Louisa Hurley : Louisa Hurley... Que dire de toi ? Depuis le départ, je peux pas te supporter. Dès mon premier jour, et le tien aussi d'ailleurs, t'as pas pu t'empêcher de faire ta princesse. En gros, tu m'as directement embêté avec tes grands airs et ta voix hautaine alors que tu valais pas grand chose, déjà à l'époque. Depuis, on se cherche, tout le temps. Je me défoule sur toi, il faut bien l'admettre, parce que ce que tu dégages me contrarie beaucoup, et les sentiments que tu provoques en moi doivent bien sortir à un moment ou à un autre, donc je suis méchant, parce que tu le mérites. Tu fais des caisses pour un rien, t'es lourde, t'es hautaine, tu te comportes comme si tout t'étais dû, tu pleurniche quand t'es pas contente... Une fille dans toute sa splendeur. Je gagne toujours, quand on se lance des piques, et ça tu le sais bien, pourtant tu reviens toujours. Tu cherches mon attention, continuellement. Je sais pas ce que t'as dans le crâne, mais je pariai sur pas grand chose. Ce qui m'énerve le plus avec toi, c'est que je supporte pas quand Graham te tourne autour, ou alors quand d'autres veulent te faire du mal. Après tout, tu es mon jouet favoris, celui que je suis toujours sûr de trouver quand j'ai besoin de me défouler, personne n'a le droit de jouer avec toi.
Mais...

Jyn S. Dawkins : Toi, tu me poses un vrai gros problème de conscience. T'es une fille, t'as le physique d'une fille, donc je devrai te détester, comme toutes les autres. Le problème ? C'est que, mentalement, t'as rien de l'exemple de fille que je supporte pas. T'es brute de décoffrage, comme un vrai mec. T'es pas niaise, tu bats pas des cils, tu joues pas de tes charmes et en plus t'as l'air sincère. Bref, j'arrive pas à ne pas t'apprécier un minimum. Un plus tu fais des gestes obscènes, ce qui me fait carrément marrer. T'es vraiment comme un pote mec, au final. Sauf que je te le dirai jamais. Je dois garder le contrôle sur mon image, quand même. Alors je ferai toujours genre que je t'aime pas, sauf en privé. Bah ouais, en privé je serai carrément d'accord pour passer des moments avec toi. Ah la la, t'aurais vraiment mérité d'être un mec, toi, c'est tellement dommage.

Mary McDonald : Ah, Mary. Tu es douce, timide, un peu niaise aussi, d'ailleurs. T'es une vraie fille, et donc je t'aime pas, logique. Pourtant, je t'ai laissé croire l'inverse. J'ai été charmant avec toi. Je t'ai fait rire, sourire, croire qu'il pouvait y avoir un truc entre toi et moi, je t'ai laissé croire qu'on était devenu proches. T'es tombée dans le panneau, bien sûr, et donc tu m'as avoué tes sentiments pour moi. Pas de chance, j'adore mener les filles en bateau. Donc je t'ai rejeté, bien sûr, bien fort pour que tout le monde entende, et toujours très méchamment. Depuis, tu m'en veux à mort. Mais tu vas te faire agresser, et je vais l'apprendre. Bizarrement, ça va me toucher, peut-être parce qu'après avoir passé des moments avec toi j'ai vu que t'étais un peu gentille. Du coup, pour n'en tirer aucun mérité et que ce soit un acte totalement sincère, je vais faire des trucs gentils pour toi mais en secret. Sauf que tu vas me griller, et que tu vas pas du tout, mais alors pas du tout être contente...

Wilda Griffiths

Rosalyn V. Weasley : T'es la petite amie de Swann, alors je peux rien faire contre toi, mais je te déteste. Profondément. T'es l'archétype de la fille que je déteste. Mais Swann semble t'aimer, alors je fais comme si de rien n'était, je le respecte trop pour faire quoi que ce soit de toute façon. Toi par contre... Je n'ai pas de preuves, seulement des doutes, parce que de toute façon je doute de toutes les femmes. Mais je pense vraiment tu veux l'éloigner de moi et, dès que j'aurais une vraie certitude, ce sera la guerre. Alors fais gaffe à ce que tu fais. Je tiens trop à lui pour te laisser faire.
En plus, tu vas essayer de détruire mon image auprès de mes jouets préférés : les filles de Poudlard. Et ça, ça me plait pas du tout. Tu veux me provoquer ? Vas-y, mais je te promets pas que tu vas apprécier le résultat...

Glinda Crook : Glinda, la fille superficielle par excellence, ma cible toute désignée donc. Eh oui, tu es ma cible du moment. Je suis en plein travail de rapprochement avec toi, je me montre toujours aussi charmant, je te drague plein pot quoi ! Je sens que tu vas tomber dans le panneau. Pourquoi ? Surement pas parce que tu as un faible pour moi (quoi que) mais surtout parce que tu veux être au centre des potins, et qu'un nouveau couple fait toujours jaser à Poudlard. On verra bien quand ce sera le bon moment pour moi pour t'éjecter.

Et pour les gars, les bons !

Swann A. Jones : Toi et moi, on se connait depuis un moment déjà. Depuis notre enfance, en fait. Dans une soirée mondaine, je m'ennuyais, profondément, et j'étais pas le seul. T'étais là, et du coup on s'est parlé. On s'est tout de suite bien apprécié, on faisait des farces ensemble aux autres enfants de bourgeois ou de nobles, bref on s'amusait bien quoi. Je t'ai toujours considéré comme un grand frère, alors imagines ma joie quand je suis arrivé à Poudlard, seul et un peu perdu, et que je t'ai vu là, assis à la table de la maison que je rejoignais. C'était peut-être le plus beau jour de ma vie. Enfin, un truc du genre quoi. Depuis, tu me chaperonne, bien sûr. Tu m'aides à m'intégrer, à comprendre le monde des sorciers, et tu tentes, en vain bien sûr, de me faire changer d'avis sur les filles, que tu collectionnes. Moi, je te préviens sur leur caractère vil et malfaisant et, quand elle te brise le cœur, je te console tout en précisant que je l'avais bien dit. Une relation fraternelle quoi !
Malheureusement pour moi, en amour t'es du genre à tout donner. Donc, quand tu vas sortir avec Rosalyn, tu vas t'éloigner de moi, déjà parce qu'elle se débrouille pour ça, mais en plus parce que tu ne vois rien. Et ça, ça va me toucher. Beaucoup. Beaucoup trop. Je l'avouerai jamais, mais je serai profondément blessé. Serais-tu comme ma mère, au final ? Du genre à donner puis à reprendre tout du jour au lendemain, juste pour une distraction ? Tu m'abandonneras, et je ne pourrais pas m'empêcher de faire la parallèle avec ma génitrice.

Njal H. Laensen : T'es un mec sympa, même si t'es vraiment très discret. En plus, tu accepte de m'aider pour l'étude des runes, là où je suis assez moyen au final, et c'est super sympa. J'apprends à te connaître, et je t'apprécie bien.

Graham Campbell

Bartemius Croupton Jr : On a tellement en commun qu'on s'apprécie. On traîne souvent ensemble, on papote, on se parle de nous soucis... Bref, on est pas mal amis au final toi et moi !

Abe I. Minchum : Ah, Abe. Toi et moi, on se comprend comme personne. Tu comprends ma situation, et je comprends la tienne. C'est peut-être pour ça qu'on s'entend si bien. En plus, vu que t'es plus vieux que moi d'un an, tu m'as aidé à mon arrivée. Tous les deux, on cache nos blessures derrière nos sourires de façade, mais on sait qu'on peut se confier l'un à l'autre, notamment quand Abe va s'éloigner peu à peu de ses amis. Je vais le remarquer, bien sûr, parce que tu es mon meilleur ami, et je vais t'aider autant que je le peux.

Alexandre O. Rozen : Pour moi, tu es une légende. Toutes les blagues que tu as faites sont tout simplement géniales ! Tu es un vrai maître en la matière et j'aime beaucoup ça chez toi. Puis, faut dire, t'es quand même super sympa. Quand j'ai parlé rapidement de mon envie de devenir gardien dans l'équipe des aigles, t'as décidé de m'entraîner alors que t'es celui des verts, donc un concurrent. Mais comme t'es top comme mec, tu m'as pris sous ton aile.

Alexander Major : Toi et moi, on est vraiment opposés. Tu viens d'une famille modeste et soudée, alors que la mienne est aisée mais éclatée. Je t'envie ta vie, tu m'envies la mienne. On a souvent pas mal de débat autour de ça, toi et moi, mais on fini toujours pas s'entendre. On s'apprécie vraiment pas mal, au final, malgré ces grandes différences, quoi que finalement c'est peut-être grâce à ça qu'on s’apprécie autant ! Toi aussi, comme Swann et d'autres, tu essaye de m'ouvrir les yeux sur le comportement avec les femmes, mais bon, pour le moment, vous me faites bien rire et c'est tout.

A vous maintenant

Eh oh t'es pas encore Duc, faut redescendre

Bon, bon, bon, c'est donc le moment où nous concrétisons tout ça ?

Tu veux de Njal ou d'Abe ?

JYN : Justement, j'attendais Jyn
En vérité, Adam n'est pas du tout péteux, simplement on lui répète depuis enfant qu'il est le prochain duc de Chester, qu'il est très important, alors il sait bien que son avenir est tout tracé et qu'il sera en vérité quelqu'un d'important, mais il ne le fait pas ressentir, sauf à ceux qui le cherchent...
Quant à Jyn, en fait je pense qu'elle serait le grand problème d'Adam : elle a le physique d'une fille, mais elle a rien de ce qu'il déteste chez le sexe opposé. Jyn est calme, discrète, pas très sociable, elle rit pas fort, elle bat pas des cils dès qu'elle a besoin de quelque chose, elle semble honnête... Bref, il a du mal à la détester quoi.
T'en dis quoi toi ?

LOUISA : C'est tout comme
Alors alors, commençons du début. C'est toi, la petite fille que j'ai sauvé, n'est-ce pas ?

NJAL : Ahah, je veux bien de tout le monde moi, je suis un gars ouvert ! Tant qu'on trouve des trucs ça me va
Alors, pour Njal, je pense qu'Adam l'apprécierait pas mal, même s'il semble assez froid au premier abord finalement le gars des fjords. T'es calme, contrairement à Adam qui aime bouger, mais tu es je men foutiste comme lui, ce qu'il apprécierait bien.
Qu'est ce qu'en penserait Njal, de ce petit Serdy ?

ABE : Ils ont déjà un gros point en commun : leur papa est quelqu'un d'important qui est très exigent puisqu'ils sont le fils de. Ca peut déjà pas mal les rapprocher. Adam, comme Abe, espère ne pas décevoir son père car il est la seule famille qui lui reste depuis que sa mère les a abandonné. Adam cache ses blessures derrière son côté bout en train et nonlachant, comme Abe... Qu'en dis-tu ?

COucou toi !
Je te ramène mon maillot comme demandé !

Héhé mercé

Alors alors, toi et moi on peut être ami je pense ! Même maison, même amour des bêtises même s'il est moins prononcé chez moi... En bref, on peut s'entendre ! Malgré tout, t'es pas super intelligent, loin de là, et j'avoue avoir un peu de mal avec ça parfois. Le pire ? Tu vas commencer à fréquenter Louisa, et ça c'est compliqué pour moi. C'est mon jouet, je l'humilie et la rembarre tout le temps, et même si normalement ça me gêne pas que les autres embêtent les filles, elle ça me va pas.
T'en dis quoi, toi ? Tu penses quoi de moi ?

Adam W. Chester a écrit:

LOUISA : C'est tout comme
Alors alors, commençons du début. C'est toi, la petite fille que j'ai sauvé, n'est-ce pas ?

Euh d'abord je te signale que je t'ai sauvé aussi, un peu... un tout petit peu moins que toi c'est vrai mais ça compte quand même !

De toute façon, ça change rien à notre relation d'aujourd'hui puisqu'on est pas au courant (que le monde est petiiiiiiit), je te déteste parce que tu pues la niaiserie à plein nez et que tu prends tes grands airs à vouloir mépriser la femme (Bon en fait je te déteste parce que je t'aime et que c'est la première fois qu'un truc comme ça m'arrive vraiment mais anyway JAMAIS tu seras au courant de quoi que ce soit !) On se fait des crasses, on se dit des vacheries, on se tend des pièges, je vais t'en faire voir de toutes les couleurs, tu vas vite perdre ton sang froid En attendant, si je peux déverser ma haine sur toi et crier comme pas possible, penses-tu que je vais pas dire non

Allez, sans rancune, tu peux me terminer en public si tu veux, j'essayerai de garder la tête haute !

C'est vrai, je pourrai te remercier d'ailleurs... mais non

Bichette, c'est toi qui perdras ton sang-froid, je suis assez bon pour ne rien laisser paraître de mes émotions, surtout quand je joue avec mon jouet préféré : une satanée fille. Et je ne suis pas niais, au contraire je suis très cultivé
Je vais d'abord te faire croire que tu me plait, puis briser tes rêves, si possible devant tout le monde.
Ca ne me gêne pas que les autres filles se fassent embêter par d'autres, mais avec toi... Disons que c'est différent. Tu es mon jouet, mon passe temps favoris, pas celui des autres, alors gare à ceux qui s'amusent avec toi.
On est au clair ?

Comment il me cause lui, t'as déjà reçu un coup de poing dans le nez ?

Si tu me détruis ça devient la guerre, je te préviens ! Bon sinon tout me va, mdr, ça va être bien sportif cette histoire aussi, hâte de te croiser "par hasard" au détour d'un couloir et te jeter un petit sort ni vue ni connue

Eh pour la rencontre haineuse, j'ai eu une idée par rapport à ce qu'on avait déjà dit (comme quoi elle aurait fait la nana la première semaine, qu'il aurait rigolé et qu'elle lui serait rentré dedans, les tables Serdaigles et Serpentard sont côtes à côtes en plus eheheheh ça nous facilite le travail), justemeeeeeeent je me disais que là Louisa aurait pu se dire "ouais il est mignon ce petit garçon, pourquoi ne pas en faire un ami, je vais pas m'excuser (ouh ça non) mais engager la conversation calmée pour voir ce qu'on peut faire blabla et là il la démoli avec ses mots et son attitude ? Doooooonc elle va rager et pour l'égo (on connait hein, ah les jeunes) se met en tête que c'est son pireeeee ennemi de tout Poudlard !

Qu'est-ce que t'en diiiiis ? On pourra même jouer les scènes en flashback

Hey you !
Je te propose Bartemius et Alex.
Bartemius, bah son papa c'est quelqu'un d'important donc peut-être qu'Adam et lui pourraient se connaître.
Quant à Alex, sa famille avait été très puissante fut un temps mais suite aux complications politiques en Allemagne, bah ça s'est très largement estompé (et puis de toute façon son père n'est pas intéressé par avoir un grand rôle politique).
Sinon, je viens en touriste.