| Sujet: ❝ y’a déjà assez de conneries dans le monde pour que j’en rajoute. ❞ n.l Mer 12 Sep 2012 - 23:11 | |
| ϟ la répartition | ∆ NOM - lewis. ∆ PRENOMS - nicholas mark joseph ∆ DATE DE NAISSANCE - vinqt-cinq octobre mille neuf cent soixante-deux ∆ AGE - quinze ans ∆ VILLE D'ORIGINE - leeds power. ∆ CLASSE - cinquième année. ∆ SANG - né moldu ? en passant, c'est une insulte ? |
ϟ la description du personnage . . ∆ VOS DÉFAUTS - solitaire – tout le monde aime être entouré et au coeur de l'attention mais personnellement, tout ça me rend presque malade... Asocial ? Peut-être. Réservé et effacé ? Sans aucun doute, oui. Mais disons juste que je préfère être seul que mal accompagné. Sans vous mentir, être agoraphobe et ochlophobe (peur de la foule) n'aident pas des masses... pessimiste et défaitiste – mes parents m'ont toujours dit que je devrais prendre un peu plus la vie du bon côté et ne pas tout le temps y voir que le négatif. Mais ils sont bien gentils, mais je n'y arrive pas. Dans tout ce que je fais, je m'imagine toujours les pires issues... au moins, je suis sûre de ne pas être déçu à la fin. sensible – je vois d'ici vos têtes. Bah oui, même les garçons sont sensibles mais pas dans le genre chochottes qui pleurent et chouinent tout le temps (ou pas). Juste que être atteint par toutes sortes de phobies (de la noyade, du noir, de me perdre, de la foule...) m'ont rendu d'une certaine façon faible et sans défense à mon grand damne...
∆ VOS QUALITÉS - sarcastique – bah ouais, chez moi, c'est même une trop bonne qualité. hé ouais. Honnêtement, en étant un solitaire pantophobe (peur de tout) méfiant et asocial, il fallait que je trouve un moyen de me défendre. Donc pour lutter contre les remarques et les insultes, je me suis créer une carapace en béton armé et use de mes remarques sarcastiques pour leur montrer que j'ai aussi de la répartie (bah oui, surtout que je suis pas le fils de Monsieur Muscle...). calme et réfléchi – resté seul dans mon coin a au moins des avantages : contrairement aux autres gamins nerveux, je suis au contraire bien plus calme. Préférant poser les pours et les contres, au lieu de foncer tête baissée et avoir des regrets toutes sa vie. Néanmoins, ça peut avoir ses inconvénients.... persévérant – un comble, pas vrai ? Même ma mère n'y revient pas de voir à quel point je peux me montrer têtu quand quelque chose me tient à coeur (principalement des choses avec l'école, les études..). Je préfère faire les choses bien plutôt que de les bâcler en cinq minutes. C'est comme ça et pas possible de faire autrement.
∆ VOTRE EPOUVANTARD - c'est quoi encore ce truc ?! Je dirais tout ? Pas possible... alors, rater ses études !
∆ LES PARENTS - Son père Benjamin Joseph Lewis, professeur de Biologie à l'Université de Leeds, descend d'une vieille famille anglaise qui habite depuis des générations dans le Nord de l'Angleterre et se transmets de génération en génération un trésor de famille inestimable : un livre de cuisine traditionnel où chaque enfant doit y inscrire sa propre recette goûtée et approuvée. Le patriarche de la famille Lewis y a transcrit sa fameuse recette de gigot d'agneau revisité avec selon ses dires : un ingrédient mystère. Et évidemment, tous les membres connaissent ce 'fameux' ingrédient. Pour ce qui est de son épouse, Camelia Jade Franklin, native de Bristol dans le Sud de l'Angleterre, chargé de communication événementielle, élevée par sa mère, illustratrice pour livre d'enfants, uniquement puisque son père militaire pour la Royal Air Force était souvent souvent absent, ce qui ne manqua pas à la jeune Camelia considérait son père comme un héros même après sa mort au combat quand elle eut atteint ses six ans. Sans autres incidents majeurs, elle grandit auprès de sa mère et suivit des études de médecine. C'est d'ailleurs lors d'un séminaire de biologie auquel le jeune professeur Lewis donnait une conférence qu'ils se sont rencontrés. → more; fils unique et c'est pas plus mal pour eux....
∆ VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE - le gris ou le bordeaux ; simple et passe-partout à la fois.
∆ VOTRE MATIÈRE PRÉFÉRÉE - sorts et enchantements est la moins pénible à supporter.
∆ VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ - le renard : intelligent et malin. ou alors le requin ?
∆ VOTRE PATRONUS - si vous m'insultez encore, j'appelle ma mère. s'en est pas une ? bon bah, le hérisson alors.
∆ VOTRE FUTUR OU VOTRE PROJET D'AVENIR - Même si à ses débuts, il ne semblait pas porter la magie dans son coeur. Préférant son bon vieux monde (moldu) à l'univers magique et Poudlard, il s'est ravisé avec le temps. Malgré que tout cela reste relatif. Il s'est accoutumé à ses prétendus « pouvoirs magiques » qu'il possède. De plus, sans se l'avouer, Poudlard l'a bien changé (en mieux ?) et y a rencontré des bons amis... Pour ce qui est du futur métier... aucune idée quelque magique ou non. Des propositions ? Mais aucune chance que je prenne le vieux poste de ce rabougris de concierge Picott, hors de question !
∆ ET VOTRE PASSÉ - si vous voulez mon avis, ce n'est intéressant de lire la vie d'un gamin renfermé. c'était plus ennuyant qu'autre chose. juste à noter, que mes parents sont quelques peu rigides et niveau étude, ils placent la barre haut. et quitte à me faire travailler dès que j'ai su parler et réfléchir convenablement. mais ça ne me gène pas tant que ça... peut-être que tout viendrait de là alors....
∆ LA QUESTION DU CHOIXPEAU
« A la fébrile lueur de votre baguette magique Vous avancez pas à pas dans une contrée désertique, Peuplé de gnomes et de dragons. Répondez à ma question et vous aurez votre maison... »
→ Sensibilité, crainte, et douleur, Vous empêche de surmonter votre peur ?
∆ DESCRIPTION DE VOTRE RÉPARTITION DE FAÇON RP - Pourquoi, pourquoi fallait-il que je m'en aille. Que je parte, que je quitte la maison pour me rendre dans cette école. Cette école dont par ailleurs je n'avais jamais entendu parler où que ce soit. Ni les journaux, ni par mes parents. Alors comment avait-il eu mon adresse, mon nom et savait que je pourrais y aller ? Dans l'enveloppe que nous avions reçue au début des vacances, il y avait ce billet de train en partance d'une voie qui n'existait pas selon les dires de mes parents et qu'ils avaient dû se tromper. De plus, les fournitures étaient... introuvables ? imaginaires ? Et finalement, quelqu'un est venu pour nous... Comment on dit... apprendre ? nous mettre à la page ? ou bien, simplement, aider à comprendre ? Ça paraissait fou ! Comment pouvait-il prétendre que j'étais sorcier... Un sorcier ?! C'était juste impensable... Personne, aussi loin que je pouvais remonter, ne posséder un quelconque don ou aptitude magique. Personne. Pas même mes parents. Alors comment ?! Enfin, mes parents avaient accepté de m'y envoyer. A présent, nous ne pouvions... je ne pouvais plus faire demi-tour. Sur le chemin de la gare depuis Leeds, mon cœur ne cessait de battre un peu plus fort à mesure que nous approchions. Je n'avais plus aucun contrôle sur lui et pour couronner le tout, mon anxiété et mon asthme se sont intensifiés à une puissance plus forte que d'habitude. Et si les deux se mêlent... c'est le cocktail explosif pour moi. Autant, retranscrire dès maintenant mes mémoires et mon acte de décès. C'est qu'une question de temps. La dernière que cela m'est arrivé remontait à mon spectacle de deuxième année de primaire. Mon passage a été le plus grand échec que toute la Terre est connue... Non pas juste un peu de trac qui paralyse, non ça aurait été trop simple. Paralysé par le trac, crise d'anxiété au plus niveau, souffle court et mon porte-bonheur perdu ou laissé tomber dans la salle de classe par le stress. Quand ce fut mon tour de passer sur scène, je suis resté tétanisé... Je suis tombé lamentablement devant toute l'école. Résultat : une foulure pendant trois semaines au poignet gauche et la honte assurée pour le restant de ma vie. Personne n'a su ce qui avait pu se produire et surtout l'expliquer. Je n'avais jamais montré de signe anxiété lorsque je m'adressais en public. Mais je suis resté paralysé, statique dans tout l'auditorium. Je n'ai plus osé sortir de ma chambre pendant plusieurs heures avant que mes parents ne trouvent un moyen de persuasion ultime : la nourriture et les cours. Je n'avais pas d'autres choix malgré le fait de leur demander si je ne pouvais pas prendre des cours à domicile... Mais leur réponse était sans équivoque et irréversible. Ils avaient pris leur décision. Nous venions d'arriver à Londres, à la gare. Paralysé par les flash-back, Maman a dû me pousser pour que j'avance. Mon pas était traînant. Non. Non, je ne souhaitais pas y aller. Je ne connaissais personne. Une école remplie d'inconnus étranges qui serait tous des « sorciers »... J'avais de quoi flipper. Nous marchions entre les voies 9 et 10 sans réellement savoir où aller. L'individu qui était venu à la maison cet été nous avait assuré qu'il fallait se rendre entre les voies 9 et 10, et marcher. Selon lui, nous serions quand nous arriverions. Mon œil, ce monsieur n'était qu'un simple beau parleur qui reviendrait pour nous vendre ses babioles la peau des fesses ! Je méfiais de lui et je ne le lui cachais nullement. Un intrus dans ma maison qui m'annonçait que j'étais sorcier !? Ça sentait l'attrape-nigaud à plein nez. Néanmoins, j'ai dû m'avouer vaincu quand il a utilisé sa baguette en bois – que j'ai failli accidentellement casser... – et exécuter quelques tours de passe-passe. Nous avions l'air de chiens errants sur le quai à chercher un quai qui n'existait même pas. Et quand Papa a demandé à un agent de la gare, ce fut le bouquet. L'agent a pensé que nous étions fous. L'agitation de la gare commençait à me donner le tournis. Heureusement que Maman avait toujours une bouteille d'eau à porter de main ! Elle allait me manquer. Papa aussi d'ailleurs, avec ses conseils et ses expressions. Finalement, une autre famille passa près de nous avec un caddie chargé d'une malle identique à la mienne et une cage pour chouette... Nous décidions de les suivre et, Papa et Maman ne purent pas franchir la barrière pour se rendre sur le quai. Je ne voulais pas les lâcher les suppliant de me ramener à Leeds. Et sans m'en rendre compte, j'étais en route pour Poudlard... Quand deux garçons et une fille sont entrés dans mon compartiment, mes yeux se sont ouverts comme des soucoupes et j'ai vite détourné la tête afin qu'aucun ne m'adresse la parole. Hélas, la fille en avait décidé autrement et commença à me raconter toute sa vie... J'en avais pour des heures. Quel dommage d'avoir oublié des bouchons pour les oreilles ! Une vraie plaie. Et ça s'est empiré quand elle a voulu me poser des questions. J'ai tenté en vain d'esquiver ses questions mais rien n'y faisait, elle ne voulait pas me lâcher. Et je lui ai sorti le plus aimablement possible que j'ai pu – ce qui veut dire : à mi-chemin entre sèchement et poliment ; un échec – que je souhaitais me reposer et elle a consenti à me laisser tranquille pour converser avec les deux autres garçons à qui j'ai lancé un regard compatissant avant de tourner la tête vers la vitre. J'étais bien loin de chez moi. Et si Poudlard était peuplé de fille aussi bavarde que celle de mon compartiment, je prendrais rendez-vous dès mon arrivée pour faire demi-tour et retourner à Leeds ! Et il était exclu qu'elle me poursuive tout le temps... Mais mon cauchemar à continuer : nous avons embarqué ensemble dans les petits bateaux derrière le géant monsieur effrayant qui ressemblait un ours perdu dans le monde réel qui n'arriverait pas à retrouver son chemin vers son dessin animé. Etrange, vraiment étrange. Je tremblais comme une feuille morte, un véritable mixeur ambulant ! Et la pipelette de service ne voulait toujours pas me lâcher malgré mes regards assassins et mon manque cruel d'inattention face à elle. Les jeunes enfants accompagnés du géant se retrouvèrent vite en haut d'un grand escalier de marbre où une femme à l'allure sévère les attendait. Et l'instant d'après, ils se retrouvèrent tous en rang au milieu de ce qui ressemblait à un réfectoire. La pipelette ne m'avait toujours pas lâchée et même si je ne lui avouerais pas, sa présence m'aidait. Mais en aucun cas, je ne le lui avouerais. Jamais. La pipelette passa avant moi mais étant trop loin, je n'ai pas pu entendre où elle avait atterri... Mon attente ne fut pas aussi longue que je l'aurais imaginé et lorsque la femme stricte énonça mon nom des têtes se retournèrent dans tous les sens. Lorsque je sortis du lot, je sentis tous leurs regards fixés sur moi. Je m'efforçai de ne pas y penser et continuai mon chemin vers l'estrade. Arrivé au bas de la première marche, je soufflais et me concentrais sur les marches, hors de question de me coller la honte dès le premier jour, et je rejoignis le tabouret. Une fois assis, on me déposa un horrible vieux chapeau. Quand il se mit à parler, je manquai de peu de crier mais je me retins à la dernière seconde, tout le monde semblait trouver ça parfaitement normal alors valait mieux faire profil bas. Le vieux chapeau – ou choixpeau selon ses dires – se mit à raconter de drôles de choses pour finalement m'annoncer où il allait m'envoyer. Si on m'avait dit, il y a quelques mois, que je serais assis dans une grande salle devant des dizaines de centaines d'élèves aux chapeaux pointus (quel clichés !) et qui plus est avec un chapeau parlant sur ma tête... Jamais, je n'aurais pu le croire. Mais je restai silencieux en attendant son « verdict ».
« [ … ] mon choix est fait, je vais t'envoyer... »
ϟ et la partie hors-jeu. . | ∆ Avatar : RJ King, the king. ∆ Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ? je ne répondrais qu'en présence d'un avocat. et pis c'est tout.... ∆ Où avez vous connu le forum ? par une bande de cookies illuminés super bg qui ont trop la classe ∆ Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : comme toujours ( mercredi - menthe ) ∆ Crédit : glass skin. , nancy babich pour les icons et tumblr (the référence) pour la ban'. et citation de (500) jours ensembles. | |
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !
Dernière édition par Nicholas Lewis le Ven 21 Sep 2012 - 19:59, édité 2 fois |
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Le Choixpeau Magique ADMINISTRATEURL'administrateur écoute et surveille bien plus qu’il ne parle. | HIBOUX POSTÉS : 536 | SANG : Faut pas pousser non plus, j'ai déjà un cerveau...
| Sujet: Re: ❝ y’a déjà assez de conneries dans le monde pour que j’en rajoute. ❞ n.l Ven 14 Sep 2012 - 10:23 | |
| | BIENVENUE ! — « Si à Poufsouffle vous allez, comme eux vous s'rez juste et loyal. Ceux de Poufsouffle aiment travailler et leur patience est proverbiale. »
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❝ POUFSOUFFLE
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| Sujet: Re: ❝ y’a déjà assez de conneries dans le monde pour que j’en rajoute. ❞ n.l Lun 17 Sep 2012 - 20:00 | |
| thank you, les enfants et M'sieur le choixpeau aussi ! |
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| Sujet: Re: ❝ y’a déjà assez de conneries dans le monde pour que j’en rajoute. ❞ n.l | |
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