ÉPIC PARTY DE L’ÂGE ADULTE DE WILDA & DOWEY - Salle de séjour / Ouvert à tous

Dans un bruit de flammes, Jane fit son apparition à la fête de Wilda et Dowey. Dans sa main droite, elle chiffonna le petit bout de papier sur lequel était indiqué l'adresse de la maison des parents de Wilda et le fourra dans son décolleté avant que quiconque ne remarque quoi que ce soit.
Elle était vêtue d'une longue robe blanche avec de la dentelle et ses cheveux lâchés étaient entourés d'un bandeau doré surmonté d'une grosse fleur rose. Elle portait au creux de son bras gauche deux petits paquets qui contenaient des attrape-rêves faits main, un pour Dowey, l'autre pour Wilda. Ils avaient la particularité d'arrêter réellement les cauchemars, du moins espérait-elle que l'incantation qu'elle leur avait lancée avait fonctionné.
Elle fit un rapide tour d'horizon, salua d'un sourire et d'un geste de la main deux, trois têtes connues avant que son regard ne se pose sur Theo et Greta en sous-vêtements dans l'entrée... Mais dans quelle fête avait-elle atterri ? Elle détourna la tête et c'est à ce moment qu'elle repéra Holden. Ses joues s'empourprèrent aussitôt et elle se faufila entre les convives pour lui échapper. C'est qu'elle avait appris sa rupture d'avec Nina et elle ne se sentait pas d'affronter le rouge et or d'emblée. Il lui fallait du courage.
Elle tomba sur Wilda, lui refourgua les deux cadeaux en bégayant quelque chose qui ressemblait à « Joyeux anniversaire », puis elle s'empara d'un gobelet abandonné sur le buffet avant de fuir dans le jardin. De là, elle liquida le contenu de son verre et grimaça avant de cracher ses poumons.

ORDRE DU PHÉNIX

Marlene rendit naturellement leur accolade à ses amies Kalia et Hestia avant de se voir empêcher de toute autre démonstration de son affection par le verre plein que Wilda lui glissa entre les mains. « Whow ! » évita-t-elle de justesse d’en renverser une rasade sur le tapis. Douze verres ? Elle ne savait pas car elle conservait un souvenir terrible de sa première - et dernière se fourvoyait-elle - gueule de bois. « Vous me manquez aussi ! - concéda-t-elle à son tour à ses meilleures amies - Et le plus chouette c’est qu’on se revoit encore à la coupe du monde de quidditch ! ». C’est qu’elle s’en faisait déjà toute une fête dans sa tête. « Vous avez fait quoi de beau de votre été jusque là ? ».

La porte s’ouvrit alors sur leur camarade Theo Wadge certes fort peu vêtu. Et la préfète eut immédiatement le réflexe de regarder ailleurs en rougissant. « Okay, hum, on a définitivement un train de retard sur la soirée ! » souhaita-t-elle cacher son embarras (car elle avait surtout un train de retard sur la vie) avant de descendre cul sec son premier verre en grimaçant. « Slàinte » trinqua-t-elle alors en fière Écossaise. Elle accueillit son camarade de maison Holden avec un large sourire puis son autre camarade Bertha en levant les yeux au ciel. Ce qui se passerait chez Wilda ne resterait donc pas chez Wilda ? Ce verre, se promit-elle, serait son premier et dernier. Elle n'avait aucune envie de se faire tenir les cheveux au-dessus des toilettes par la commère en lui racontant ses questionnements amoureux. Elle restait de plus persuadée que Bertha était celle qui l'avait empoisonnée au dernier bal de noël ... ! Heureusement que Janice arriva à son tour. Marlene lui adressa un grand signe de main mais sa timide amie ne la vit pas. L’ennui fut que, du même coup, Holden ne put certes pas manquer la nouvelle venue. Marlene croisa le regard du garçon et le temps s’arrêta. Elle le pointa d’un doigt menaçant. « N’y pense même pas Holden ! ». Ah ça non, qu’il ne profite pas d’une soirée alcoolisée pour convertir la seule membre de son club de vierges à la regrettable erreur !

ORDRE DU PHÉNIX

« Rien n’est trop fort pour moi mec ! » répondit-elle à Darius du tac au tac. Wilda était vraiment heureuse, extatique même. Il y avait foule, la soirée prenait à peine son envol et elle en voyait déjà se dégourdirent sous l’eau de vie. « Cousin par alliance, je suis déçu de ta performance ! On m’avait pourtant vanté les talents d’alcoolisme des écossais…» s’exclama la fêtée en regardant Moran s’étouffer avec son Whisky. « LUZIA ! Juste à temps pour baptiser la bouteille ! Aller, cul sec ! » s’écria-t-elle en donnant la bouteille à la brunette avant de se rapprocher de Moran qui lui lançait des regards suggestifs auxquels elle comprenait tout. En bonne wingwoman, la serdaigle décida de laisser les tourtereaux à leurs discussions et chercha une excuse pour trainer son nouveau cousin plus loin : « Oh! Moran, viens par-là que je te présente…GRETA! » dit-elle innocemment. En commençant sa phrase, la jeune femme ne savait pas exactement où elle se dirigeait avec ses balais, mais son regard tomba sur Greta Catchlove, une sorcière rigolote qu’elle aimait bien, et surtout, qu’elle savait amourachée de Powell. Elle pouvait bien jouer la matchmaker avec plus d’un couple ce soir. « EH OH GRETA! Par ici… euhh » hurla la fêtée dans ce bouquant. Chose qu’elle n’avait pas prévu : Greta était en train de retirer ses vêtements…aux côtés d’un mec vêtu seulement de ses boxers…oulah. Elle devait boire plus, elle était clairement en retard sur la soirée.

C’est alors qu’elle vit Swann débarquer et se diriger droit vers elle. La jeune femme ne fit ni une ni deux et lui sauta dans les bras, entourant ses jambes autour de sa taille et manquant de peu de l’assommer avec la bouteille d’alcool qu’elle tenait toujours. Survoltée, la sorcière lui colla un gros smack sur le front et relâcha son emprise pour regagner le sol. « Mais tu es incroyables ! … Maintenant tu sais à côté de qui venir t’asseoir en cours » dit-elle en haussant les sourcils de manière suggestive, le grimoire-porte-flasque en main. À peine Swann avait-il pris la direction du bar que sa cocotte préférée la pris dans ses bras. « CASSANDRA ! Ma chérie, j’avais si hâte que tu arrives » roucoula-t-elle en rigolant. En ouvra son cadeau elle s’effondra de rire et fut prise de hoquet. « Ohlala… caches ça, y’a certain serdys qui ne m’ont pas encore pardonné d’avoir fait perdre autant de points…c’est à donner à tous les bleus le sens de l’humour hein » plaisanta la sorcière à lançant un clin d’œil à son ami. Bertha fut la prochaine à la saluer et lui pointa un spectacle assez cocasse, qui fit rappeler à la jeune femme qu'elle se dirigeait vers eux avant de se faire interrompre par l'arrivée de ses deux amis. « Ohoh, je crois que j’en ai deux à aller rhabiller… il est un peu trop tôt, non? », confia-t-elle à Bertha avant d’agripper Moran par le poignet et de l’entraîner avec lui, Greta était peut-être semi-nue, mais elle était à tomber par terre.

« Ohé les nudistes ! Ça va ? » plaisanta-t-elle en serra Catchlove dans ses bras. « Regarde qui je t’ai ramené mon enfant » lui chuchota-t-elle dans l’oreille avant de la lâcher et de se tourner vers le wannabe stripteaser. Wilda devait avouer que la vue des abdominaux et des petites shorts moulantes du garçon n’était pas du tout déplaisante – désolé Evan – ainsi décida-t-elle de se faire plaisir pour son anniversaire et de le prendre également dans ses bras en guise de bienvenue. « Wadge, ça fait plaisir de te voir autant dans l’ambiance ! On attend tous l’hélicob*te avec impatience…» ne pouvait-elle s’empêcher de rigoler « mais d’ici là, sens toi bien à l’aise de remettre ton pantalon. » fini-t-elle avec un clin d’œil. À noter qu’elle n’avait rien mentionné sur la possibilité de remettre le t-shirt…la coquine. Elle leur indiqua finalement la direction de la piscine – avec la chaleur actuelle, il n’était pas une mauvaise idée d’aller y faire une trempette – et repris son chemin afin d’aller accueillir les nouveaux arrivants. Il y avait un truc, à propos de la piscine, qui lui chatouillait le cerveau, mais qui celui-ci, embrumé par l’alcool, n’arrivait pas à se rappeler. Pourtant… elle avait l’impression que c’était important. Ne trouvant pas de quoi il s’agissait, la sorcière secoua les épaules et balaya son inquiétude. Ce que Wilda Griffiths avait oublié n’était malheureusement pas un léger détail. En effet, son père, Roderic, fervant défenseur des droits des créatures magiques, avait accepté de recueillir temporairement les Strangulots du lacs de Mimbulus-les-bains – lac qui avait été enfoui pour construire le terrain de Quidditch – et les avait placés en liberté dans la piscine familiale. Roderic avait bien avertie sa fille de ce fait, mais Wilda, qui n’aimait pas particulièrement la baignade, n’y avait pas prêté attention. Oupsi. Voilà maintenant que la maison et le jardin étaient pleins d’adolescents au taux d’alcoolémie à la hausse, qui n’hésiteraient pas à aller se rafraîchir dans la piscine, malgré la pénombre ambiante.

Finalement, Wilda alla saluer Jane et tenta maladroitement de prendre les cadeaux qu’elle lui donnait, sans échapper la bouteille de vodka au sol – elle l’avait gardé bien en main tout ce temps – et la remercia avec enthousiaste, « merci mini Thickey ! J’espère que ton macho de frère va ramener ses fesses ici bientôt !». Elle rigolait bien, mais elle savait que Michael faisait des efforts pour améliorer sa conduite auprès de la gente féminine.

NEUTRE

Aussi surprenant que cela puisse paraître, il n'existait pas de liaison en portoloin entre Loutry-Sainte-Chaspoule et Londres. Le seul moyen pour s'y rendre était de prendre un portoloin à Talensac-les-tré-églises, un bourg à presque une heure de marche de chez Rosalyn, puis un autre à Moustoir-de-Cornouailles qui reliait directement à Basingstoke. Et de là, il fallait prendre le magicobus. La jeune Weasley n'était pas surprise outre-mesure de l'organisation territoriale centralisée de l'Angleterre, et comme la bonne cornique qu'elle était, elle avait pris sur elle et était partie trois heures en avance pour espérer être à l'heure à cette fameuse fête de Dowey et Wilda. Chose surprenante qu'elle ait été invitée, et elle restait persuadée qu'il s'agissait d'un vaste malentendu, car la Griffits et elle se livrait une guerre des couloirs sans partage.

Arrivée finalement à Basingstoke, elle courut en direction d'un magicobus paresseusement arrêté au milieu de la route. Hélas pour elle, alors qu'elle s'en approchait, ce dernier commença à démarrer et la jeune fille n'eut que le temps de s'écrier dans sa langue natale : « Hedh ! Hedh ! Mar plek hedh ! » Avec un peu de retard, elle prit conscience que ce n'était pas en parlant en cornique qu'elle réussirait à faire s'arrêter un bus londonien, et elle fronça des sourcils désapprobateurs sur le magibus qui déjà disparaissait à l'angle de la rue : « Gocki sows ! » cria-t-elle en adressant un doigt d'honneur vers l'endroit où avait disparu ce car. Les anglais étaient tous des abrutis. Elle allait être en retard, c'était certain. Le magicobus ne reviendrait pas avant au moins heure, et la Weasley se laissa tomber sur le rebord du trottoir, l'air morne.

Après de nombreuses tribulations absolument inintéressantes, la jeune rousse arriva finalement à destination, dans un état de mécontentement plutôt important. On entendait les rires et la musique depuis le trottoir de la rue, et Rosalyn n'eut aucune difficulté à trouver la maison, dont elle poussa la porte d'un geste nonchalant, laissant le battant frapper le mur. Merlin avait voulu, dans sa grande fourberie, qu'elle entre dans le salon Griffithts, au moment exact où l'insupportable Wilda sautait sur Swann. Rosalyn haussa des sourcils à mi-chemin entre la surprise et le dégoût, avant de se décider d'en profiter pour passer à l'attaque. « Heey, gesti ! » salua-t-elle Wilda avec un grand sourire hypocrite qu'elle ne chercha pas réellement à dissimuler, précisant devant le fronçement d'incompréhension de la jeune fille à sa phrase : « ça veut dire joli fille » Elle accompagna sa phrase d'un petit rire, aucunes chances que l'affreuse ne découvre que ce mot voulait dire garce en cornique. C'était l'un des rares avantages à parler une langue en train de disparaître, personne ne la comprenait. Heureusement d'ailleurs qu'elle se canalisait en l'insultant par procuration dans sa langue, car elle aurait bien été capable de l'achever à coup de poêle en cuivre pour son saut sur Swann. Quelle dévergondée cette Serdaigle. Enfin, elle pouvait être aussi dévergondée qu'elle le souhaitait, mais pas avec Jones en fait. Face à cette profonde réflexion intellectuelle, la jeune Weasley décida d'aller prendre quelque chose à boire, et d'ignorer aussi bien Wilda que Swann.

Alors qu'elle réalisait un mélange de plusieurs alcools avec une certaine concentration, elle faillit renverser une bouteille sur un objet inconnu. Elle adressa un regard de méfiance absolue à l'égard de la machine étrangère, et s'en approcha avec circonspection. « MICRO-ONDE » était marqué dessus en gros, et la jeune sorcière fronça ses sourcils. Encore un autre objet dangereux que la dangereuse Wilda gardait dans sa maison dangereuse. Dans un autre contexte, Rosalyn aurait été curieuse, mais dans le cas présent, elle avait une grande tentation de saboter l'objet. Discrètement elle attrapa le couteau pour couper le saucisson qui se trouvait plus loin, et en deux coups de cuillière à pot, elle trancha le cordon électrique. Méfait accompli.

Après sa dégradation volontaire, la jeune Weasley s'enfuit telle un papillon au vent, et prit la direction opposée de la pièce, apercevant au loin une tête rousse, celle d'Holden. Elle haussa la voix et lui adressa un grand signe de main pour capter son attention « Hou Holdy ! Bropennek ! » Mais Cassidy ne sembla pas l'entendre et continua à pavoiser devant les donzelles, avec détermination, Rosalyn se dirigea vers lui, se cognant contre un Theo dénudé, aux antipodes de la dernière fois qu'elle l'avait vu. « T'vâs nous faire l'hélicobite mebyon ? Pas sûre que la trigonométrie de tes parties soit là pour t'aider, mais Moran pourra te donner conseil. » lui dit-elle en riant ironiquement, et en passant son chemin aussitôt après, telle une furie rousse.

Elle s'approcha finalement d'Holden derrière lui, posant une main sur son épaule pour lui murmurer à l'oreille : « T'as besoin d'un sonotone ti ... » avant d'ajouter « Si tu continues à la regarder comme ça, tu vas être tout turgescent mon gars. » Elle conclut sa phrase d'un ton dogmatique « Pense avec ta tête, pas avec tes roubignoles, la regarder ne changera rien, lui parler peut être déjà plus. » l'encouragea-t-elle avant d'ébouriffer ses cheveux d'une main, sirotant son verre de l'autre.

Traduction / HJ:

Le problème de Cassy c'était que, dans sa vie, et autour de lui d'une façon générale, il y avait toujours eu beaucoup trop de filles. Une mère ultra-protectrice et couveuse comme une poule, une sœur hyper-peste qui le faisait tourner en bourrique, bien trop de copines dans les mains desquelles il mangeait, le bien heureux, sans s'en rendre compte. Elles le manipulaient toutes à leur guise, et lui, joyeux benêt, n'y voyait non seulement que du feu, mais marchait en plus à fond dedans. Elles en faisaient toutes ce qu'elles en voulaient. Wilda, Nina, Rosa, Kalia, Marlene, Jane... Sa vie était bien trop compliquée avec toutes ces demoiselles qui gravitaient autour de lui, en tout bien tout honneur bien sûr, et le nigaud ne cessait de se prendre les pieds dans les filets des plans fumants et des quiproquos. Pour autant... Il adorait ça.
Wildo le macho lui sauta au cou et rit de son cadeau pour son plus grand bonheur, mais l'amusement fut de courte durée, lorsque McKinnon arriva, et que Janice se pointa à son tour, le snobant royalement — car oui il la vit, quand elle fit genre de se faufiler à la barbe de tout le monde et que sa copine Marly l'apostropha, aussi discrète qu'un troll dans un magasin de porcelaine. Depuis leur dispute, les deux anciens meilleurs amis ne s'étaient plus reparlé, et Cassy en souffrait beaucoup. Nina l'avait plaqué, ce qui avait fait le tour du Château qui plus est, en rajoutant une couche à son moral déjà en berne. Et alors que la blonde griffonne le défendait de faire ce qu'il avait très envie de faire — courir aller parler à Jane bien sûr, rien de plus juré, craché par terre —, Rosa arriva comme une fleur et l'incita justement à se précipiter à le faire.
C'était comme avoir un petit ange sur une épaule, et un petit diable sur l'autre, chacune lui soufflant le chaud et le froid.
Sous le regard furibond de McKinnon, il tourna le visage vers sa rousse complice dont il tapota gentiment la main qu'elle avait posée sur son épaule, et soupira, dans un demi-sourire ;
— Heureusement que la voix de ma conscience est-là pour me faire pousser des... Roubignoles... Que c'était gênant de parler de ses parties devant toutes ces jeunes filles. Il regarda ailleurs. De toute façon, cela faisait un moment qu'il avait fait une croix sur sa dignité avec toutes ces donzelles et les rumeurs le concernant. Il baissa de la main l'index de Marlene figé sous son nez. Tu permets ? Il souffla un bon coup. Mesdemoiselles... S'excusa-t-il auprès de l'assemblée, et il partit en direction du jardin, munit de son verre lui-aussi.
Sur l'invitation de Wilda, tout le monde sortit également pour aller faire trempette, ce qui ruina ses intentions de parler au calme et dans l'intimité avec Miss Thickey. Pourquoi les astres étaient-ils toujours contre lui ?
Parmi les convives, il la repéra, un peu à l'écart, assise sur un transat. Était-ce vraiment une bonne idée ? Au point où il en était, il décida que oui. Doucement, il marcha jusqu'à elle, et s'arrêta à sa hauteur.
— Hey, salut... Il se gratta la nuque, mal à l'aise. Du menton, il désigna le transat juste à côté de celui de la jolie brunette. J'peux m'asseoir avec toi ?

COTÉ DU BIEN

Kalia était toute joyeuse dans cette dans cette fête, le groupe ne cessait de grossir et les discussions allaient bon train. Holden repartit et elle vit Greta arriver. Elle salua donc le petit groupe "Bye bye les gens". Elle courut vers Greta "Coucou ma copine adorée" Bon elle était légèrement beaucoup alcoolisée. "Oh ton petit maillot de bain mouton est tout mignon !" Sauf qu’elle se rendit compte qu'elle n’était pas seule mais avec un groupe de mec, on ne la changerait pas sa meilleure amie, on cherchait des mecs, on la trouvait elle pensa t-elle en gloussant toute seule. Tiens mais il y avait Théo la. Et il était surtout en calecon, elle ne put s’empêcher de lorgner sur ses muscles saillants et ses petites gambettes finement musclées. Ouais elle voyait tout en plus beau. Plus elle buvait, plus elle avait envie de boire sauf qu'elle ne le supportait que moyennement. L’euphorie montait peu à peu, elle ne réfléchissait pas à ce qu'elle faisait mais faisait simplement tout ce qui lui donnait envie sur le moment, elle avait perdu ses limites entre le troisième et le quatrième verre. "Tiens salut Theo ! Tu vas bien ? Pourquoi t'es à poil ?" On était seulement ai début de la soirée. Etait-il déjà saoul ou avait-il envie de sauter dans la piscine. Mais sauter avec son pantalon risquait de lui coller à la peau un peu beaucoup. Ce serait sûrement très inconfortable.

Greta arrive quasiment en même temps que lui. Ni une ni deux, elle se désape à son tour. Theo rigole, loin de se sentir gêné.
— A votre ordre, chef ! réplique Theo à Wilda en exécutant le salut militaire.
Il se baisse alors pour ramasser ses affaires lorsque Rosalyn l'apostrophe -enfin, il suppose que c'est à lui qu'elle s'adresse, il ne comprend pas tout ce qu'elle lui dit.
— T'en fais pas, la trigomachinchose de mes parties se porte super bien, je te montrerai, à l'occas' ! lui répond-il dans un clin d'oeil.
Pas le temps de remettre son tee-shirt à l'endroit que Kalia le rejoint à son tour. Elle lui demande pourquoi il est à poil, il se souvient alors du vomi qui recouvre son maillot... Dégoûté, il le balance de nouveau au sol.
— Greta a dit que c'était une pool party, accuse-t-il sa camarade de maison en enfilant son jean à la façon du flamand rose, en équilibre sur une jambe. Mais ça n'a pas l'air d'être le cas, du coup...
Son froc enfilé, il le boutonne et pique des mains de Kalia son verre d'alcool avant d'en avaler une longue gorgée au point d'en vider entièrement son contenu. Il lui tend alors le gobelet vide.
— Maintenant, ça va, oué, lui répond-il dans un grand sourire. Tu me fais visiter ? Wilda est trop occupée et j'ai pas vu Dowey, encore.

Janice s'était précipitée dans un transat libre et s'y était étendue de tout son long. Les mains sur ses paupières closes, la petite rouge et or rageait contre son self-control au trente sixième dessous. Elle s'était pourtant préparée à le revoir, se doutant bien qu'il ne manquerait la soirée pour rien au monde. Et pourtant... Tout son courage s'était envolé dès lors qu'elle avait aperçu ses beaux yeux. « Il est célibataire ! » ne cessait de lui répéter le petit diable sur son épaule gauche, tandis que l'ange à sa droite, d'un ton réprobateur, répliquait « C'est justement pour ça qu'il est un danger ! Fuis-le ! ».
La Gryffondor soupira, juste au moment où la voix d'Holden, si proche, la tira de ses pensées. Elle sursauta et ôta son bras de devant ses yeux, puis se redressa.
— Salut Holden, réussit-elle à articuler avant de déglutir, hochant la tête de haut en bas pour signifier à son camarade que la place était libre.
Son coeur battait si fort qu'elle espérait qu'Holden ne l'entende pas.
— Alors, comment vas-tu ? lui demanda-t-elle presque timidement en relevant ses genoux contre sa poitrine avant d'encercler ses jambes de ses bras.
Le fait que tous les convives se soient rués dehors au mot « piscine » prononcé par Wilda était une bonne chose, c'était beaucoup moins intimidant de discuter avec Cassidy entourée d'une multitude de personnes qu'en tête à tête, seule à seul. La pauvre évitait même son regard.

Ce soir est un jour de fête. Pour rien au monde Cordelia n'aurait manqué la fête de majorité de sa partner in crime de conneries, son amie Wilda. C'est aussi l'anniversaire de Dowey, un très bon ami de Swann son grand frère. Frère qui lui a interdit de venir à la soirée sous prétexte qu'elle est réservée aux grandes personnes. Il voit toujours sa soeur comme si elle avait quatre ans, et bien évidemment, la cadette s'amuse à le faire tourner en bourrique. La jeune femme, ne compte pas suivre l'interdiction de son frère. Pour cela, elle a eu une idée de génie. Elle sait qu'en soirée, Swann à tendance à boire beaucoup d'alcool, et quand il est pompette il a l'alcool joyeux. Qui dit alcool joyeux, dit qu'il sera plus souple sur la présence de sa petite soeur à la soirée. Malin le lynx !

Son frère est parti depuis un bon moment déjà. Cordelia commence à se préparer tranquillement. Elle a s'est habillée avec une robe fourreau rose pâle qui lui arrive un peu au dessus du genou. Sa robe est ornée avec une ceinture en dessous de la poitrine. Afin de gagner quelques centimètres, Cordelia a pour chaussure une paire de talon aiguille assortie à sa tenue. En guise de coiffure, elle a fait un simple brushing. Un léger maquillage fignole son apparence.

Son frère doit sans doute être déjà en train de rouler sous la table (ou bien il en est pas loin), c'est le bon moment pour débarquer enfin à la fiesta. Elle se rend à la maison des Griffiths, là où se déroule le double anniversaire avec deux paquets cadeaux dans les mains. Quand elle arrive, elle toque à la porte, avant de rentrer. La soirée à déjà bien été entamé. Elle salue les personnes qu'elle connaît (et ce qu'elle connaît moins aussi), elle trouve Dowey et Wilda, après une bise pour leur dire bonjour, elle leur offre les cadeaux. Un pour chacun.

- Joyeux Anniversaire ! Je vois que la fête est un succès.

Qu'elle leur dit avec un grand sourire sur le visage. Le problème quand on arrive avec un train de retard à une soirée, c'est que la majorité des personnes présentes, du moins celles qui picolent, sont déjà presques rond comme des coings, si ce n'est pas déjà le cas d'ailleurs. La jeune femme compte bien rattraper ses verres en retard. Et elle ne compte pas boire du jus de citrouille !

D'une voix enjouée, elle s'adresse à Wilda, après s'être servie un verre de Pur Feu et avoir trinqué.

- J'allais quand même pas manquer la soirée de l'année ! Santé !

Spoiler:

NEUTRE

Tout avait si bien commencé. Une bonne ambiance, de l’alcool, ses amis les plus proches. Gabin avait le don de lui transmettre sa bonne humeur. Darius et Moran n’était pas en reste également. Pendant un instant, Svetlana surprit son ami regarder au loin avec un sourire rêveur et, il fallait le dire, un peu bête sur les lèvres. Curieuse, la blonde se retourna et aperçut une jolie blonde, souriante. Poufsouffle ? Elle en était presque certaine. Tiens donc… son ami lui avait épargné ce détail. « Bah alors Willy, c'est trop fort pour toi ? » Le regard de Svetlana se reposa sur leur petit groupe et Wilda qui tentait vainement de dissimuler une grimace après cette longue lampée de… whisky ou vodka, elle ne saurait dire. Et les deux bouteilles commencèrent leur chemin de croix. D’abord la vodka pour Darius. « Petite nature », dit-elle en voyant Darius s’ébrouer comme un cheval. « SLAINTE MHATH ». Et voilà Moran trinquant à son tour en avalant du wisky. C’est à ce moment-là que cette fille se rapprocha timidement. Moran s’étrangla également dans son breuvage. Svetlana se retint de lever les yeux au ciel devant tant de manière. « Petite nature numéro 2 »

D’ailleurs, ce dernier commença à faire l’éloge de l’ancien Serdaigle. « Bien débrouillé ? C’est un euphémisme. » Et Moran s’éloigna. Un signal pour les laisser seul ? Assurément. Alors qu’elle tournait les talons en embarquant Gabin dans son passage, bras sous le sien, Lana croisa un regard sombre, teinté de rancœur. Swann. Elle s’immobilisa. Il était venu… Son cœur se serra et alors qu’elle allait détourner le regard, la silhouette de Gabin s’infiltra entre les deux ex amoureux, barrière protectrice qui lui fit chaud au cœur. A son tour elle saisit la bouteille de vodka et prit une longue lampée. Pas aussi forte que la pure glace mais elle s’en contenterait. « Tu es un ange, Gabin. ». Malgré tout, elle jeta encore un coup d’œil par-dessus l’épaule de son ami et vit Wilda lui sauta au cou et serrer ses jambes autour de sa taille. La jeune fille était ainsi, cependant elle ne put s’empêcher d’avoir un pincement au cœur.

Wilda invita tout le monde vers la piscine mais Svetlana n’avait guère envie de se baigner maintenant. Elle regarda les autres se dévêtir. « Cet anniversaire va se transformer en orgie, je le sens ». Elle préféra se mettre sur le côté. Mais ce fut après l’arrivée de Cordelia. Svetlana se cacha dans un petit recoin. Elle n’avait guère envie de croiser la sœur de Swann. La slave avait fait suffisamment de mal comme cela, pas la peine de remettre une couche surtout pendant un anniversaire et avec quelques grammes dans le sang. Et la belle Rosa aussi, si belle, tant d’assurance, tellement de chaleur.

A l’écart, tu observais la joyeuse bande rassemblée par Wilda et Dowey s’amuser pleinement et déboucher avec enthousiasme et empressement quelques bouteilles d’alcools forts. Peut-être mettaient-ils le carrosse avant les abraxans mais cela ne te concernait guère à vrai dire. Tu ne connaissais pas grand-monde ici et il y avait fort à parier que personne ne viendrait te fourrer un verre dans la main. Néanmoins, tu étais loin de t’imaginer ce que les deux furies qu’étaient Wilda et Dowey avaient prévu pour vous faire passer une soirée de folie.
Proche de la porte-fenêtre qui menait au jardin et à la piscine autour de laquelle était attroupée l’hystérique assemblée, tu pouvais embrasser du regard l’intégralité de la fête et aussi observer le balai des nouveaux arrivés qui, il fallait le dire, semblaient déjà bien dans le mood bien qu’ils n’eussent, vraisemblablement, pas encore bu d’alcool. Entre la fantasque McKinnon, ce pot-de-colle d’Adrian et la flamboyante Rosalyn, tu ne pensais pas pouvoir trouver d’invités plus excentriques. Mais si, il y en avait bien un. Wadge. Totalement nu ou presque. En le voyant, tu ne sus pas trop ce qui te mit mal-à-l’aise : le fait de voir de la sorte alors qu’il venait d’arriver ou la peur que l’incident qu’il avait eu avec Alexandre, dont tu étais le meilleur ami notable, ne puisse ressurgir d’une quelconque façon s’il te voyait. Dans tous les cas, tu préféras t’éloigner de lui et, te disant que tu éloignerais cette histoire avec l’aide de l’alcool, tu allas de toi-même réclamer, verre vide à la main, un peu de vodka apportée par Svetlana. Ce n’est qu’après que tu rejoignis Rosalyn au bord de la piscine. « Le moins qu’on puisse dire, c’est que tu sais soigner tes entrées, » commentas-tu avec amusement. « Je suis simplement déçu de ne pas avoir eu le droit à un gentil mot dans ta langue. » Gentil, tu en doutais. A vrai dire, elle aurait bien pu dire ce qu’elle voulait en cornique, personne ne pouvait la comprendre ici. Mais tu connaissais bien le caractère malicieux de ta partenaire d’entrainement et cela ne t’aurait guère étonné qu’elle utilise des mots incompréhensibles pour se moquer gentiment de ses amis. « Ça veut dire quoi au juste blopaneck ? » demandas-tu en essayant de répéter le mot guttural qu’elle avait utilisé pour qualifier Holden, ce très cher Holden qui semblait plutôt enclin à papillonner lorsque sa copine n’était pas dans les parages ...

Spoiler:

L'anniversaire de Wilda, comment pouvait-elle bien manquer l'événement ? C'était impossible, sa meilleure amie avait dû la mitrailler de lettres qu'elle avait eu bien du mal à ranger dans son tiroir au vu de leur quantité impressionnante. Et pourtant. Elle avait réussi à oublier de partir de chez elle alors qu'elle avait tout préparé chez elle : la tenue, les cadeaux, les bouteilles (bien qu'elle ne doute pas de la profusion de ces dernières) empruntée dans la cave de son grand-frère en toute discrétion. La soirée était bien entamé au vu des énergumènes se trouvant dans la piscine, mais elle n'était pas plus étonnée que cela de voir l'état d'ébriété général. Il allait falloir qu'elle se rattrape et ce rapidement. Phœnix laissa échappé un cri de surprise en voyant Wadge en tenue d'Adam, ou tout du moins qui s'en rapprochait de moins en moins puisqu'il tentait d'enfiler un haut avant de poser le cadeau de la demoiselle et du damoiseau sur la table.

La brune en robe rouge avait pris soin de sa tenue, comme à son habitude parfaitement repassée et impeccable. On ne changeait pas d'éducation comme de cape du jour au lendemain bien qu'elle avait du ruser pour faire entrer une tenue moldue dans le manoir Flint, mais il fallait croire que personne n'osait fouiller la chambre d'Ambrosius, Merlin soit loué. Se frayant un chemin dans la bande d'adolescent ~~légèrement~~ alcoolisés, elle mit la main sur Wilda après quelques instants,ressentant quelques regards signifiant que sa présence n'était pas des plus attendues et lui sauta sur le dos en toute indécence.
« Happy Birthday Darling ! » cria-t-elle sur le dos de la demoiselle en lui claquant un bisous sur la joue. Peut-être que son retard passerait inaperçu. Peut-être.

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Holden ne pouvait pas entendre les battements du cœur de Janice, car déjà les siens l'assourdissaient complètement. Il s'assit à côté d'elle, les mains moites et le stress le saisissant, notant la position de « protection » qu'elle adoptait en se repliant sur elle-même. Lui replia une jambe sous ses fesses et laissa pendouiller l'autre, s'appuyant en arrière sur ses coudes, n'osant pas regarder son amie. La toute dernière fois qu'il s'étaient parlé, à vrai dire, ça ne s'était franchement pas bien passé.
— Ça va... Répondit-il en hochant la tête de haut en bas laconiquement, avec un petit sourire, comme pour s'en persuader lui-même. Il n'osa pas lui demander la pareille, de peur de ne la voir se mettre à pleurer à nouveau. Pour dire vrai, il marchait sur des œufs de dragons, ne sachant pas trop quoi dire, de peur qu'elle ne l’interprète mal. Après tout, lui donner du chagrin était la dernière chose qu'il voulait pour elle. Et en même temps, c'était plus fort que lui : dès que Jane était dans les parages, il ne pouvait pas s'empêcher d'aller la voir pour passer un peu de temps à ses côtés. Sympa, cette fête, hein ? Ajouta-t-il, tournant enfin le visage vers la jolie brune. Qu'est-ce qu'il ramait ! Depuis quand étaient-ils aussi mal à l'aise, en la présence de l'autre ? Avant, ils partageaient tout, sans jamais se gêner ! Cassy regrettait l'époque où il pouvait tout se dire. Finalement, peut-être que lui en avait beaucoup trop dit, et n'aurait jamais du lui avouer ses sentiments. J'étais pas sûr que tu viendrais...

HJ :

NEUTRE

Le bord de la piscine de Wilda était l'endroit où c'était arrêtée Rosalyn, un gobelet d'alcool dans la main, alors qu'elle jetait un regard empli de jugement sur l'endroit. La maison, la piscine, tout était très beaux. Cela avait dû coûter des sommes importantes, mais la jeune Weasley ne pouvait que reconnaître que ça rendait bien. Néanmoins, étant donné que c'était la maison de Wilda Griffiths, elle y trouva forcément quelque chose de profondément parvenu et de mauvais goût. Alors qu'elle agitait son gobelet du bout des doigts pour en faire tournoyer habillement le liquide en scrutant avec curiosité l'échange lointain d'Holden et Jane, une voix de garçon l'interpella. Elle se retourna dans un mouvement de chevelure rousse, et adressa un sourire au nouveau venu, Njal Laensen. « Merci beau-norvégien, j'ai eu plusieurs heures de trajets pour venir … ici … Du coup j'ai eu le temps de réfléchir à mon entrée » Elle força un sourire qu'elle ne pensait pas en adressant un regard à la ronde. Ciel, si cela n'avait pas été synonyme à un ostracisme social, elle serait restée dans son Devonshire chéri, loin des Griffiths. « Et puis, je trouve que les entrées comme les sorties se doivent d'être soignées, être fade et discrète ce n'est pas trop mon truc. » Rosalyn élargit son sourire, avec plus d'honnêteté, en sirotant une gorgée de son gobelet, dissimulant une grimace face au goût de l'alcool. Tandis qu'elle dissimulait son dégoût de son mélange hasardeux, Njal sembla regretter de ne pas avoir reçu un petit mot dans sa langue. La jeune Weasley pouvait sentir la remarque derrière la phrase innocente. Njal était bilingue lui aussi, il connaissait les avantages de parler une langue que personne ne comprenait, et savait qu'on pouvait s'en servir pour faire le bien, ou le mal. « Oh, et bien toi tu serais Teg-pysk. » ajouta-t-elle avec un sourire amusé sur ses traits, ses yeux pétillants d'une gentille malice. Rosalyn sachant bien que Njal ne pouvait comprendre ni les insultes, ni les compliments, elle pouvait se permettre d'être un peu plus douce qu'à l'accoutumée.

« Bropennek, ça veut dire gros pénis, beauté. Mais toi ça serait plutôt bihanpennek, je crois. » murmura-t-elle avec un sourire narquois, avant de déposer une main sur le torse de Njal. Elle pencha son visage sur le côté, haussant des sourcils faussement surpris, avant de le pousser d'un geste ferme en direction de la piscine. « Oupsi chéri ! » S'exclama-t-elle en simulant la surprise tout en déposant sa main devant sa bouche rouge. Le garçon chuta dans l'eau dans un grand bruit de baleine à bosse, et une énorme gerbe d'eau éclaboussa les bords de la piscine. Un petit gloussement franchit ses lèvres avant qu'elle ne se rende compte que quelque chose clochait. L'eau de la piscine bouillonnait et remuait intensément autour de Njal, alors que ce dernier ne remontait pas. Elle entrevit au travers de l'eau une petite tentacule, et elle cria. L'ascenseur émotionnel passant de la sournoiserie à la peur, elle ôta ses chaussures fébrilement, les jeta derrière elle sur quelqu'un qui passait, avant de finalement plonger dans l'eau à son tour pour tenter de récupérer le norvégien qu'elle avait précipité au cœur d'une colonie de créatures néfastes.

Traduction / HJ:

COTÉ DU BIEN

L'helicobite ?! Tu vas vraiment faire ça Théo ?" Dit-elle à présent entourée de Rosa, Greta, Wilda et le dernier en caleçon. "Ah pourquoi j'étais pas au courant de ca moi ? Au pire pas grave on fera tous un bain de minuit, ça peut être super sympa aussi !" Dit-elle avec un petit clin d'oeil pour Greta se souvenant de leur bain de 14heures qui leur avait beaucoup plu à toutes les deux ! La maîtresse de la soirée s'était déjà éclipsée ce qui rendit l'ambiance un peu plus intime. "Oh mais te gêne pas surtout " dit-elle lorsqu'il lui avala son verre. "Pour la peine tu dois m'en offrir un nouveau" bien sûr, l'alcool était gratuit mais ce n'était qu'un détail ! "Oui avec plaisir viens !" Dit-elle en lui prenant le bras à moitié pour se stabiliser et à moitié pour se balader ! Puis elle l'emmène vers l'immense maison comme si c'était la sienne oubliant bien vite qu'elle avait déjà réussi à se perdre entre l'entrée et la salle de séjour alors qu'est ce que ça serait la ! "Alors la il y a juste le sjour la cuisine et des toilettes. Alors en haut, on va voir ce qu'il y a!" Dit-elle en gravissant les escaliers ! "Comment se passe tes vacabces ?" Demanda t-elle tout sourire.

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