ϟ la fiche de recensement

NOM - WOODCROFT. PRENOMS - BALDR (se prononce « Balder »), CEPHEUS. DATE DE NAISSANCE - 16 JUIN. AGE - 35 ANS. VILLE D'ORIGINE - LONDRES. SANG - MÊLÉ. ANCIENNE MAISON A POUDLARD - GRYFFONDOR. ORIENTATION - NEUTRE.

Derrière un patronyme pareil ne peut se cacher qu'authenticité et originalité, seriez-vous tentés de penser !  
Eh bien, connaissez-vous le nom de Woodcroft ? Hengist, l'ancêtre emblématique de la famille s'il y en a un, n'est ni plus ni moins que le fondateur même du petit village de Pré-au-Lard, cher au cœur de bon nombre de sorciers anglo-saxons. Homme de courage et de valeurs, des siècles et des siècles depuis la fin de son existence au moyen-âge virent défiler ses descendants, chacun portant fièrement le nom de Woodcroft comme un étendard, visant à perpétuer l'honneur de leur aïeul, et à se faire connaître par-delà les frontières du si attachant petit patelin.

Arrière-arrière-arrière... Et des chaudrons, petit fils d'Hengist, Baldr est le cinquième et dernier enfant d'un petit fils Woodcroft qui s'est fait une réputation et une petite fortune dans le milieu de l'industrie des chaudrons. Une place de benjamin que certains trouveraient enviable, quand d'autres la trouveraient au contraire handicapante ; lui n'y voit que l'opportunité de se démarquer davantage et toujours plus.
A vrai dire, il serait peut-être même le petit caneton noir de sa fratrie, car s'ils ont tous les même père, ce dernier a épousé en troisièmes (et dernières jusqu'à présent !) noces une ravissante sorcière scandinave venue pousser ses études à l'école supérieure de magie de la belle capitale anglaise. Un mélange détonnant duquel naquit Baldr, ainsi nommé suivant le vœu le plus cher de sa mère, attachée à ses racines, et voulant transmettre un peu de ses origines nordiques à son fils, si ancré de par son père dans les terres et les traditions saxonnes.

Baldr, littéralement, était dans la mythologie moldue nordique le dieu de  la lumière, la beauté, la jeunesse et l'amour. Rien que ça ! Autant dire que Mrs Woodcroft, dès le début, voulut donner à son héritier toutes les chances possibles, et un bon départ dans la vie. Elle n'aurait sut dire cependant à quel point un prénom pouvait déterminer une personnalité tout entière.

A l'image du tout premier symbole qu'il est sensé incarner, Baldr est un homme lumineux. Souriant, chaleureux, avenant, il est d'une nature amicale et positive. Vous ne l'entendrez jamais se plaindre, plutôt vous dire de voir la vie du bon côté. Le verre à moitié plein, plutôt qu'à moitié vide. Sa personnalité solaire et empathique lui attire souvent la sympathie des gens, qu'il rend au centuple, lui qui aime tant échanger et rire.
D'ailleurs, pour lui, la vie est un jeu : beaucoup pourraient penser à le voir toujours si peu soucieux et indolent qu'il n'est qu'un énième « fils de » oisif, vaurien nonchalant qui se contente de prendre pour acquis ce que son père lui a transmis à la naissance.

Il n'en est rien ; Baldr sait se remonter les manches lorsque cela est nécessaire, et plutôt deux fois qu'une. La prise de risque ne lui fait pas peur, pas plus que la perspective de l'échec, qui est inévitable dans la vie. Fonceur, parfois même un peu trop, il n'hésite pas à se lancer sans cesse dans de nouveaux projets quitte à se brûler les ailes tantôt, ou bien à se lasser très vite, ou encore à récolter le fruit de son succès.
A l'instar par exemple de sa toute nouvelle activité, qui laisse déjà présager qu'elle sera florissante ; jeune premier dans le monde de la start-up magique, Baldr vient de lancer à l'aide de quelques contacts et associés la première chaîne de salons de café sorciers, « Tsarducks », dont elle allie l'utile à l'agréable : se restaurer et en même temps jouir de chaudrons, ingrédients et manuels basiques, dans une salle du café spécialement dédiée à l'utilisation de ces derniers, à des fins personnelles ou professionnelles pour des tarifs défiant toutes concurrences !

Spoiler:

VOTRE PATRONUS - Une biche
VOTRE EPOUVANTARD - L'obscurité, le vide, symbolisés par une grande pièce sombre, sans fenêtre, ni porte, ni échapatoire.
VOTRE COULEUR PRÉFÉRÉE – Aucune en particulier, plutôt les couleurs chaudes.
VOTRE ANIMAL PRÉFÉRÉ – Les animaux de la forêt, du plus petit écureuil au plus majestueux des cerfs.
VOTRE PARFUM DE BERTIE CROCHUE PRÉFÉRÉ – Menthe !
VOTRE SORTILÈGE PRÉFÉRÉ – Spero Patronum, qui est l'incarnation des pensées positives.
VOTRE BOUTIQUE PRÉFÉRÉE SUR LE CHEMIN DE TRAVERSE – Eeylops, Au Royaume du Hibou
VOTRE SORCIER CÉLÈBRE PRÉFÉRÉ – Hengist, bien sûr !

AUTRE CHOSE A AJOUTER ? - Baldr, si épris de liberté, a beaucoup voyagé à sa sortie de Poudlard et grâce au soutien de sa mère, avant de revenir au bercail se poser. Riche de ses rencontres, de ses échanges et de toutes les cultures qu'il a découvertes, il a gagné très jeune en indépendance et témérité mais redoute avant tout... De devoir se caser et renoncer à son goût de l'aventure et de l'évasion !

RITA : Bien, installons-nous ici. Vous me paraissez être un sacré personnage ! Parlez-moi de votre job ! Je suis sûre que vous faites un métier formidable ! Laissez-moi deviner : vous sauvez des vies ? Non ? Une place au ministère peut-être ? Balayeur ?

Rien de tout cela, Merlin m'en garde ! Pour tout vous dire, je me lance dans le business. Avec mes associés, nous avons lancés il y à quelques mois de cela, notre chaîne de salons de café sorciers, que nous avons appelée « Tsarducks » !
Le principe est simple, Rita ; seul, entre amis ou en famille, vous pouvez venir vous restaurer dans un café chaleureux qui vous propose une gamme variée de gourmandises magiques bien de chez nous — attention, nous ne sommes pas des Pubs, on n'y mange pas, on y grignote ! —, et en même temps, pour des besoins personnels ou professionnels, bénéficier de l'accès à des chaudrons, ingrédients et plantes basiques, de manuels et d’ustensiles dans une salle dédiée à cet usage  dans les arrières boutiques des cafés.
L'accès y est réglementé et contrôlé avec soin, rien de dangereux pour les clients n'y est entreposé. Vous pouvez venir avec votre propre matériel, bien que celui-ci sera vérifié et interdit d'accès s'il est susceptible de... Eh bien, faire exploser le salon par exemple, ahah !
Pensez à tous ces jeunes sorciers étudiants, venant boire une bonne boisson et goûter avec leurs amis, et réviser entre eux le cours de potions pour les prochaines B.U.S.E.S ! Pensez également, à tous ces sorciers itinérants, loin de chez eux, n'ayant pas accès aux ressources nécessaires afin de concocter potions et baumes divers !
Nous ne sauverons certainement pas des vies, c'est sûr, mais donneront un accès plus instantané encore à la magie, à une échelle de base, dans un environnement chaleureux et accueillant.

RITA : Parlons d’amour. Une personne dans votre vie pour vous aider à avancer ? Vous avez la tête de quelqu'un qui a souffert en amour... Racontez-moi tout. Je veux des détails croustillants ! C'était qui, c'était quand ?

Pour être honnête, j'ai souvent entendu dire que j'avais l'allure du gendre idéal, mais la tête un peu trop dans les nuages... Alors oui, j'ai déjà eu des petites amies, mais rien de très sérieux, ni qui a duré très longtemps... Je crois que mon goût de la liberté et ma façon de trouver sans cesse de nouveaux hobbies effraient un peu les femmes...
Ma mère rêverait de devenir grand-mère vous savez, mais moi je n'ai pas du tout envie de me faire mettre la corde au cou ! Non pas que je veuille rester seul à jamais, mais peut-être est-ce mon côté éternel adolescent, malgré mes trente-cinq ans, qui fait que l'engagement m'angoisse un peu... Et puis je suis très occupé en ce moment ! * Tousse tousse *

RITA : Quelle vie sentimentale trépidante ! On dit que nos choix futurs sont dictés par notre vie passée. Cela se confirme-t-il chez vous ? J’aimerais en savoir plus sur votre enfance et vos années Poudlard. Je veux du détail !

Ma famille est un peu hétéroclite Rita, j'ai peur que niveau détail, il ne vous faille bien plus de parchemin !
Sinon, vous qui êtes une journaliste hors paire, devez connaître mon nom. Mon aïeul Hengist a fondé Pré-au-Lard au moyen-âge, vous savez ? Évidemment, nous en avons toujours tiré une grande fierté, dans la famille. Mais de génération en génération, nous nous sommes logiquement modernisés et évertués à nous étendre de par le monde, bien que fondamentalement attachés à nos terres écossaises.
Et quand je dis le monde, c'est au sens propre ! Car ma mère est scandinave, et très fière de ses origines. Cette double culture a bercé mon enfance de tendres souvenirs, bien que mes quatre frères et sœurs et moi partageons le même père... Et trois mamans différentes !
Alors autant vous dire que nous sommes une famille très, très nombreuse. Vous devriez voir nos repas de Noël ! De vrais banquets !
Il faut que je vous dise que j'ai toujours tiré profit de mon statut de petit dernier ; ma mère est très aimante et surtout très, très permissive, quant à mon père, eh bien... Bon sang, trois femmes et cinq gosses, imaginez-vous !
Il a fait une belle carrière dans l'industrie du chaudron, peut-être en avez-vous entendu parler ?
Nous n'avons donc jamais manqué de rien, bien au contraire, mais à l'inverse de ce que certains pourraient penser, ça ne m'est jamais monté à la tête, ni à ma mère.
Elle et moi, on a toujours étés comme les deux doigts de la main. Toujours unis, toujours tous les deux, elle m'a soutenu dans tout, a approuvé tous mes choix, les bons comme les mauvais, et a fait de moi ce que je suis maintenant.
Lorsqu'après mes études à Poudlard — dans la maison de Gryffondor, j'étais bon élève heureusement, mais j'avais un gros poil dans la main et j'étais bien trop baroudeur pour rester sagement concentré en cours des heures et des journées durant ! — j'ai décidé de partir voyager, sac sur le dos, elle m'a soutenu et a trouvé des miracles d'arguments afin de convaincre mon père de me laisser partir, et ne pas suivre ses traces comme il l'avait toujours souhaité.
Aujourd'hui je peux m'estimer être un homme heureux du genre d'enfance et d'éducation que j'ai eu.

RITA : Quelle vie peu commune ! J’espère que vous ne comptez pas vous contenter de cela. Parlez-moi de vos projets, de vos rêves.

Mon projet majeur pour le moment est la société que je monte. Maintenant vous savez, vu tout ce que je viens de vous dire, rien n'est écrit à l'avance ! Il se peut que mon destin me guide sur de nouveaux chemins, me pousse à arpenter une nouvelle voie ! Je ne pense pas à l'avenir, du moins pas sur le très long terme, je prends la vie comme elle vient, au fur et à mesure. C'est quelque chose que l'on me reproche, mais que voulez-vous, je suis comme ça !

RITA : Humhum. Quels projets étranges. Enfin, après tout c’est votre vie, vous en faites bien ce que vous voulez… Abordons le sujet qui fâche. Parlez-moi de politique. Quelles sont vos opinions, votre orientation ? Etes-vous plutôt magie blanche ou magie noire ? Oh ! N’ayez aucune crainte, tout ce que vous pourrez me dire concernant ce sujet restera entre nous, bien entendu. *tousse-tousse*.

Je ne suis pas très à l'aise lorsqu'il s'agit d'aborder le sujet de la politique, pour la simple et bonne raison que je ne m'y intéresse pas vraiment. Je trouve navrant de devoir vivre dans un clivage perpétuel entre le mal et le bien car cela voudrait résumer la vie à n'avoir que deux versants ; un blanc, un noir. Bien évidement, s'il fallait que je me définisse, je pense en tout état de cause faire partie du « camp des gentils », mais l'est-on toujours vraiment ?

RITA : Bien, j’imagine que ce n’est pas si grave au final. Laissons désormais de côté toutes ces choses compliquées que sont le travail et la politique. Pour conclure enfin... Vous avez peut-être entendu parler de ce conte moldu, dans lequel un génie sort d'une lampe et propose d'exaucer trois vœux. Si un tel génie se présentait à vous, que demanderiez-vous ?

Trois vœux, quand j'en aurais une centaine, c'est bien trop peu ! Mais plus que croire aux lampes et aux génies, je suis superstitieux, alors afin qu'ils se réalisent un jour j'espère, je les garderais secrets !

Avez vous d'autres personnages, si oui dans quelle maison ?       Où avez vous connu le forum ?  au temps des dinosaures. Avez vous lu le règlement et vous engagez vous à le respecter : yes + samedi-serpencendre

Vous avez la possibilité de reserver les droits de votre avatar (personne ne pourra le prendre), rendez-vous dans la galerie des avatars. N'oubliez pas non plus de faire votre biographie RPG.
BIENVENUE PARMI NOUS, ET BON RP !

Vous devez choisir un RP au choix parmi toutes ces propositions (300 mots minimum demandés) :

— Pour une raison ou pour une autre (maladie, accident magique ou autre), vous devez passer un court séjour à Ste-Mangouste. Pourquoi ? Que vous arrive-t-il une fois à l'hôpital ? Décrivez votre aventure au cours d'un RP.


Le problème, lorsque l'on est en retard, est que l'on fait les choses vite.
Et surtout sans réfléchir.
Baldr était invité à dîner chez ses parents, ce soir-là, à l'instar du reste de la famille et d'« une invitée surprise ». Seul enfant pas encore casé de la famille, le sorcier y vit là un appel du pied de son père, voire un piège de sa mère - avait-elle sérieusement encore ramené la fille d'une amie à la maison, afin de la lui présenter ?
A une heure du rendez-vous fixé chez les Woodcroft, Baldr se rendit compte qu'il ne pouvait décemment pas arriver les mains vides. Au bout de la rue, en bas de chez lui, se trouvait un fleuriste sorcier auquel il pensa subitement. Les femmes aimaient les fleurs, sa mère les adorait !
Une fois fin prêt, vêtu d'une tenue tout à fait décontractée comme à son habitude, il se rendit chez le fleuriste, en quête d'une belle plante pour la maîtresse de maison, et son invitée mystère.
Quelle ne fut sa frustration, lorsqu'il fallut choisir ! Perdu, le jeune homme porta finalement son choix sur un géranium, car il lui semblait vaguement reconnaître la forme et la couler de cette fleur parmi toutes les autres pour en avoir déjà vu chez ses parents. Cependant, il ne se méfia pas, et quasi-inculte en botanique, acheta un géranium dentu. Mal lui en prit ! Car l'inévitable ne fut pas évité.
A peine eut-il désigné le bouquet au fleuriste, qui n'eut que le temps de lever les mains en l'air dans une mimique catastrophée, que les dents du géranium se refermèrent sur sa main, y imprimant comme à l'aide d'un pochoir, une belle marque de mâchoire.
Lorsque la plante voulut bien lui rendre sa main, libérée par un sort du fleuriste tout désolé, des petites plaies ensanglantées et boursouflures violacées l'ornementaient. Baldr proposa au fleuriste embarrassé qui ne cessait de s'excuser - à tort ! Il n'allait pas lui incomber son manque de vigilance - de lui bander la main, mais ce dernier insista pour qu'il se rende à Sainte-Mangouste faire examiner son moignon. Cela ne faisait pas son affaire, car il était attendu, mais il lui restait du temps et il espérait qu'il n'en aurait pas pour longtemps, aussi accepta-t-il, tout de même dubitatif, d'y transplanner sur le champ.

Une fois sur place, la sorcière blonde à l'air agacé de l'accueil jeta un bref coup d’œil à sa main en écharpe et lui indiqua le troisième étage, celui censé guérir les empoisonnements par potions et plantes.
Sceptique, il s'y rendit et patienta dans un couloir, attendant que l'un des médicomages de l'hôpital ne s'occupe de panser ses plaies. Cependant plusieurs d'entre eux passèrent devant lui sans s'arrêter, comme s'ils ne le voyaient pas.
Au bout d'une demie-heure, désespéré, il arrêta au passage un jeune médicomage, semblant ne pas avoir son âge encore, sous le nez duquel il agita sa main.
— Désolé de vous attraper au vol, mais je suis pressé, et j'ai besoin de faire arranger... Ça, argua-t-il, secouant sa main mordue et enflée. Vous pouvez faire quelque chose ?
Le jeune docteur, fort aimable au demeurant découvrit-il tandis qu'ils bavardaient et qu'il lui expliquait les raisons de l'incident, le pria de le suivre dans un petite salle au bout du couloir dans lequel il poireautait, et le fit asseoir sur un lit. S'affairant avec divers ingrédients et récipients, le médicomage en extirpa un onguent gluant et frais, qu'il appliqua largement sur sa main, comme s'il beurrait ses tartines du petit déjeuner, puis posa sur le tout le bout de sa baguette et murmura un sort que Baldr n'entendit pas. Sa main, en quelques minutes, fut presque comme neuve.
Sur un dernier sourire et quelques recommandations d'usage, le médicomage lui assura que d'ici à ce qu'il arrive à son dîner, les petites cicatrices d'incisives auraient complètement disparues, et qu'il n’oublie surtout pas de repasser par le hall d'accueil remplir le formulaire de soin de l'hôpital avant de partir.
Baldr s’exécuta, et tandis que la sorcière blonde et bougonne de l'accueil regardait ailleurs, déroba avec une once de culpabilité les quelques fleurs qui ornaient son bureau dans un vase aux couleurs improbables. Il se précipita hors des vitrines qui masquaient l'entrée de l'établissement et se dépêcha, une fois à l'extérieur, de transplanner jusqu'à la demeure des Woodcroft, où il fut accueilli comme Merlin en personne.

BALDRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR salut.

Le Maraudeur a écrit:

Salut mec

le mot de passe de samedi a changé ;D

Jane M. Thickey a écrit:

Bienvenue Balder-Chandler-il-est-quel-heure !

Tu m'as tuée ! Après AHS, tu me quotes moi ?

Joseph Wilkes a écrit:

Bienvenue ! c'est le mec de la belle et la bete ou quoi ?

En personne, Joe...

Merci à tous pour votre accueil !