat à l'amortentia, vous êtes attiré(e) par votre binôme.
3, 4 : chocolat à la potion de haine, vous êtes révulsé(e) par votre binôme.
5, 6 : chocolat sans potion, vous êtes indemne.

Tiens ça sent comme à la maison. Tu retrouves les odeurs caractéristique des membres de ta famille. Le gel douche de Amaury, l'eau de Cologne de Evan, la potion de maman. "Le crin de cheval aussi" comme ta jument préféré qui t'attends au manoir. "Et l'odeur des vieux livres"

Puis tu te diriges vers la potions de haine et tu n'a pas besoin de t'en approcher pour sentir son odeur. "La fumée de cigare, l'iode." Contre toute attente tu retrouve le parfum préféré de Wilda. Bizarre. Pourtant tu l'aimes bien son parfum...

C'est la que ce fais le déclic. Lys et Saul ont raison mais ils oublient un détails.
-"Les deux potions, l'amortentia, comme la potion de haine, peuvent varier en même temps que nos gout changent. Elles ne sont jamais fixes et dans 20 ans peut-être que je sentirais d'autres senteurs."

Le membre 'Lindsay Talbott' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'le dé ' : 5