ϟ la fiche de recensement

NOM - Snow PRENOMS - Alice DATE DE NAISSANCE – 22 décembre 1965 AGE – 19 ans ou presque VILLE D'ORIGINE - Sheffield ANCIENNE MAISON - Serdaigle SANG – Sang Inconnu ORIENTATION - coté du mal

VOS DÉFAUTS -Alice est une jeune fille solitaire et manipulatrice, bien qu'elle ne se voit pas réellement comme tel. Là ou le commun des mortels crie à la manipulation, Alice n'y voit qu'un simple jeu. Après tout, qu'est ce que la vie sinon un jeu ? De plus, elle est extrêmement naïve et ignorante de la cruauté humaine. Après tout, le monde l'a toujours rejetée, moquée, s'est depuis toujours joué d'elle. Si elle agit avec cruauté, ce n'est que le juste retour des choses, une sorte de vengeance destinée à évacuer les méchants de ce monde.

VOS QUALITÉS - Cependant, Alice est intelligente et cultivée, très curieuse et avide de savoir. L'océan de son regard se perd souvent dans des contemplations rêveuses et souvent philosophiques qu'elle chérie. Son extravagance et son émerveillement enfantin attire les moqueries d'autrui, cependant elle n'en a cure, omnibulée qu'elle est par sa quête de justice.

TRAVAIL, OCCUPATION – Diseuse de bonne aventure

FRÈRES & SOEURS - Inconnus

VOTRE PATRONUS – Un lapin
VOTRE EPOUVANTARD -Hmmm... Un docteur j'imagine

VOTRE OPINION POLITIQUE - Alice est une mangemort. Cela fait une année déjà qu'elle a prit la sombre marque qui sali la peau laiteuse de son avant bras gauche. Peu de gens sont au courant de son appartenance au groupe des ténèbres, après tout, personne ne s’intéresse réellement à cette femme aux cheveux roux et aux paroles nébuleuses qui traduisent ses divagations. Et si quelqu'un s'y intéressait, comment pourrait il deviner que cette femme, presque encore fillette par sa taille, son physique et sa manière de penser, deviendrait un être aussi cruel ? Il ne le pourrait pas. Alice n'est en réalité ni cruelle, ni sans cœur. Disons simplement qu'elle est au fond d'elle même encore la fillette orpheline, rejeté de tous, perdu dans un monde cruel qui ne voulait pas d'elle, dans lequel elle demeurait un être incompris. Dans sa solitude forcée, elle a eu le temps de réfléchir et de parvenir à une conclusion inévitable. Les êtres humains sont cruels, peu importe ce pour quoi ils se battent. Mais, indubitablement, les plus cruels sont les moldus.  Après tout, ce sont eux qui l'ont jeté dans un hôpital psychiatrique à cause de sa différence. Alors, pour le bien de tous, Alice se donna une mission. Éliminer le gros de la cruauté humaine. Pas toute la cruauté, bien entendu, sinon elle devrait détruire le monde entier et plus personne ne viendrait la trouver dans sa tente pour qu'elle leur lise l'avenir, mais les plus cruels d'entre les hommes, c'est à dire les moldus. Cet objectif ancré dans son esprit, elle se livra aux mangemorts. Il ne fut pas bien difficile pour elle d'y entrer. Au cours de l'année passée à leur service, elle apprit avec plus d’assiduité à se battre, son être tout entier se plongea dans la magie noire, dans la souffrance d'autrui. Le sang qui coulait apaisait la douleur de son âme. Le dernier souffle aspiré était une fierté qui l'approchait chaque fois un peu plus du point d'aboutissement de la mission qu'elle s'était elle même assignée. Et chaque soir, seule dans sa tente, elle s'endormait, plus heureuse qu'elle ne l'avait jamais été, rêvant à sa prochaine victime, à la prochaine miette de cruauté bientôt éradiquée, sans ne jamais comprendre qu'en aspirant à détruire le mal, elle était devenue ce dont on l'avait toujours insultée. Un monstre.
RÉSUMÉ DE VOTRE FUTUR – Je n'ai pas réellement d'idées sur son futur, on verra cela au grès des RP
ET VOTRE PASSÉ - réponse (obligatoire)
 Le 22 décembre 1966, sur le sol blanchie par les neiges des rues sales de Sheffield, était posé un bébé dont le visage endormi était masqué par une épaisse cascade de cheveux roux. Recueillie dans un orphelinat, personne ne sait rien d'elle. Ni son age, ni son prénom, rien. Elle vivra une enfance heureuse et solitaire, fourrée dans la bibliothèque municipale et jouant joyeusement dans des endroits aussi improbables que dangereux. Seulement, l'inattendu arriva. La petite s’avéra être un sorcière. Si elle réussira à cacher cet état de fait les premiers temps, ravie de posséder enfin quelque chose à elle et à elle seule, son secret sera vite découvert. Peur. Scandale. Bref, on s'en débarrasse. On l'amène à l'asile. Là, elle est enfermée, étudiée, charcutée. C'est de là que vienne toutes ces longues cicatrices qui parsèment son corps blanchâtre parsemé de taches de rousseur. Un jour, un sorcier, un comme elle, vient la chercher. Fin du clavaire. Ou du moins, elle le croit. Poudlard ne sera pas aussi accueillant pour elle que pour les autres. Sa petite taille, ses vêtements colorés et enfantins, son excentricité sont autant de sujet de moquerie sur sa personne. Isolée à nouveau, elle s'enferme dans un monde à elle, un monde irréel, un monde dans lequel elle trouve enfin sa place, un monde sans moldus. Tout est de leur faute après tout. Ce sont eux les premiers à l'avoir rejetée, à l'avoir animalisée. C'est cela le mot, animalisé. Alice est devenue un animal. Sa raison s'est effacée sans qu'elle ne le réalise au profit d'une farouche soif d’existence et de vengeance.
EXEMPLE DE POST DE FAÇON RP -  « Alice Snow » Son nom, crié ainsi par une voix éraillée, se glissa à travers le joyeux brouhaha des élèves jusqu'à ses oreilles. La petite marqua une brève hésitation, légèrement intimidée par le brusque tournant que sa vie avait prit.  Il y a peine quelques temps de cela, elle moisissait seule dans une cellule humide et sombre, sans aucune lueur d'espoir. Aujourd'hui, la lumière vive des bougies flottantes illuminaient son épaisse chevelure rousse qui dévalait son dos couvert d'une cape noire. Une cape de sorcière. UNE CAPE DE SORCIERE. Cela signifiait bien qu'elle n'était plus seule. Ce n'était pas elle le monstre, contrairement à tout ce qu'on avait prétendu, c'était eux. Les moldus. Les gueux. Rajustant souplement l'attache de sa cape, elle laissa un instant ses paupières pâles dissimuler l'océan de son regard avant de soudainement le braquer sur l’estrade. Rejoignant en sautillant le tabouret qui n'attendait plus qu'elle, elle laissa un sourire détendu et serein étirer ses lèvres, éclairant son regard juvénile, ses longs doigts pâles triturant le collier de pâtes qui pendait à son cou. Tout allait bien se passer à présent. Le bonheur lui tendait les bras. 

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?  Negatif Où avez vous connu le forum ? Dans les entrailles fumantes d'un corbeau Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : Ouii ! Samedi-Sauge

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