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| CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Ven 15 Mar 2019 - 11:15 | |
| Les premiers élèves se prêtèrent à l’exercice en poussant de francs soupirs d’appréciation ou de dégoût selon le chaudron devant lequel ils se penchaient. Saul Funestar en tira le premier une juste conclusion. « Exactement, Monsieur Funestar, cinq points pour Serdaigle ! ». Et la craie ensorcelée d’inscrire sur le tableau sous la colonne amortentia les différents points tandis que le maître les listait. « L’amortentia peut être identifiée grâce à sa couleur nacrée, grâce à sa vapeur qui s'élève en spirales si particulières mais surtout grâce à son odeur affriolante pour chaque individu. Remémorez-vous la première classe de l’année et la manière dont les premiers éléments peuvent être masqués, et dans le doute, fiez-vous plutôt à votre nez. La sensation de plaisir que vous ressentirez en la humant étant très complexe à masquer, elle sera le plus souvent présente même subtilement ». Une élève de sa maison fit bientôt le parallèle avec la potion de haine. « Encore juste, Miss Malefoy, cinq points pour Serpentard ». Les explications et la craie de reprendre leur cours. « La potion de haine est reconnaissable par sa sombre robe, sa vapeur qui s’écoule lourdement mais surtout par son odeur rebutante. Elle se révèle plus compliquée à faire avaler à l’insu de son buveur ». La craie tira un trait horizontal pour créer une catégorie commune aux deux potions et retranscrit les propos d’une autre élève avant même que le Professeur Slughorn ne les approuve. « Bieeen ! - s’étonna-t-il de la proposition d’une élève qui n’avait jusque là jamais attirée son attention - Miss Lloyd, c’est bien ça ? Vous faites remporter cinq nouveaux points à Serdaigle » lui sourit-il. Lindsay Talbott répéta plus ou moins ce que sa camarade avait déjà dit aussi le professeur acquiesça-t-il avec une gêne courtoise plutôt que d’octroyer de nouveaux points à leur maison. « L’amortentia comme la potion de haine peuvent en effet se révéler aussi volages que nos passions et aversions. Ne désespérez donc pas de trouver poignantes mes classes de potions à un certain moment de l’année, Monsieur Barksdale ! » plaisanta-t-il d’humeur magnanime avec l’élève révulsé par l’odeur du cachot. « Une autre distinction que nous pouvons en tirer sur leur magie est donc qu’elle ne puise pas sa source dans notre nature la plus profonde et instinctive de sorcier. Vous aurez deviné que c’est précisément ce point qui nous empêche aujourd’hui d’affirmer que l’amortentia recrée l’amour. Nos deux potions puisent leur source dans notre conscience, dans la partie défensive de notre personnalité en d’autres termes. Cherchez cet ingrédient mystère Monsieur Funestar et je suis persuadé que vous finirez par mettre le doigt dessus. En attendant, l’un de vous peut-il m’indiquer un sortilège également irrigué par cette source de magie ? - il ajoute un indice devant les regards circonspects - un sortilège dont l'expression pourrait également varier dans le temps » |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Ven 15 Mar 2019 - 12:53 | |
| La nature tourmentée et fiévreuse de Vespyr était encore décuplée en présence de Thomas. Elle ne connaissait que deux états en sa présence : la misère et la félicité. Et comme il avait sous-entendu nonchalamment qu’elle n’était qu’une gamine, elle devait maintenant fixer des yeux humides vers le plafond et compter les dalles pour se retenir de ne pas éclater en sanglots. Impossible de papillonner des cils dans sous ses nouvelles circonstances. Il lui semblait de plus que son grand amour avait associé à l’odeur de l’amortentia le prénom de celle qu’elle haïssait maintenant avec tellement d’ardeur qu’il ne faisait aucun doute que sa potion de haine revêtait un nouvel attrait. « Lys comme la fleur ou comme l'autre … - hoqueta-t-elle heureusement avant de prononcer un vilain juron. Le Professeur Slughorn continuait gaiement son cours mais elle n’écoutait absolument rien, pas plus qu’elle ne prenait la moindre note sur son parchemin. |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Ven 15 Mar 2019 - 13:09 | |
| Dès qu’il était en présence d’une fille, le coeur du maraudeur battait un peu plus vite. La sensation se trouvait pourtant beaucoup moins agréable que d’habitude tandis que sa camarade lui collait à la cape. Elle le fit sursauter lorsqu’elle l’interrogea sur le parfum de son amortentia comme il détestait qu’on le surprenne si furtivement. « Non … je … non … Mary ». Il avait les sourcils froncés et le front baissé, s’employait à la fuir et à l’ignorer. Est-ce qu’elle avait toujours été aussi bavarde ? s’interrogeait-il. La main de Wilda dans la sienne lui fit la sensation d’être à la fois trop moite et trop sèche. « Comment ? » se laissa-t-il traîner jusqu'à leur place. Il préféra même participer en classe plutôt que de regarder la jeune fille mais, à son tour, le professeur l’ignora tout simplement. « Mon idée était si stupide ? » baissa-t-il la main défait. Et même si Wilda n’avait cette fois-ci pas bougé de sa place, il eut un nouveau sursaut en tournant par mégarde le visage vers elle. « T’es toujours aussi … hum … autant - s’agaça-t-il rougissant et marmonnant - présente ? ». L’amour pas plus que la haine ne faisait pousser des ailes de courage à l’adolescent. Il commença à prendre des notes sans réellement écouter. La seule chose qu’il était en mesure de penser était que même le grincement de sa plume sur son parchemin était un son plus séduisante que la voix de son interlocutrice. |
| | | Thomas Avery CAPITAINE SERPENTARDMieux vaut ruse que force. | HIBOUX POSTÉS : 807 | AVATARS / CRÉDITS : D. Sharman (DUBLIN) | SANG : Pure fxcking blood.
| Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Ven 15 Mar 2019 - 13:58 | |
| Le chocolat en bouche, Thomas fixait avec envie la silhouette de Lys qui regagnait sa place, puis détourna son attention de la jolie héritière Malefoy pour venir poser son regard sur sa binôme qui semblait faire la gueule sur la chaise à côté. Tandis qu'il s'apprêtait à lui faire une remarque moqueuse, il prit soin, tout d'abord, d'avaler son chocolat, puis ... puis ... puis quoi ... wow ... — T'as changé quelque chose dans ta coiffure ? demanda un Thomas captivé qui vint s'emparer délicatement d'une mèche des cheveux de Vespyr et l'inspecta comme s'il était Tissard évaluant les nouveaux tissus pour ses robes de sorciers au salon de la soie. Et ses joues pâles, légèrement rosies à cause de la proximité du Serpentard, et ses yeux brillants, son nez ... A mesure qu'il faisait l'inventaire des traits, sublimés par l'Amortentia, de la sorcière, il ne pouvait s'empêcher d'y passer son doigt, un peu gauchement, comme s'il s'était trouvé là devant une représentation parfaite de sa camarade en silicone, plutôt que devant sa camarade elle-même en chair et en os. Aussi déposa-t-il son index sur sa paupière gauche, sur son nez, sur la pulpe de ses lèvres qui s'entrouvrirent sous la pression du doigt de Thomas ... De l'extérieur, la scène était complètement ridicule, mais pour le Serpentard, à mesure que l'Amortentia faisait son petit effet, il n'y avait plus d'extérieur ; il n'y avait plus de cours de potions, il n'y avait plus de Slughorn, il n'y avait plus de Lys, qui pouvait pourtant les voir à quelques tables derrière, il n'y avait plus personne que le bleu des yeux de Vespyr dans lesquels il aurait pu se noyer ! — Je t'aime ... lui dit-il dans un souffle, comme si ces mots étaient sortis tout seuls de sa bouche. Il ne se souvenait même pas d'avoir déjà dit ces mots à Lys alors que pour elle, il les pensait. Mais dans l'instant, il était persuadé de les penser également pour Vespyr. |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Ven 15 Mar 2019 - 14:47 | |
| La jeune fille attendait son binôme, souriant à l'évocation d'odeur qui lui paraissaient si abstraites, il fallait dire que l'odeur de la dinde de Noël, elle ne connaissait pas vraiment, mais il était certain qu'elle l'aurait très certainement sentie dans le chaudron vaporeux si elle avait pu. « Chacun a une personnalité propre, tu ne devrais pas te comparer aux autres. » dit-elle sur un ton neutre qui ne trahissait ni joie ni répulsion, elle redevenait simplement égale à son masque qu'elle avait brisé en s'asseyant à côté du jeune homme. Elle n'écouta que vaguement son analyse de l'amortensia, trop occupée à se demander si son amant parlait bel et bien d'elle ou de la fleur lorsqu'il avait mis le nez au dessus du chaudron. En prenant place avec lassitude sur sa chaise, elle répondu à son binôme par un haussement d'épaules tandis que Slughorn partait une nouvelle fois dans une explication abracadabrante d'un sortilège changeant avec le temps, ils étaient en cours de potions et parlaient de sortilèges ? On aurait tout vu. La demoiselle leva la main et s'apprêtait à répondre lorsqu'une phrase de Thomas résonna dans sa tête, la main se baissant aussitôt levée, elle fixa la scène qui se déroulait devant elle avec horreur. Qu'est-ce que ? Son poing se serra sous la table, les yeux légèrement brillants. S'était-il moqué d'elle jusqu'au bout ? Soudainement, la jeune fille ressentie une certaine déception, elle n'avait plus que l'impression d'avoir connu un mensonge ces trois dernières années. C'était décidément : un homme mort. Il avait intérêt à avoir une excuse, une très bonne excuse. Si les sortilèges impardonnables ne portaient pas si bien leur nom, aucun doute que Vesper Wilkes et sa tête de bouledogue giseraient déjà au sol dans une mare de sang. |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Ven 15 Mar 2019 - 15:56 | |
| Assise aux côtés de Sirius, un brin pas réveillée, Dorcas attrapa un chocolat au vol, à vrai dire elle n'avait pas vraiment eu le temps de déjeuner, donc elle pouvait se voir excuser de son comportement quelque peu trivial. Elle en tendit un à Sirius avant de lui ébouriffer les cheveux et de glisser sa main dans la sienne pour se diriger vers les chaudrons fumants. Non pas qu'elle l'appréciait plus qu'elle ne le devrait, certainement pas, mais elle sentait le regard pesant de sa meilleure amie, et même si elle s'en voulait, elle devait y arriver. Elle devait choisir. Jaune ou rouge. Pas orange.
1, 2 : chocolat à l’amortentia 3, 4 : chocolat à la potion de haine 5, 6 : chocolat sans potion
Accédant finalement à son tour après un longue et interminable attente au chaudron de la Potion de Haine tandis que les aigles et les serpents se battaient pour obtenir le plus de points, elle mis son nez au dessus avant de s'en écarter vivement. Les odeurs de métal calciné, de pétrole et d'azote ne lui rappelant que trop le terrible moment où elle avait du dire adieu à sa première moto, partie à la casse trop tôt. Elle garda cela pour elle, ne voulant pas paraître plus étrange qu'elle ne l'était déjà, se comparant à d'autres odeurs plus communes dont elle avait entendu le nom. Puis vint le tour de la potion d'Amortensia qui lui rendit le sourire : « Je sens... une odeur d'iode, de l’huile de moteur et… je ne sais absolument pas ce que c’est, mais je l’ai déjà senti quelque part ! On dirait du cuir, mais c'est assez étrange... » fit-elle le nez retroussé en se demandant se que cela pouvait bien être avant de laisser la place à Sirius tout en levant la main pour répondre au professeur Slughorn. « Le sortilège du Patronus, peut évoluer en fonction des évènements survenant dans notre vie, professeur. Il me semble qu'une ancienne élève de Serdaigle est passé d'un ourson à un berger australien l'an dernier... Gardenia, je crois ? » dit-elle en réfléchissant à ce qui pourrait bien advenir de son patronus dans sa vie.
Dernière édition par Dorcas Meadowes le Ven 15 Mar 2019 - 16:17, édité 3 fois |
| | | Le dé
| HIBOUX POSTÉS : 6929 | SANG : Hasardeuse
| Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Ven 15 Mar 2019 - 15:56 | |
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'le dé ' : 6 |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Sam 16 Mar 2019 - 18:43 | |
| Elle esquissa un rictus plus que mauvais en entendant les paroles de la Serdaigle. La Chute sera brutale ? Mais bien sûr ! Qu'il était magique de rêver ainsi, et si un jour elle tombait de haut, elle serait heureuses d'avoir pu au moins voler de ses propres ailes, contrairement à la Talbott qui ne semblait pas comprendre ses paroles. « Mais je ne me la joue pas, ma chère. je reste simplement fidèle à moi-même ! » dit-elle avant de regarder la jeune fille comme une vulgaire mouche. « Un camp ? Vraiment. Je ne crois pas. On n'a pas les mêmse parents, aux dernières nouvelles; » fit-elle. Le seul camp plausible à ses yeux était celui qui s'éloignait le plus de sa famille de fous. Contrairement à la majorité des serpents présents dans la pièce, aucun des membres de sa famille n'étaient marqués, et il faudrait que chacun se rentre ça dans le crâne. « Si choisir un camp revient à faire du tri dans mes fréquentations. Autant ne pas en choisir un, Talbott. » fit-elle en se levant, un chocolat en main pour partir attendre son tour devant les chaudrons.
1, 2 : chocolat à l'amortentia, vous êtes attiré(e) par votre binôme. 3, 4 : chocolat à la potion de haine, vous êtes révulsé(e) par votre binôme. 5, 6 : chocolat sans potion, vous êtes indemne.
La tête de la jeune femme se mit à tourner légèrement, bizarre. Pourquoi se sentait-elle si mal d'avoir répondu de la sorte à Lindsay ? Son coeur se serrait légèrement et elle ne comprenait pas ce qui pouvait bien se passer. Elle ne pouvait s'empêcher d'observer les longs cheveux de Lindsay descendant en une cascade brune le long de son dos pour s'arrêter dans le creux de ses reins. Son regard eu du mal à ne pas descendre plus bas, effleurant ses jambes, ses mollets, pour finalement remonter vers le chaudron de la Potion de Haine. Le contraste fut imminent, l'odeur du parfum ambré insupportable de Malefoy qui envahissait toute la salle commune des Serpents chaque matin, les vieux parchemins trainant dans la bibliothèque avaient aussi une place bien particulière dans les effluves se dégageant de la potion dont elle s'éloigna drastiquement pour rejoindre le chaudron d'Amortensia. Croisant le regard de Lindsay, elle lui adressa un clin d'oeil dont la signification pouvait échapper à beaucoup, mais pas à elle, elle l'aguichait. Sans savoir pourquoi, mais elle en avait envie. Les douces effluves se dégageant de l'amortensia effacèrent bien vite toutes pensées dirigées vers Malefoy, pour la faire se reconcentrer sur le doux parfum du shampooing de la Serdaigle, mélangé à une légère odeur de Tequila Pur-Feu et le léger parfum des sels de bain qu'ils utilisaient au manoir.
Dernière édition par Phœnix A. Flint le Sam 16 Mar 2019 - 23:19, édité 2 fois |
| | | Le dé
| HIBOUX POSTÉS : 6929 | SANG : Hasardeuse
| Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Sam 16 Mar 2019 - 18:43 | |
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'le dé ' : 2 |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Sam 16 Mar 2019 - 20:14 | |
| Tandis que sa chère et tendre rougissait sous la faible lumière présente dans la salle de potions, il fut heureux de voir qu'elle appréciait la rose orangée qu'il venait de lui offrir. Si les roses rouges signifiait la passion ardente, les roses oranges signifiait tout simplement un amour désirable, mais plus discret. Le jeune s'était toujours promis d'offrir à celle qu'il aimait une seule et unique rose de cette dernière couleur et c'était aujourd"hui qu'il s'était décidé à mettre ses résolutions en pratique. Il serra la main de sa belle tout en lui proposant un chocolat qu'elle place dans sa bouche, avant de s'en saisir d'un à son tour. 1, 2 : chocolat à l'amortentia (sans effet, aucun )3, 4 : chocolat à la potion de haine 5, 6 : chocolat sans potion Suivant la magnifique jeune femme à la chevelure d'or, il se dirigea vers le chaudron contenant la Potion de Haine, et voyant la réaction de sa belle, il ne put s'empêcher de la serrer contre lui. Amycus Carrow était l'une des très, très, très rares personnes faisant partie de sa liste noire, liste qu'il n'avait crée que pour lui, même Griffiths ne méritant pas d'y figurer. A son tour, il senti la putride odeur du jeune homme, avant que l'après-shampooing de Downey et l'odeur des chaussettes de Gabon ne fassent à leur tour, leur apparition. Le jeune homme ne se confia pas à sa petite-amie sur le devenir de ses odeurs, se promettant de faire le ménage dans le dortoir si un jour elle devait y mettre les pieds pour il ne savait encore quelle raison. Il ne voulait pas altérer les capacités de son si joli nez avec une chambre de païen. ludovic écouta le ressenti de sa petite-amie, plus intéressé par ses yeux pétillants et l'exaltation dont elle faisait preuve que par le discours en lui-même, il fut néanmoins légèrement déçu en s'apercevant qu'aucune de ses odeurs ne lui fasse mention. Il se dirigea à son tour vers le chaudron. « Je sens... une odeur de tarte au citron ! » dit-il en regard la blonde qu'il savait friande lorsqu'il s'agissait de ce type de pâtisserie. « Mmm ! la bonne odeur du chocolat chaud fait maison à la cannelle, et... » fit-il en plissant le nez, cherchant d'où pouvait bien provenir la dernière odeur assez particulière. « ... une batte. C'est l'odeur de ma batte. » rigola-t-il en tentant de ne pas penser à ce qu'avait pu sentir la belle jeune femme qui partageait sa vie depuis quelques mois. Il fut néanmoins rassurer par la phrase qu'elle lui glissa en retournant vers leur paillasse. Le jeune homme lui embrassa tendrement le haut du crâne avant de lui murmurer un tendre « Je t'aime » à l'oreille.
Dernière édition par Ludovic Verpey le Sam 16 Mar 2019 - 20:39, édité 1 fois |
| | | Le dé
| HIBOUX POSTÉS : 6929 | SANG : Hasardeuse
| Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Sam 16 Mar 2019 - 20:14 | |
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'le dé ' : 1 |
| | | Jyn S. Dawkins PRÉFET POUFSOUFFLELes actes non les paroles font la loyauté. | HIBOUX POSTÉS : 508 | AVATARS / CRÉDITS : Saoirse Ronan | cosmiclight. | SANG : En quoi ça te regarde, tête de noeud ?
| Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Sam 16 Mar 2019 - 22:59 | |
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Jyn ne comprenait pas très bien ce qui lui arrivait, mais elle ressentait une aversion puissante et soudaine pour son partenaire du jour. Elle ne comprenait même pas comment elle avait pu éprouver du soulagement à sa vue, et elle en vînt à se dire que la présence de Goujon aurait été meilleure. Les joues rouges de colère, devant les divagations du garçon quand à l'odeur qu'il sentait, elle leva les yeux au ciel de manière exagérée : « Allons bon, te voilà un elfe ! » répondit-elle méchamment à ses propos sur le linge fraîchement lavé et les chaudrons de l'école. Elle tourna les talons de suite après en lui ordonnant de la suivre. De toute évidence, il l'avait prit au pied de la lettre, et se sentant oppressée comme un animal sauvage, elle lâcha : « Arrête de me coller Ambrosius ! ». Elle attrapa ses affaires de manière rageuse pour s'écarter de lui alors qu'il enfouissait sa tête dans ses bras. A cette vue, elle n'eut pas de peine, et ne ressentit rien d'autre qu'un dégoût viscéral qui ne lui ressemblait pas. A dire vrai, elle préfèrerait même Amycus Carrow... Dorcas s'illustra pour une réponse qui paru juste à la petite Poufsouffle qui se contentait d'écrire des mots à même la table, comme dans une provocation ultime pour attirer l'attention du Professeur sur elle.
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| | | Marlene McKinnon* ORDRE DU PHÉNIXLa meilleure défense, c'est l'attaque | HIBOUX POSTÉS : 1201 | AVATARS / CRÉDITS : © Thx Agathe | SANG : ⊰ Mêlé
| Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Dim 17 Mar 2019 - 10:44 | |
| Alors que Marlene retournait tranquillement à sa paillasse, le visage intrusif de James s’invita dans son champ de vision pour lui adresser une remarque qu’elle ne comprit absolument pas. Et comme elle se trouvait d’humeur particulièrement susceptible à l’égard des maraudeurs depuis la rentrée, elle prit d’office la mouche et fronça les sourcils en le guettant s’éloigner vers sa propre paillasse non sans un regard complice vers son meilleur ami. Est-ce qu’ils osaient faire des allusions perverses à son innocente amortentia genre doggy style ou joyeusetés zoophiles ? Elle se rapprocha naturellement de son petit-ami qui lui offrit un baiser autrement plus tendre et innocent … avant de lui susurrer son amour à l’oreille pour la toute première fois. Ses yeux s’écarquillèrent sous l’effet de la surprise davantage que du plaisir. « Ooooo - pourquoi répondait-elle cela ? - oooo - aussi longtemps et jusqu’au bout de son souffle ? - ooooh ! ». Le son qui s’extirpait de sa gorge semblait à la fois dire ‘c’est mignon’ et ‘c’est gênant’. Elle était maintenant rouge d’embarras en s’asseyant sur son tabouret tandis que, en face d’elle, son petit ami la regardait encore de son oeil d’amoureux transis. La seule manière de sauver ce moment n’était-il pas de répondre que elle aussi, elle l’aimait ? Le Professeur Slughorn reprit heureusement le fil de son cours à ce moment là et, sauvée par le gong, elle s’empressa de tourner son regard le plus concentré vers lui pour acquiescer à chacun de ses propos. Et commençant à griffonner les explications sur son parchemin, elle s’adressa finalement de nouveau à son binôme sans pourtant oser lever les yeux vers lui. « Je suis sûre que ça va tomber aux ASPIC, soyons attentifs ». Force était de constater que, malgré sa plus franche concentration, elle n’avait néanmoins pas la réponse à la nouvelle question du maître de potions. Contrairement à sa meilleure amie griffonne dont la participation soudaine lui arracha, sans qu’elle ne souhaite en identifier la raison, un soupir embêté. « Contrairement au sortilège d’animagus - renchérit-elle à son tour en levant la main, c’était étonnamment la première fois qu’elle participait pendant cette classe - non ? » interrogea-t-elle le professeur dont la silence la poussait naturellement à douter. « Je veux dire, l’animal de notre patronus peut varier alors que celui d’un animagus ne variera pas. L’animagus se rattacherait donc à notre nature profonde de sorcier alors que le patronus proviendrait de - cacha-t-elle sa gêne montante dans la lecture de ses notes - la partie défensive de notre personnalité ou … peu importe ». C’est qu’elle n’était pas certaine de tout à fait comprendre la distinction presque freudienne du potionniste. Elle ne put néanmoins s’empêcher d’adresser un certain regard immature signifiant ‘et toc’ à sa meilleure amie qui l’agaçait ces derniers jours. |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Dim 17 Mar 2019 - 16:38 | |
| Ambrosius n'écoutait plus rien au cours, fasciné qu'il était par le doux minois de Jyn Dawkins. Lorsqu'il remarqua qu'elle écrivait sur la table plutôt que sur un parchemin, il s'empressa d'attraper son propre sac de cours qu'il vida devant lui. Des grimoires tombèrent de la table, deux ou trois plumes s'envolèrent sous leurs pieds et une fiole de réserve d'encre s'éclata sur le parquet, répandant sur les planches de bois et sur la cape de leur voisin de devant une coulée noirâtre. Mais Ambrosius ne fit attention à rien d'autre qu'aux parchemins vierges qu'il tenait dans sa main et que, déjà, il glissait sous le nez de sa camarade de maison. — Tu n'as plus de parchemin ? Tu veux des parchemins ? J'en ai, moi, des parchemins, la harcela-t-il avant de s'emparer de la plume de la sorcière. Mais tu sais, je peux être ton scribe ! Dis-moi tout ce que tu veux que j'écrive et je l'écris ! Je peux même faire tes devoirs, Jyn, genre vraiment, je peux carrément ! Il aurait réécrit l'histoire de Poudlard en une seule nuit rien que pour elle, si elle lui avait demandé. Mais comme elle ne semblait pas lui demander, il insista : — Sois mon encre, Jyn, et je serai ta plume à papote ! Il avait dit ça d'une voix désespérée, sentant bien qu'il perdait du terrain et qu'un écart se creusait entre lui et l'amour de sa vie. |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin Dim 17 Mar 2019 - 23:01 | |
| Le cours de potions devenait gênant, enfin, encore plus que d’habitude. Autour de Marcus, un flot incessant de sentiments contraires. Le jeune homme se redressa et tourna la tête tour autour de lui. Il fixa les autres en arquant un sourcil interrogateur. Les sentiments, il n’y connaissait peu de choses en comparaison des autres étudiants habitués aux sentiments volages et aux peines de cœurs. Il était ben avec lui-même et il était en quelque sorte l’homme et la femme du couple qu’il formait seul. Il fit une moue dubitative, puis haussa les épaules. Il soupira avant de fixer Slughorn. - Ça me fait bizarre de vous dire ça professeur, mais je crois que pour une fois, c’est moi l’un des plus attentifs à votre cours , dit-il au vieil homme avec un sourire teinté de provocation et de malice. Il allait renchérir en demandant une invitation au fameux club du professeur mais se ravisa. L’instant d’après, il porta son attention sur sa voisine et, à la vue du regard noir qu’elle adressait à l’élève plus loin, fut pris d’un léger mouvement de recul. Si elle adresse ce genre de regard à ses ennemis, voilà une élève qu’il valait mieux éviter de contrarier. Alors, seul au monde entre une voisine intimidante, un vieux professeur ennuyant et une flopée d’élèves agissant bizarrement, Marcus se laissa aller sur sa chaise. Les mains devant lui sur sa table, il se mit à attendre simplement, tapotant ses doigts sur sa table pour combler l’ennui. |
| | | | Sujet: Re: CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin | |
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| | | | CLASSE DE FÉVRIER 1977 | Saint-Valentin | |
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