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'le dé ' : 4, 2, 1

Jyn fixa Peter Pettigrow avec un air si dédaigneux qu'elle ressemblait dangereusement à un dragon. Deux gallions, ça lui paraissait être un prix raisonnable. En plus, la petite sorcière comptait bien en donner l'équivalent d'un coffre de Gringotts au Professeur Dumbledore pour qu'il daigne enfin la renvoyer du château horrible dans lequel elle se sentait prisonnière. Le professeur fantôme en face d'elle ne l'aidait absolument pas à se sentir à son aise, et ses pauses gênantes lui donnaient envie de prendre la poudre de cheminette. A dire vrai, elle commençait à envisager cette possibilité, vu comme il semblait s'endormir en lévitation au dessus de ses parchemins. Mais elle dû retourner son attention sur son camarade et lui répondit sèchement : « Tu m'as prise pour Mère Térésa ? » lâcha-t-elle sa bombe de référence purement moldue sans même savoir s'il la connaissait ou non. Jyn, hélas, doutait que le Gryffondor ne connaisse une pareille personne et se fit la réflexion qu'une référence culinaire aurait été plus utile. Sans doute devrait-elle lui parler de Rordon Gamsey ? Mais elle n'eut guère le temps d'y penser, et elle le fixa plutôt d'un air absolument courroucé lorsqu'il enfourna le muffin presque entier dans sa bouche.

1.5 > « J'espère bien que tu vas me les donner ce soir » fit-elle de son air menaçant emprunté au professeur McGonnagall après des années d'observation, tout en le pointant du doigt, une main sur ses victuailles. Le fantôme pense qu'elle participe activement au cours, pauvre être, et la gratifie de deux points stupéfiants pour sa maison. Ça vaut bien un biscuit à la prune, non ? (+3 points)

2.6 > Jyn plisse les yeux de manière suspicieuse avant d'être touchée par la main de Merlin. Elle fit glisser ses yeux sur son tas de bonbons avant de les reposer sur Peter et son tour de taille impressionnant... Et se rendit compte qu'il s'agissait peut-être là d'un commerce en or, et sa moralité ne l'empêcha absolument pas de formuler : « Tu m'en offres combien pour deux scones, trois cookies, et cent grammes de bonbons ? » fit-elle naturellement son petit commerce en se retournant correctement vers lui pour le regarder attentivement. Le professeur ne la calcule pas, OUF.

3.4 > « OUAIS T'AS PLUTÔT INTÉRÊT ! » s'écria-t-elle en attrapant son paquet de bonbons et de gâteaux pour le serrer contre elle, sans faire attention au capharnaüm qu'elle venait de provoquer par son violent coup de colère. Hélas ! Le professeur Binns l'entend et elle se fait taper fantômatiquement sur les doigts. Pffff. (-2 points bien mérités).


Aïe, Jyn s'est encore faîte repérer par le vieillard snobinard décédé. Poufsouffle va la haïr.

1.4 > « Au coin et plus vite que ça, jeune cancre ! ». Les joues de Jyn ne trouvent même pas le temps de rougir de rage qu'elle se lève en prenant soin d'empoigner son paquet de victuailles. Plutôt mourir debout que de les laisser à son camarade de cours !

2.5 > « Pour le prochain cours, vous me recopierez 50 fois “Je dois rester sérieux face au destin tragique d’Anglika à la hache et son mari Gulgul le vraiment très ténébreux” » la punit le fantôme. Jyn écarquille les yeux. Vieil ingrat ! Elle attendit qu'il se concentre à nouveau sur son parchemin pour lui tirer la langue en se saisissant d'un cookie. Eh beh, elle allait le commencer maintenant, son devoir tout pourri !

3.6 > Bizarrement, le professeur Binns se trouve d'humeur charitable, et Jyn n'écope d'aucune punition.


Le cours continue sur un délire fantasque du professeur. Les gobelins semblaient être une passion à ses yeux alors qu'ils ne représentaient que d'immondes créatures pour la petite galloise. En fait, pour être tout à fait honnête, elle ressentait la même animosité pour eux que pour Dave Goujon, sur lequel elle arrêta un regard sombre. Elle mourrait d'envie d'être celle qui l'enverrait au coin... Malheureusement, ses mauvaises pensées sont bien trop tôt sanctionnées. Encore un devoir ? Mais n'est-il pas fou ce vieillard ?

1 >Jyn devait avoir du sang de gobelins dans les veines. En fait, il était même probable vu sa petite taille qu'elle soit d'ascendance gobeline. Elle traduisit correctement la phrase demandée par le Professeur, après s'être vaguement inspirée, non pas de Peter qui semblait sur le point de s'étouffer, mais d'un livre - rendez-vous compte ! - d'une de ses camarades de dortoirs qui, comme le Professeur, vouait un culte à ces immondes créatures.

LE RESTE > Pathétique devoir rendu par la jeune fille qui a essayé de traduire la phrase, non pas en usant d'un livre, mais en demandant conseil au Moine Gras : « Aaaaah ! » s'était-il écrié en faisant des loopings dans un couloir, comme s'il venait de réaliser qu'il était mort depuis des siècles, « le gobelbabil, quelle langue formidable. Montrez moi votre devoir, ma fille... ». Au final, ce spectre lui avait traduit ça en langue des trolls. Quel scandale !

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'le dé ' : 5, 4, 3

Agatha avait parfois tout le sérieux et le flegme d'une parfaite petite anglaise... En tout cas, c'était le cas jusqu'à ce que James ne se trouve dans les parages. Sa main était emprisonnée par celle du garçon et en temps normal - c'est-à-dire s'ils n'étaient pas ensemble - cela l'aurait passablement agacée d'être ainsi entravée. Mais au final, l'amour rend aveugle et idiot sans aucun doute, et tout ce que trouvait à faire la jeune femme, c'était de lui sourire un peu niaisement. Elle l'était tant que l'humour absolument pas drôle de James lui arracha un gloussement, suivit d'un roulement d'yeux vers le ciel. Le Professeur continuait son cours sans sembler être déconcentré par quoique ce soit, même pas par certains qui se croyaient dans la Grande Salle. La Serdaigle notait les informations avec sérieux, jusqu'à ce que James n'éclabousse leur table : « Vous êtes bien dissipé, Monsieur Potter... » lui fit-elle gentiment remarquer en cessant d'écrire - les oreilles toutefois aux aguets ! - pour sortir un mouchoir et éponger patiemment leur table. Tandis que Binns s'emportait, la jeune femme ne pouvait s'empêcher d'hocher la tête d'un air désolé, toute concernée par les propos du fantôme. L'histoire avait cela de terrible qu'il conduisait aux plus terribles pêchés, pensait-elle, avant de se tourner vers James pour qu'il ne se sente pas totalement ennuyé par sa passion bizarre pour l'Histoire contée par le Professeur Binns : « Tu as entraînement de Quidditch cette après-midi ? » lui demanda-t-elle sans pouvoir s'empêcher de papillonner des yeux. Elle n'avait pas cours jusqu'à quinze heures, et il lui plairait bien de passer un peu de temps en sa compagnie.


1.6 > Agatha essaya de lever la main pour donner les trois noms des gobelines qu'elle connaissait déjà - quelles merveilleuses figures féministes, c'était incroyable ! - mais le professeur Binns se contente de ce qui semble être un regard ému. Il se souviendra peut-être de son nom ? (+3 points)

3.4  > Le professeur fantôme ne remarque toujours pas que la main de la jeune femme est vissée dans celle de son camarade qui n'a rien à faire là.

2.5 > Malheureusement, le Professeur Binns ne prend pas sa question pour le Gryffondor pour une participation au cours... Et il l'affiche devant tout le monde ! Les joues d'Agatha deviennent cramoisies sans qu'elle ne puisse empêcher un sourire de naître sur ses lèvres. James la fait rire quand même (-2 points).


Zut, c'est la deuxième fois du cours que la jeune femme fait perdre des points à sa maison. Si cela continue, elle va finir par se retrouver sans maison fixe !

4.3 > « Au coin, et plus vite que ça, jeune cancre ! ». Jeune cancre ? Elle ? Hébétée, Agatha se lève pour se diriger dans un coin. Doit elle tourner le dos au professeur ? Ou doit-elle regarder toute la classe qui se moque d'elle. Ohlalala, qu'elle honte sans nom !

1.2 > « Pour le prochain cours, vous me recopierez 50 fois “Je dois rester sérieux face au destin tragique d’Anglika à la hache et son mari Gulgul le vraiment très ténébreux” ». Bon, ça pourrait être pire. Recopier cinquante fois la petite phrase donnée par le Professeur Binns est humiliant, mais avec le sortilège approprié, sa plume le fera toute seule...

5.6 > OUF ! Visiblement, Binns est dans son bon jour. Il a peut-être oublié qu'il était mort ? « Heureusement qu'il ne m'a pas envoyé au coin comme cette fille » fait-elle remarquer à James en la désignant de la tête, « je l'aurais mal vécu ».


Le devoir donné par le Professeur Binns sembla, de prime abord, beaucoup trop simple pour la studieuse élève qu'elle était. Le gobelbabil n'était pas si compliqué à ses yeux, et elle s'attela à la tâche de manière appliquée le soir-même ! (5/6)

2 > Hélas ! Le gobelbabil était plus compliqué que son ego voulait bien l'admettre. Elle a confondu deux temps dans une concordance... Zut zut zut !

LE RESTE > C'est fort réussi ! Et sans dictionnaire en plus ! Agatha ne poussa pas le vice à réciter sa traduction à James... Il méritait mieux !

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'le dé ' : 4, 3, 5

La honte ! Il avait ronflé en cours ! Essuyant quelques regards agacés ou amusés, Ambrosius décida qu'il était temps de se reprendre en main. Aussi s'empara-t-il de sa plus belle plume qu'il trempa dans l'encrier, désireux de recopier à la lettre toutes les phrases qui pouvaient sortir de la bouche du Professeur Binns - et qu'importe s'il les comprenait ou non, d'ailleurs, il aurait bien le temps, une fois reposé, de se relire et d'essayer d'assembler dans son cerveau les mots qu'il écrivait sur son parchemin et qui, pour le moment, n'avait aucun sens pour lui.

Premier dé :
1, 2 : Ambrosius poussa un « Oh ! » de surprise lorsque le Professeur Binns leur appris que Robald le Bronzé profita de la situation. Visiblement, l'intérêt que le Poufsouffle portait au cours fit chaud au coeur mort de ce cher fantôme qui le gratifia d'un hochement de tête entendu. (+3 points)
3, 4 : Et il gratte et il gratte son parchemin qui se remplit d'encre noire.
5, 6 : Tandis qu'Ambrosius copiait aussi vite qu'il le pouvait - sans pour autant parvenir à retranscrire l'intégralité du cours -, il ne put s'empêcher de relever la tête de son parchemin pour lancer à Lily un regard des plus étonnés. « Il a du "Trouduc" ou j'ai rêvé ? » D'après le regard que lui lança le professeur, non, il n'avait pas dit "Trouduc".(-2 points)

Deuxième dé :
1, 2 : « Au coin et plus vite que ça, jeune cancre ! » Ambrosius jeta un regard à droite, puis à gauche, avant de revenir sur la forme spectrale du professeur. « Pardon ? » laissa-t-il échapper, croyant à une plaisanterie. Voyant que le regard sévère de Binns était toujours rivé sur lui, Ambrosius se leva, docilement, avant d'aller se coller dos à la classe dans un coin de la salle.
3, 4 : « Pour le prochain cours, vous me recopierez 50 fois "Je dois rester sérieux face au destin tragique d’Anglika à la hache et son mari Gulgul le vraiment très ténébreux" ». Le Poufsouffle, honteux, baragouina des excuses avant de baisser la tête pour se remettre à écrire.
5, 6 : Le regard sombre que lui lança Binns eut tôt fait de le remettre à sa place, et Ambrosius retourna à son parchemin sans broncher.

Troisième dé :
1, 2 : Ambrosius finira par trouver un dictionnaire en Gobelbabil oublié sur un canapé dans la salle de repos. Lucky him !
3, 4, 5, 6 : « Je n'étais même pas au courant que le Gobelbabil s'écrivait ... » Après avoir fouillé toute la bibliothèque à la recherche d'un peu d'aide, il finira par inventer quelque chose, mais son invention sera bien loin de satisfaire le Professeur Binns.

Le membre 'Ambrosius J. Flint' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'le dé ' : 5, 1, 6

Le professeur Binns poursuivit son cours sur le même ton et Thomas refoula un bâillement qui tenta de s'échapper de sa bouche. Ce cours était plus mort que le prof lui-même. Tom avait décroché depuis longtemps déjà, sans savoir toutefois si la voix de Binns en était la cause, ou bien si les effluves du parfum de Lys à ses côtés lui faisaient tourner la tête au point qu'il n'arrive pas à se concentrer sur l'histoire de Gulgul et sa nana. Le Serpentard vint griffonner quelques mots de sa plume sur le parchemin de sa voisine ...

Premier dé :
1, 2 : Binns sembla prendre pour lui le petit sourire qui se dessina sur les lèvres de Thomas lorsque celui-ci capta l'oeil amusé de Lys avant de reporter son attention, content de son petit effet, sur le professeur. (+3 points)
3, 4 : Poker face, parchemin qui se remplit, le Serpentard fit illusion.
5, 6 : Thomas ne put cependant, de nouveau, retenir son hilarité devant l'air ahuri de Flint qui se fit punir et écopa lui aussi du regard sévère du prof. (-2 points)

Deuxième dé :
1, 2 : « Au coin et plus vite que ça, jeune cancre ! » Thomas se mit à ricaner en secouant la tête de droite à gauche. Hors de question qu'il se mette au même niveau que le traître à son sang, et puis il n'avait plus cinq ans. Si Binns était déterminé à le mettre au coin, le Serpentard quitterait le cours, quitte à se prendre une retenue par la suite.
3, 4 : « Pour le prochain cours, vous me recopierez 50 fois "Je dois rester sérieux face au destin tragique d’Anglika à la hache et son mari Gulgul le vraiment très ténébreux" ». Thomas arqua un sourcil en direction de Lys, sourcils haussés. [color:971d=#seagreen]« Il a bouffé quoi, ce matin ? » soupira-t-il en s'étalant un peu plus contre le dossier de sa chaise.
5, 6 : Peut-être Binns craignait-il Thomas car il ne lui donna aucune punition. Le Serpentard sourit, satisfait.

Troisième dé :
1, 2 : Après une illumination dans son sommeil, Thomas réussira sa traduction haut la baguette.
3, 4, 5, 6 : Thomas demandera à Joseph de lui filer sa traduction en dernier recours, traduction que celui-ci aura pompée sur sa soeur Vespyr. Mais comme elle-même se fera troller par un Poufsouffle ... Karma bitch.

Le membre 'Thomas Avery' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'le dé ' : 4, 1, 5

Matthew comprend l'importance des cours et d'habitude il ne se fait pas prier pour écouter mais là, ce n'est pas possible il n'en peut plus. Il ne comprend nullement pourquoi il est sensé se souvenir d'Anglika morte par sa hache, de son copain le bronzé et tous les autres. Ils ne sont plus en vie. Connaître leur existence ne va l'aider à mieux évoluer dans sa propre existence. Ces simples constats suffisent à faire décrocher le jeune homme.


*Dé 1  : Comportement
1, 2 : Matt tente de se caler de son mieux pour la sieste, il recule sa chaise pour mieux s'installer. Le professeur y voit un élève décidément des plus attentifs qui essaie d'apaiser les fourmis présentes dans son corps afin de mieux l'écouter. (+3 points)
3,4 : Matt tente de se caler de son mieux pour la sieste et bercé par la voix du prof il se fait oublier. (0 point supplémentaire)
5,6: Matt repousse sa chaise pour trouver une meilleure position pour dormir mais celle-ci racle bruyamment sur le sol interrompant le discours de la magnifique stratégie de Robald le bronzé. Le professeur lui jette un regard menaçant. (-2 points)

*Dé 2 : c’est la punition !
1,2 : Au coin et plus vite que ça, jeune cancre !
3,4 : Pour le prochain cours, vous me recopierez 50 fois “Je dois rester sérieux face au destin tragique d’Anglika à la hache et son mari Gulgul le vraiment très ténébreux”
5,6 : Vous avez eu chaud aux fesses mais la chance est de votre côté, pas de punition pour cette fois !

*Dé 3 : Devoir maison    comp : 3/6
1,2,3 : N'ayant pas trouvé le dictionnaire approprié, Matt se contente de traduire la phrase en danois, espérant que ça suffira à faire illusion. Vu sa copie, apparemment pas.
4,5,6 : Alors qu'il allait abandonner il croise un camarade qui vient reposer le dictionnaire de gobelbabil. Triomphant, matt s'en empare.

Le membre 'Matthew T. Carter' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'le dé ' : 6, 1, 4

A chaque retournement de situation dans l'histoire de Gulgul le très ténébreux, Anglika à la hache et Robald le bronzé, Saul hochait la tête, un léger sourire dessiné sur ses lèvres. Rien de toutes ces révélations ne l'étonnait, il avait déjà été surpris par ses rebondissements l'année dernière lorsque, sur son temps libre, il s'était avancé sur le programme en étudiant l'histoire de la magie niveau septième année. Ce cours, pour lui, c'était du réchauffé.
— Le barbu, répondit à Marlene l'hémisphère gauche du cerveau de Saul, tandis que le droit restait concentré sur les paroles de Binns que le Serdaigle retranscrivait à l'identique sur son parchemin. Tu confonds peut-être avec Pubyx le poilu.

Premier dé :
1, 2 : En entendant la remarque de Saul sur Pubyx le poilu, Binns fut satisfait de voir que son élève préféré avait potassé seul une partie de l'histoire de la magie qui n'était même pas au programme. (+3 points)
3, 4 : Le regard de Saul alternait entre son parchemin et leur professeur, il se faisait discret.
5, 6 : Le rire léger qui s'échappa des lèvres de Saul, lorsque Marlene déploya sa banderole invisible, conforta Binns dans l'idée que le bleu et bronze était complice. (-2 points)

Deuxième dé :
1, 2 : « Au coin et plus vite que ça, jeune cancre ! », « Moi ? » s'étonna Saul en touchant sa poitrine du bout de son index. Doucement, il recula sa chaise qui grinça sur le sol et vint se caler, dans l'incompréhension la plus totale, dans l'un des deux seuls coins qui restaient libres dans la pièce.
3, 4 : « Pour le prochain cours, vous me recopierez 50 fois "Je dois rester sérieux face au destin tragique d’Anglika à la hache et son mari Gulgul le vraiment très ténébreux" ». Saul sortit un deuxième parchemin de son sac, une deuxième plume, et entreprit d'écrire sa punition de la main gauche tandis que de la droite il copiait toujours le cours.
5, 6 : Ouf, le rire de Saul n'eut d'autre conséquence qu'un regard sévère de la part du fantôme.

Troisième dé :
Réticent à l'idée d'écrire un énième spectacle en compagnie de Marlene - Romulus et Julietta lui restant encore en travers de la baguette -, ...
1, 2, 3, 4 : ... Saul suivit tout de même la rouge et or jusqu'à la bibliothèque - où il comptait se rendre  toute façon - et grand bien lui fit car ils purent emprunter le seul grimoire de traduction de Gobelbabil du château.
5, 6 : ... Saul s'esquiva, prétextant devoir donner un coup de main au professeur Chourave pour replanter deux, trois bébés mandragores dans de nouveaux pots plus grands. Dommage, lorsqu'il retournera, seul, à la bibliothèque, le livre aurait déjà été emprunté.

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'le dé ' : 2, 4, 5

Toc – toc – toc – toc – toc… tel un métronome le métal de sa plume claquait contre le parchemin tâché d’encre alors que la serdaigle avait rapidement oublié d’écrire le palpitant récit que leur offrait le Professeur Binns. Wilda fut prise d’un bref spasme lorsqu’elle évita de peu que son crâne aille se fracasser sur la table en enfonçant un des nombreux clous qu’elle cognait depuis déjà quelques minutes. Leur professeur avait un talent incroyable pour endormir les gens, où était-ce sa veillée nocturne avec Flint qui l’avait mise en dette de sommeil. Parlant de l’autre serpentarde, elle semblait être dans un état plus ou moins similaire au sien. La poursuiveuse lui picocha donc les côtes avec son coude histoire de la réveiller pour qu’elle la garde réveillé ensuite. Papa Roderic ne lui pardonnerait jamais si elle se dégotait un T en histoire de la magie.

*Dé 1 (généreux, j’augmente les enchères dans le positif pour votre plaisir) : Comportement (bah ouais…)

1-4 : Tout va parfaitement bien dans le meilleur des mondes, Cuthbert pourrait un jour se souvenir de votre nom, qui sait ! (+3 points)

2-3 : Mouais, ça pourrait être mieux mais bon, on va rien dire, vous méritez totalement qu’il ne se souvienne pas de votre nom. (0 point supplémentaire)

5-6 : Oulala, un peu de sérieux, vous croyez que Binns ne vous a pas vu ? Vous n’êtes pas transparents…Il ne va pas rester tombe morte face à ce comportement et s’il retient votre nom, ce n’est pas en votre faveur ! Impossible de camoufler les dommages, les tâches d’encre sont bien estampées sur sa joue droite, ayant abandonnée la lutte contre le sommeil. (-2 points)

*Dé 2 (ne compte que si vous avez “-2 points” juste avant) : c’est la punition !
2 chiffres : Au coin et plus vite que ça, jeune cancre !
2 chiffres : Pour le prochain cours, vous me recopierez 50 fois “Je dois rester sérieux face au destin tragique d’Anglika à la hache et son mari Gulgul le vraiment très ténébreux”
2 chiffres : Vous avez eu chaud aux fesses mais la chance est de votre côté, pas de punition pour cette fois !

*Dé 3 : Devoir maison
Gobelbabil, cette langue mélodieuse.

Compétence 2/6

1-2 : La jeune femme n’arrive peut-être pas à se concentrer suffisamment pour que les détails des révoltes Gobelines lui rentre dans le crâne, mais elle est habile avec les langues. En fait, elle trouve même important de développer cette connaissance afin de converser avec les gobelins dans leur langue, en guise de politesse et de respect.

Le reste : C’est beau, on inscrit la marque T sur le reste des copies d’ici la fin de l’année, il n’y a rien à faire avec Wilda, les syllabes de Gobelbabil se ressemblent tous, comme les noms des gobelins de la révoltes… rien à faire.

Le membre 'Wilda Griffiths' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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#1 'le dé ' : 3

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#2 'le dé ' : 3

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#3 'le dé ' : 3