Janvier 1975 - Quelle forme prendra votre patronus ?

Un cours sur le Patronus ? Au moment-même où Funestar l'avait annoncé lors du dernier cours, tu avais sauté de joie. Apprendre des sorts et des maléfices pour les duels, ce n'était pas vraiment pour toi même si tu te débrouillais bien en Défense contre les Forces du Mal. Mais là, il s'agissait du sort peut-être le plus emblématique de cette discipline, quelque chose de réellement utile contre les Ténèbres et de vraiment magique et magnifique. Et puis, tu devais bien l'avouer, tu ne cessais, depuis la dernière fois, de te demander quel pouvait bien être ton animal totem.

Aussi t'étais-tu pressé pour arriver à ce cours fatidique. Néanmoins, ce ne fut pas assez. Ton sourire se fana légèrement. Tant de monde, déjà. Dépité, tu marmonnais un "Bonjour ... peu convaincant et pris place dans la rangée, attendant avec une impatience certaine que le reste des élèves arrive pour que Funestar puisse commencer son cours et que de minces filets argentés ne sortent des baguettes de chacun.

Citation :

DCFM - 4/6

En passant la porte de la classe, je regrettais tout de suite d'avoir pris mon temps, ce matin. Elle était remplie d'élèves et Funestar avait de nouveau formé trois colonnes. Une effervescence particulière régnait dans les rangées et, pendant un instant, je me demandais ce qui pouvait bien provoquer tout ça. Puis je lus les mots que le professeur avait écrit au tableau : "Quelle forme prendra votre Patronus". Je dus rester figé pendant une seconde ou deux. J'avais complètement oublié ! Mais quel botruc ! Si j'avais su ... Pendant une fraction de seconde, je regrettai d'avoir passé autant de temps à roucouler avec Maya. Mais je me rendis bien vite qu'Ô combien j'étais indigne. Le cours de DCFM pouvait bien attendre.

Déchiré par mes pensées, je pris place dans une rangée, juste à côté d'un Poufsouffle. Forks je crois. Mais j'étais incapable de me souvenir si c'était Ewan ou Finnegan, lui. Bah ! Tant pis.
Maintenant que je savais le contenu du cours, je ne pouvais plus attendre. Étant en septième année, j'avais déjà tenté de produire un patronus mais jusque là, même à mes heures perdues, je n'avais jamais réussi à produire de patronus corporel. J'avais donc particulièrement hâte que le cours commence pour que je puisse enfin savoir !

Citation :

DCFM - 5/6

Ce fut main dans la main que Nate et moi arrivâmes en cours de DCFM. Sans un mot mais toujours un fin sourire aux lèvres. La Défense contre les Forces du Mal n'était pas mon cours préféré mais, aujourd'hui, ça s'annonçait haut-en-couleur. Lorsque nous entrâmes dans la salle, l'enthousiasme de tout le monde était palpable. Le patronus était un un sort de haut niveau et le seul fait que Funestar nous invite à tenter l'expérience prouvait que tous les sorciers dans cette salle avait un bon niveau. Car, avouons-le, pourquoi perdrait-il du temps avec un tel sort si les élèves n'étaient pas capable de le réaliser ?

Nate et moi, nous ne quittâmes pas. Je me plaçais juste derrière mon beau lion et lui murmurai :
- Alors ? Tu as déjà une idée de la forme de ton patronus ? Un beau lion ou un grand aigle ? On disait que le patronus reflétait la personnalité du sorcier et honnêtement, au vu de l'aisance de Nate sur un balai, s'il s'agissait d'une créature aérienne, je ne serai pas surprise.
Néanmoins, quant au mien, je n'aurai su dire. Pendant un instant, je pensais à l'idée d'une fragile biche avant de la repousser au loin. Une chose était sûre : je n'avais rien de fragile. Je n'étais pas à Gryffondor pour rien !

Citation :

DCFM - 3/6

ORDRE DU PHÉNIX

Ce matin-là, Marlene s’était à moitié endormie dans son bol de porridge alors qu’elle lisait sans grande conviction son nouveau numéro de Sorcière Hebdo, des élèves avaient papoté toute la nuit dans leur dortoir et elle avait bien mal dormi. C’était l’une de ses amies qui lui avait fait remarqué que le temps ne s’était pas freezé en même temps que son cerveau et que les cours allaient bientôt commencer. Elle avait dû se taper un sprint dans les couloirs pour ne pas arriver à la bourre en cours de DCFM. « Bonjour Professeur » salua-t-elle l’illustre homme dans un souffle - son dernier ? - tout en agrippant son bonnet vert sur lequel nombre de pompons étaient épinglés. Elle jeta un bref coup d’oeil aux trois rangées formées devant elle et un large sourire se dessina sur ses lèvres quand son regard croisa celui malicieux de son amie Hazel. Elle enfonça paresseusement son machin en laine supposé représenté un sapin (cadeau de sa grand mère) dans son sac en bandoulière et déposa l’ensemble de ses affaires en boule au fond de la salle avant de rejoindre sans hésiter la file que sa camarade de la maison poufsouffle ouvrait.

Elle fit un pas de côté pour observer le message inscrit au tableau et retint un cri d’enthousiasme. Elle attendait le cours sur les patronus depuis … eh bien depuis aussi longtemps qu’elle avait appris ce que c’était qu’un patronus ! Il lui tardait de voir la forme que prendrait le sien ! Un fidèle flat coated s’égara-t-elle à deviner, comme celui avec lequel elle avait grandi étant petite ! Oh tiens, et si c’était ça son souvenir heureux ? Les léchouilles de Mr Muffin ?

DCFM : 4 / 6

Dans les couloirs, les autres courraient presque pour rejoindre le cours du Professeur Funestar. Pourquoi n'avaient-ils pas autant d'enthousiasme pour les Potions ou bien les Sorts ? L'un comme l'autre offraient des parties pratiques très intéressantes. Après le petit-déjeuner, Olivia avait rejoint tranquillement la salle de cours. En entrant, elle avait brièvement salué l'enseignement. Etrange, elle avait mis quelques minutes à réaliser que les tables avaient disparu et qu'il ne restait plus que le bureau. Remarquant qu'elle bloquait l'entrée, elle alla poser ses affaires dans le fond pour éviter d'être gênée. Elle observa les autres se ranger en file indienne et s'inséra dans la file centrale. Encore désorientée par l'absence des tables, elle en avait oublié de regarder l'intitulé du cours. Elle se décala légèrement et aperçut le thème du jour. Les patronus. Ça promettait d'être intéressant...

Ariel s'était encore réveillé trop tard. Il fallait dire que le jeune homme avait encore la tête en vacances. Il s'était habillé en vitesse, ne s'était une fois de plus pas coiffé par manque de temps et avait noué sa cravate d'une façon tout à fait approximative. Il soupira longuement avant de descendre tout les escaliers menant à la Grande Salle, manquant de trébucher plusieurs fois. Le jeune Serdaigle avala son petit déjeuner en moins de cinq minutes avant de se précipiter vers la salle de Défense Contre les Forces du Mal où plusieurs élèves étaient déjà répartis en trois rangées distinctes. Le cours n'avait pas encore commencé, ce qui rassura grandement le blondinet. Il s'empressa néanmoins de poser ses affaires dans un coin avant de marmonner un "Bonjour Professeur" à peine audible, qui se voulait pourtant poli et sympathique. Ariel se posta un peu à l'écart dans la première file qu'il aperçu, sans même voir que celle-ci grouillait d'étudiants de Serpentard. Grâce à sa grande taille, Ariel put aisément voir que le cours d'aujourd'hui portait sur les Patronus. Il sourit discrètement : la Défense Contre les Forces du mal était une de ses matières favorite et le sujet du jour l'excitait tout particulièrement. Comme beaucoup d'élève dans la classe, il n'avait jamais lancé de sortilège de Patronus.

Finalement, le regard planté sur le sol de la salle de classe, il attendit le début du cours en faisant jouer sa baguette entre ses mains.

COTÉ DU BIEN

8h30. Maussade. C’était son humeur du jour. Elle était tout simplement, maussade, triste et en colère. Elle s’était levée du mauvais pied, ajoutez à cela le fait qu’elle avait failli tomber sur Emmeline Vance dans l’escalier, littéralement, elle avait évité toute forme de bonne humeur et de discussion jusqu’à son premier cours de la journée : Défense Contre les Forces du Mal, et ça devait bien être la seule chose qui éclairait sa journée. Heureusement pour elle, elle n’avait croisée pas croisée Angie ou le professeur Hoover, les deux n’auraient pas pu s’empêcher de lui poser des questions sur son état moral, après tout elle avait toujours été une pilule d’énergie. Le bal avait eu lieu il y a quelques jours et pourtant elle n’arrivait pas à oublier sa dispute avec la seule personne avec qui elle n’aurait jamais pensé s’embrouiller. Moran. Ils ne s’étaient pas parlé depuis et elle comptait bien vivre sa vie même si elle regrettait énormément, s’était donc seule qu’elle s’était rendu en cours.
Lorsqu’elle était arrivée devant la porte de la salle, le flot d’élèves entrait déjà et elle espérait qu’il ne feraient pas théorie parce que les place allaient coûter relativement cher. Vœu exaucé puisqu’ils faisaient pratique, ce qu’elle devina en voyant les trois rangées composées d’élèves de différentes maisons, la même disposition que le cours précédent.

« Bonjour Professeur Funestar ! » dit-elle d’une voix qui se voulait un semblant enjouée, après tout elle était de mauvaise humeur, mais ce n’était pas une raison de la faire subir aux autres.

Hazel, Fabian et Alexandre étaient les chefs de file, elle évita scrupuleusement les regards de Moran et Alexandre, allant saluer son compère gryffon, Fabian Prewett avant de se placer dans l’une des trois rangées, derrière Ewan qu’elle salua également. Elle s’était beaucoup rapprochée du jeune garçon ces derniers temps et elle l’appréciait beaucoup il fallait l’avouer, certainement parce qu’ils se ressemblaient beaucoup.

Elle risqua un coup d’œil au tableau et découvrit l’intitulé de la leçon du jour : « Quelle forme prendra votre patronus ? ». La bleue ne pu faire autrement que de sourire, le patronus amenait à l’animagus, les deux avaient la plupart du temps la même forme étant donné qu’il s’agissait de l’animal nous ressemblant le plus, d’après le professeur MacGonagall. Elle avait hâte de savoir, voir plus. Ce cours promettait d’être intéressant...

Janvier 1975 – Quelle forme prendra votre patronus ?
Feat. Poudlard

#iwhae

Compétence:

Dragées:

Janvier 1975 ~ Quelle forme prendra votre Patronus ?
ft. Tout le monde
' Rien n'empêche le bonheur comme le souvenir du bonheur 'La serpentarde se dirigea d'un pas silencieux et modéré en direction du cours de Défense contre les Forces du Mal qui n'allait pas tarder à commencer. Elle se frotta doucement les yeux, l'esprit encore un peu embrouillé, sortant de la salle commune de sa maison. Son sac sur l'épaule droite, elle traversa les couloirs et prit ensuite les escaliers pour arriver au premier étage. Elle n'avait pas particulièrement faim et avait donc profité du répit du petit-déjeuner pour récupérer quelques minutes de sommeil et préparer ses affaires pour la journée. Le Patronus... Un sort qu'elle avait eu du mal à réaliser dans un premier temps, pour des raisons personnelles, mais qu'elle avait fini par apprivoiser et exécuter avec brio en trouvant une façon légèrement différente de la méthode classique pour trouver sa source de bonheur. Un petit entraînement supplémentaire en la matière ne serai pas une perte inutile de temps bien au contraire. De plus, ce cours faisait partie de ses préférés. Les connaissances étaient très utiles et intéressantes et la pratique fascinante, grisante. Il fallait bien avouer que la jeune fille adorait avoir recours à sa magie et la sentir parcourir son corps, vibrer dans ses veines. Cela avait quelque chose de réconfortant et de doux qui l'apaisait et la soulageait.

« Bonjour Professeur » salua poliment la jeune adulte d'une voix neutre alors qu'elle entrait dans la salle.

Elle déposa son sac parmi les autres au fond de la classe, sa baguette dans sa manche et salua Alexandre discrètement avant de se positionner au niveau du rang 1. Elle avait sa robe de sorcier aux couleurs des serpents, uniforme classique et obligatoire, ainsi que les cheveux détachés qui cascadaient, rebelles, dans son dos. La baguette à portée de main, elle attendit calmement les prochaines indications de Mr. Funestar. Ses traits étaient inexpressifs mais elle semblait particulièrement attentive à la suite des événements et une lueur curieuse pouvait être aperçu dans ses yeux pour les plus observateur. Elle se demandait comment l'enseignant allai aborder le thème aussi bien le côté théorique que pratique. Elle jeta un regard en biais de quelques secondes à peine sur Fabian Prewett avant de porter toute son attention sur le professeur. Beaucoup de monde était présent, ce qui n'était pas étonnant sachant que nombre avait leur infinité avec cette matière et que celui qui s'occupait de cette matière avait une très bonne réputation au sein de Poudlard.

Hors-sujet:

Tsadkiel pénétra dans la salle de classe de Défense contre les Forces du Mal, couvert de neige. Sans doute était-il le seul qui, à cette heure si matinale, ne venait pas d'un petit déjeuner dans la Grande Salle ou directement de son dortoir. En effet, Tsad avait profité de ce matin givré pour aller cueillir quelques feuilles de dictame encore gelées, afin de vérifier son hypothèse selon laquelle ces conditions climatiques augmenteraient les pouvoirs curatifs de la plante.

Tout de suite, il se sentit mal à l'aise : il avait pour habitude d'arriver en début de cours, parfois en avance, quand son emploi du temps le permettait, et n'aimait pas faire irruption dans une salle déjà bondée d'étudiants. C'était l'occasion de regards obliques de ses congénères, souvent difficile à interpréter - est-ce qu'il était en retard ? mal coiffé ? était-ce malséant d'avoir de la neige sur soi ? ou juste d'exister, quand on s'appelait Tsadkiel Sigelsen ? -, et l'impossibilité d'un rapport direct avec le professeur. Remarqué par tous, ignoré de la figure d'autorité : le cours commençait bien Mal, pour un cours de Défense contre les Forces du. Mais c'était sans compter la lecture de ces mots à la craie sur le tableau du fond du local :

QUELLE FORME PRENDRA VOTRE PATRONUS ?

Le reste de sa sérénité s'évanouit en un claquement de Filet du Diable. Maintenant, il savait qu'il allait passer le cours à tenter de garder son calme. (Pour seul effet visible de son état de stress accru, sa mâchoire se crispa légèrement.) En effet, de tous les sortilèges auxquels il s'était confronté au cours de ses études - académiques ou personnelles -, celui du Patronus était le seul qui lui avait résisté jusqu'à présent. Le professeur Funestar ne les avait même pas avertis au cours précédents, qu'ils puissent au moins s'y préparer ! Et le cours sur les Cocatris, alors ? Interrompu ? On aurait certainement pu approfondir... L'anxiété de Tsadkiel se changea lentement en colère sourde et froide.

Son oreille fut attirée par plusieurs remarques chuchotées par d'autres élèves apparemment excités. Certains se demandaient, de bonne foi et en toute naïveté, "quelle forme allait prendre leur Patronus". Les pauvres. L'incantation du Patronus était d'une grande complexité, arriver à une forme corporelle était d'autant plus difficile. Ils n'avaient pas idée... Et si, malgré tout, ils y arrivaient ? Monsieur Funestar était loin d'être un incompétent, il avait toute l'admiration du jeune Serdaigle pour sa pédagogie dynamique et productive, il devait savoir ce qu'il faisait. Et si, malgré tout, tout le monde y arrivait, sauf lui ? C'en serait fini du peu de respect qu'il arrivait à inspirer par ses prouesses. Comment arriveras-tu à vivre avec toi-même ? Ne souhaitant pas connaître la réponse à sa question, Tsadkiel se mit à réfléchir le plus vite possible à un souvenir heureux suffisamment puissant, le regard perdu dans l'obscurité du tableau.

Compétence:

Dragées:

Les élèves se placèrent comme bon leur semblait mais les rangs n'étaient pas tout à fait équivalent. Astérion s'avança vers eux et demanda d'une voix douce :

- Miss Ollivander, voudriez vous s'il vous plait vous placer en fin de troisième rang afin d'équilibrer au mieux vos passages ? Miss McMillan dans le premier rang s'il vous plait.

Il attendit que les deux élèves s'exécutent et reprit :

- Merci bien ...

D'un mouvement de baguette il fit léviter devant les élèves trois mannequins de combat. Un devant chaque file. Il leur avait affublé des masques de troll, de loup-garous et de vampire pour la plaisanterie, ce qui fit rire quelques élèves. Ils portaient également des capuchons noirs comme les détraqueurs.

- Voici des créatures affreuses .. dit-il sur le ton de la plaisanterie .. Comme vous pouvez le constater ce ne sont pas des détraqueurs. Je les ferai intervenir plus tard ..... Vous allez d'abord vous entrainer un peu et vous familiariser avec le sortilège du patronus. Pour son exécution, vous devez faire appel à un souvenir heureux suffisamment puissant pour pouvoir former une créature lumineuse. Chaque patronus est différent et prend généralement la forme d'un animal commun.

Tandis qu'il finissait son discours il fit un mouvement avec sa baguette et utilisa la formule : "Expecto Patronum". Un Loup majestueux se matérialisa devant l'assemblée, parcourra quelques mètres et s'évanouit en une volute argenté.

- Miss Popkins, Misters Prewett et Rozen … En place ….

(C'est aux trois chef de rang de commencer. Après vous postez dans l'ordre que vous voulez)
(Pour savoir si vous réussissez un essai, cela se joue aux dés en fonction de votre compétence en DCFM)
(Vous avez droit à trois essais pour l'entrainement. Je ferai intervenir un détraqueur à la fin pour ceux qui veulent essayer.... )

Les rangs :
Fabian Prewett - Hazel Popkins - Alexandre Rozen
Emmeline Vance - Nate Curtis - Daisy Blackstone
Mircella O'Ddraig - James Potter - Moran Powell
Lily Evans - Saul Funestar - Thomas Avery
Astrid Oorlos - Madeline O'Ddraig - Ariel Bridgestone
Arthur McLane - Ewan Forks - Nemesis Draka
Olivia McMillan - Alienor Fawley - Tsadkiel Sigelsen
- Marlene McKinnon - Gardenia Ollivander

Je voyais les autres élèves arriver progressivement et fit un grand sourire lorsqu'Alexandre franchit le seuil de la salle. Avec le bro', on allait faire une équipe de choc ! Avec Hazel aussi, bien sûr. Quoique, je la connaissais un petit peu moins, elle... Funestar fit léviter juste devant nous de drôles de mannequins. J'étais un peu surpris, moi qui pensais que nous allions nous entraîner sur des Détraqueurs... Peut-être pour après ? Mes doutes se confirmèrent lorsque le professeur annonça leur intervention pour plus tard. Super. Il agita alors sa baguette magique et prononça cette formule connue de tous et qui faisait naître l'espoir dans les cœurs. Ainsi, le Patronus de Funestar était un loup. Mais pas un loup du fin fond des landes hein, non, un vrai loup, un alpha majestueux ! Qui lui correspondait très bien, soit dit en passant... Lorsqu'il nous appela par nos noms, je regardai mes camarades de rangs avant d'avancer d'un pas. Très bien, je serai le premier. Je me demandais quelle allait être la forme de mon Patronus...

Baguette pointée en avant, je fermai les yeux un instant. Depuis le cours précédent, je n'avais pas cessé de réfléchir à un événement heureux. La réponse m'avait presque parue évidente et pleine de sens. Il y avait bien ce moment qui resterait gravé dans ma mémoire à jamais. C'était à la naissance de Bill, le premier-né de Molly. Je me souviens encore lorsque nous avions appris la nouvelle. Ce jour-là, beaucoup de choses avaient changé. Déjà, j'étais devenu tonton. Tonton à 13 ans, vous vous rendez compte ? Et ce jour-là, mes parents étaient devenus grands-parents... Je me souviens encore de leurs larmes de joie, de leur sourire.. Sourire que je ne reverrai jamais.
Rien que d'y penser, cela me fit l'effet d'un baume au cœur. J'allais leur prouver ce dont j'étais capable.

« Expecto Patronum !

1&2 : Une intense lumière bleutée jaillit de la baguette et révèle un fier Berger Suisse qui se met en position offensive face au mannequin d'entraînement. Le souvenir avait été suffisamment heureux, good job.
3&4&5 : Une lumière bleue sort de sa fidèle partenaire sans parvenir à créer un Patronus corporel. Mais on peut dire que, pour une première fois, c'est déjà pas mal.
6 : Rien ne se produit. Le souvenir n'était pas assez heureux et le lion retourne à son rang la mine dépitée.

Le membre 'Fabian Prewett' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'le dé ' : 2

Alexandre adressa un clin d'oeil à Némésis qui était derrière lui alors que le professeur Funestar leur expliquait comment faire apparaître un patronus. Il avait bien remarqué le regard qu'elle avait eu pour lui. Il adorait voir sa meilleure amie dans cet état.

« Miss Popkins, Misters Prewett et Rozen … En place …. »

Le jeune sorcier pensa rapidement à un souvenir heureux. Pas facile d'en choisir un. Alors qu'il réfléchissait encore, il vit Fabian à côté de lui réussir du premier coup un patronus corporel. Sous ses yeux ébahis courrait dans les airs un fier Berger Suisse. Ce sortilège était tellement beau ! Il se concentra un bon coup. Au début, il pensa au cadeau que lui avait offert Gardenia pour Noël il y avait de cela quelques années. Mais il se rendit vite compte que ce souvenir en faisait remonter de mauvais. Donc il en changea.
Il se remémora alors un jour de sa vie qui l'avait marqué. Il avait 8 ans, c'était le lendemain du Réveillon de Noël qu'il avait fêté chez ses grand-parents en Allemagne. Ses parents lui avait offert sa toute première paire de patins à glace la veille. Il les avait essayé pour la première fois ce jour là sur le lac gelé près du manoir de ses aïeux en compagnie de sa famille. Ensuite, ils s'étaient tous prêtés à des jeux dans la neige. Il avait passé l'un de ses plus beau Noël cette année là.

« Expecto Patronum ! »

(Compétence: 5/6)
4 - 2: Totalement inespéré, une lueur bleue jaillit de sa baguette. Un coyote à la silhouette élancée fit son apparition dans les airs pour se positionner face à la cible. Il avait réussi !
3 - 5 - 1: Ce n'était pas bien glorieux, mais mieux que rien. Une faible lueur jaillit de sa baguette. Il y avait du progrès par rapport à ses autres essais en dehors du cours.
6: Rien ne se produisit. En même temps, Alexandre s'y attendait. Mais l'idée d'échouer devant autant d'élève lui donnait un sentiment amer. Il retourna à son rang.

Le membre 'Alexandre O. Rozen' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

'le dé ' : 6

En apprenant le thème du cours, mon cœur fit un bond dans ma poitrine, le Patronus, m’avait-on raconté, était un sortilège extrêmement difficile. J’attendais donc que la classe se remplisse en me rongeant les ongles, j’avais la même appréhension qu’au cours précédent. J’essayai de me calmer en discutant avec les personnes autour de moi. Le Professeur nous interrompit en nous expliquant le déroulement du cours.
- Miss Popkins, Misters Prewett et Rozen … En place….

Je fis un léger sourire à mes deux autres camarades s’apprêtant eux aussi à tenter le sortilège du Patronus. Je me concentrai et fouillai dans mes pensées, un souvenir heureux ? J’en avais eu pleins, mais lequel me faisait le plus d’effet ?
C’était pour mon huitième anniversaire, mes parents avaient préparé une petite fête en famille. Ils m’avaient offert une de ces fausses baguettes pour les plus petits, tous les petits sorciers en avaient, non ? Ce jour-là, nous nous étions amusés à inventer une histoire avec mon frère et on s’était réparti des rôles, je jouais Merlin. Je me souviens de nos éclats de rires et de son sourire lui montant jusqu’aux oreilles. Ce fut le meilleur anniversaire que j’avais passé, je m’en souviendrai toujours.

Lorsque je me sentis prête, je lançai le sortilège.
« Expecto Patronum »

1 & 6 – Une lueur bleue jaillit de la baguette d’Hazel, prenant la forme d’une marmotte, sautillant jusqu’à la cible. La Jaune avait réussi !
2 & 5 – Un mince filet de lumière bleue s’échappa de sa baguette, ce n’était ni une réussit, ni un échec.
3 & 4 – Rien ne se passa, déçue, Hazel retourna a sa place.

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Janvier 1975 - Quelle forme prendra votre patronus ?

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