Thomas arbore un air fier lorsqu'il réussit enfin à faire apparaître son patronus. Un vautour, voilà qui lui correspond parfaitement.
Le Professeur Funestar annonce la prochaine étape pour ceux qui le souhaitent, affronter un véritable détraqueur. Bien sûr, le Serpentard veut tenter l'expérience car même si le doute s'installe en lui à mesure que les autres élèves passent, jamais il ne montrera ses faiblesses. Alors quand vient son tour et qu'il se met à ressentir ce froid, cette tristesse, comme si tous les malheurs du monde venait de lui tomber sur les épaules eh bien Thomas lève sa baguette, légèrement tremblotant et lance un « Expecto Patronum ! » en essayant d'y mettre le maximum de conviction.

3 - Un vautour argenté se matérialise alors devant lui, avec toute la majesté dont peut faire preuve ce volatile.
6, 4 - Un mince filet d'argent s'écoule de sa baguette, sans aucune efficacité, mais le prof sauve le coup.
1, 2, 5 - Rien ne se passe, mais bientôt un loup argenté vient faire disparaître le détraqueur.

(Si le dé tombe sur 1, 2, 4, 5, 6) Quoi qu'il en soit, Thomas ne réitère pas l'expérience, il n'a pas envie de ressentir cela à nouveau et préfère se terrer contre un mur dans le fond de la classe.

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'le dé ' : 1

« YEEEEEEEEEEESSSS ! s'écrie la Gryffondor en sautant sur place après avoir réussi à faire apparaître son patronus. T'as vu ça, un peu ? T'as vu ? dit-elle à qui veut bien l'entendre. Je l'ai fait ! »
Lorsque la salle a retrouvé sa lumière naturelle, signe que tous les patronus (ou tentative de patronus) ont disparu, Funestar annonce la suite. Un vrai détraqueur ! Madeline est carrément emballée et déjà elle se met dans la file pour passer devant la créature. Mais... Lorsque le froid se fait ressentir dans la pièce, un froid glacial, et lorsque tous les pires souvenirs de la dragonnière lui reviennent en mémoire, ses angoisses, ses peurs... Alors discrètement, elle quitte la file et remarque qu'elle n'est pas la seule à se reculer pour s'éloigner le plus possible.

Quelle rage ! Jamais un sort ne lui avait donné autant de fil à retordre. Après avoir balancé sa baguette au sol dans un excès de colère, Alexandre l'avait laissé quelques minutes gisante sur le sol avant de la récupérer après l'avoir suffisamment boudé alors que certains élèves réussissaient encore leurs patronus corporel. Le Professeur Funestar interrompit les activités. Il félicita ceux qui avaient réussi et encouragea ceux qui avaient échouer. Qu'est-ce qu'Alexandre n'aimait pas ce mot quand il s'agissait de la défense contre les forces du mal ! Le professeur fit ensuite léviter une malle vers le centre de la pièce. Elle semblait contenir quelque chose. Des détraqueurs. Ou plus précisément, des épouvantards. Alexandre allait tenter sa chance. Il refusait de finir sur un échec.  Voir Astrid échouer le rassura un peu, il se sentait un peu moins seul. Mais il avait la rage que Potter soit parvenu à contrer le détraqueur. Il inspira un grand coup et avança vers la malle. Un froid glacial envahit son corps, un sentiment de mal-être. Non non non ! Il devait oublier toutes ces sensations. Il se concentra intensément sur sa réussite. « Expecto Patronum ! »

6 - 5: Un canidé jaillit de sa baguette afin de contrer la créature des ombres. Ainsi, son patronus était un coyote... Alexandre n'avait pas les mots.
4 - 3 - 2: Une faible lueur jaillit de sa baguette, mais pas de quoi repousser le détraqueur. Le loup de Funestar dû faire le travail...
1: ENCORE RATE ! Alexandre commençait à en avoir vraiment marre. Et honte. Jamais il n'allait retenter l'expérience dans cette salle de cours. Fou de rage, il alla s'asseoir par terre dans un coin de la salle.

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'le dé ' : 5

Tsadkiel était plutôt satisfait, et sa baguette tyrannique s’était calmée. Pour la première fois de sa vie, malgré plusieurs essais en solitaire, il était parvenu à convoquer un Patronus corporel. De plus, le sortilège avait pris la forme d’un ours polaire, animaux que le jeune natif du Groenland se plaisait à contempler lorsqu’il était petit enfant. L’animal solitaire et majestueux marchait lentement dans la plaine gelée… Était-ce vraiment un souvenir ou juste un rêve oublié ? Quoiqu’il en soit, il avait été très surpris de constater de la manifestation de son « moi le plus profond » et aurait plutôt pensé à un rat, comme son ami Merlin. Cela aurait fait un bel hommage. Les rats étaient malins, têtus mais affectueux. Il aurait préféré avoir un rat. Et il l’aurait appelé Merlin, comme son ami Merlin.

Le Professeur Funestar prit la parole pour féliciter ceux qui étaient parvenus à la forme ultime du sortilège de Patronus, et encourager ceux qui avaient échoué. Ils allaient passer à la seconde partie de la mise en pratique : le passage un à un devant un Détraqueur. L’idée ne plaisait pas trop à Tsadkiel. Il n’était pas certain que la proposition soit en accord avec le règlement de l’école. Le Maître en DCFM rassura – plus ou moins – ses étudiants : il allait intervenir s’ils ne parvenaient pas à repousser la créature. Après plusieurs tentatives plus ou moins fructueuses de ses congénères – le jeune Serdaigle approuva intérieurement la réussite de Draka, même s’il lui sembla qu’il lui faudrait faire aussi bien qu’elle –, il s’avança devant la malle qui s’ouvrit dans un sinistre grincement. Aussitôt, une sensation brûlante enserra son thorax et sa gorge. (Evidemment, pour un enfant du nord du cercle polaire arctique, il avait fallu que ce soit de la chaleur... !) Il avait de la peine à respirer. Dans le tumulte, il tenta de se rappeler l’odeur des draps menthe à l’eau de son frère, la douceur de leur soie... Des gouttes de sueur perlaient sur son front pâle alors qu’il lança, d’une voix articulée mais presque blanche :

« Expecto Patronum ! »

6-4 : L’ours polaire lumineux apparut et, se dressant sur ses pattes arrières, donna un puissant coup de mâchoire au Détraqueur qui n’eut d’autre choix que de se replier dans la lourde malle. Tsadkiel reprit sa respiration et afficha un léger sourire, preuve de son immense fierté. Il avait réussi !

1-5 : Des fins filaments s’échappèrent de sa baguette de sureau pour se joindre en une boule argentée. Le Détraqueur fut retenu quelques secondes. L’étouffement du Serdaigle s’accrut, son souvenir heureux s’évanouit. Il ouvrit la bouche de stupeur, quand le loup argenté du professeur Funestar fondit sur sa proie.

3-2 : Rien ne se produisit, pas même une particule de Patronus. La tête de Tsadkiel se mit à tourner, son front perlait à grosses gouttes, sa respiration était presque impossible. Tout espoir, toute vie semblait s’échapper de son corps en fumée, brûlé par le brasier de l’étreinte maternelle… Sa baguette de sureau tomba sur le sol comme une vulgaire brindille. L’adolescent put à peine distinguer le loup de lumière venir à sa rescousse.

Dragées:

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'le dé ' : 2

Chacun des élèves faisait joyeusement connaissance avec son patronus. Agenouillée sur le parquet, Marlene claquait des doigts pour attirer l’attention du canard bouteille qui se dandinait naïvement dans la salle sans craindre les grosses pattes et sabots de ses familiers. Un coureur indien, c’était très utile pour éliminer les rampants chez soi et entretenir un joli potager et un luxuriant jardin, mais en patronus ? Un vent glacial souffla bientôt son canard d’argent et elle se releva maladroitement sans réussir à lâcher les abîmes du regard. D’autres élèves rejoignirent discrètement le fond de la salle et elle était plutôt tentée de rester serrée au coeur de ce conglomérat d’élèves. Elle vit des élèves plus hardis qu’elle échouer.

Faute de pouvoir ressentir la chaude étreinte des bras maternels - elle avait la chaire de poule - elle ferma les yeux pour entendre le rire de sa mère et respirer le parfum de son écharpe imbibé du parfum à la rose contre laquelle il lui était déjà arrivé de s’endormir. Elle s’avança dans la file en tentant de s’accrocher à autant de réminiscences de son esprit. Quand un souvenir disparaissait, une autre le remplaçait. Un détraqueur dans une boîte, mille souvenirs dans sa tête se répétait-elle … mais avec un peu moins de conviction à chaque pas. La malle s’ouvrait à peine qu’elle dégainait déjà. « Expecto Patronum ! »

1 - 2 : Le canard apparaît devant le détraqueur et se dresse majestueusement - autant que le peu un canard quoi - en agitant ses ailes pour renvoyer l’effroyable créature dans sa malle. Il se tourne la jeune fille avant de s’effacer à son tour. Encore une victoire de canard !

3 - 4 : Un mince filet se matérialise en bouclier et tremble faiblement devant les assauts lascifs du détraqueur. Est-ce sa baguette ou sa main qui tremble ? Le froid et le malêtre grandissent et … un loup jaillit soudainement devant elle. Elle reprend une grande inspiration avant de rejoindre le fond de la salle avec des jambes cotonneuses.

5 - 6 : Le détraqueur se dresse devant elle dans toute sa puissance macabre. « EXPECTO PATRONUM ! ». Rien ne se passe, la formule est vide de tout sens, aucun souvenir joyeux ne s’y insuffle, l’image de sa mère pervertie par la trahison. Un loup jaillit soudainement devant elle. C’est une amie qui la reconduit tranquillement au fond de la salle. Que s’est-il passé ?

Elle reste au fond de la salle pendant tout le reste du cours, elle ne souhaite pas retenter l'expérience avant un moment !

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'le dé ' : 5

Ce n'était pas possible. Je n'avais pas pu échouer comme ça. Pas avec un souvenir si puissant que celui que j'avais utilisé... Néanmoins, malgré ma mine déconfite, je n'en perdais pas ma détermination. Je ne voulais pas faillir devant cette épreuve, ni baisser les bras. J'étais un Prewett, oui ou non ? Et les Prewett, est-ce qu'ils abandonnaient ? Certainement pas. Il était dans mon devoir de défendre l'honneur de ma famille, après tout ce que mes parents avaient sacrifié pour que j'en arrive là. Ils avaient perdu cette chose la plus chère : leur vie. Mais je savais qu'ils s'étaient battus jusqu'au bout. Qu'ils ne s'étaient pas rendus aussi facilement. Alors je n'allais pas me rendre comme ça. Même après un échec. On apprenait de nos erreurs après tout, non ? Je vis du coin de l’œil McKinnon se faire ramener au fond de la salle, pris une grosse inspiration et m'avançai de nouveau. Le regard fixé sur la malle, je fis un signe de tête au professeur pour lui indiquer que j'étais prêt. Dans ma tête, l'image de toute ma famille réunie se forma et j'eus à peine le temps de lever ma baguette qu'un Détraqueur jaillit devant moi. Sans me démonter, je prononçai la formule clairement :

« Expecto Patronum ! »

3-4 : Un Berger suisse prend forme et s'en va contrer la menace ! J'ai réussi !
1-5 : Un mince filament me sert de résultat. Je suis un peu déçu, mais c'est déjà ça.
2-6 : Toujours rien. Je retourne me fondre dans la masse des élèves. Mon dernier essai est un échec.

Le membre 'Fabian Prewett' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'le dé ' : 3

Saul recule, titube et manque de tomber en arrière avant que son oncle ne fasse apparaître son patronus. Le Serdaigle est bouleversé par tous les sentiments négatifs qu'il vient de ressentir, comme une masse immense prête à tout pour l'écraser. Et cette envie de mourir... C'est la première fois qu'il ressent ça, cette envie terrible de mourir, de mettre fin à toute cette souffrance...
Puis tout redevient normal et Saul retrouve son souffle petit à petit. Il jette un coup d'oeil à son oncle, un peu perdu, et celui-ci l'encourage d'un signe du menton à retenter l'expérience. Le Serdaigle en a-t-il réellement envie ? Il inspire, expire et reprend un peu de courage. Alors, encore tremblotant de cette expérience, il s'avance et essaye de se concentrer du mieux qu'il peut sur le souvenir de l'Immortelle.
« EXPECTO PATRONUM ! »

6, 4 - Un dalmatien argenté se matérialise devant le Serdaigle et fait reculer le détraqueur !
5, 1 - Un mince filet d'argent s'écoule de sa baguette, sans aucune efficacité mais Asterion est là pour faire reculer le détraqueur en faisant apparaître son patronus.
3, 2 - Rien ne se passe et Saul, terrassé, recule, trébuche et tombe au milieu des autres élèves tandis que son oncle fait disparaître le monstre.

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'le dé ' : 5

Daisy mit quelques longues minutes à se remettre de son premier essai. D'autres élèves passèrent, puis ce fut au tour de Moran. Le préfet réussit du premier coup et elle fut contente pour lui. D'autres échouèrent encore après lui ou ne tentèrent pas du tout le coup. Ce fut son tour. Le détraqueur en face d'elle s'éleva une nouvelle fois dans les airs et le sentiment de mort qu'il dégageait anéntissait petit à petit sa volonté et son humeur. Elle se sentait vide de tout espoir. Tentant de se concentrer sur son souvenir, elle incanta d'une voix plus forte : SPERO PATRONUM

1, 2 : Une intense lumière bleutée jaillit de sa baguette et se mua en une nuée épaisse de sauterelles se propageant dans la salle de cours
3, 4 et 6 : Une lumière bleue sortit de sa baguette sans parvenir à créer un Patronus corporel. Le détraqueur s'est à peine écarté qu'il revient de plus belle ... Heureusement, le Professeur fait jaillir son loup ....
5 : Rien ne se produisit.... Heureusement, le Professeur fait jaillir son loup ....

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'le dé ' : 4